Autorisations d'urbanisme

Les autorisations d’urbanisme sont nécessaires avant la réalisation de travaux de constructions nouvelles ou sur des constructions existantes, de changements de destination d’une surface et de travaux d’aménagement.
Les travaux effectués sans autorisation peuvent entraîner des sanctions pénales, civiles et administratives : amende, démolition, remise en état des lieux…
Le service Urbanisme vous informe sur le type d’autorisation nécessaire, réceptionne votre dossier et assure l’instruction de votre demande.

La prime de partage de la valeur (PPV), anciennement appelée prime Macron ou prime de pouvoir d'achat, est un dispositif qui permet à l'employeur de verser au salarié une prime. Il s'agit d'un dispositif pérenne que les entreprises peuvent mettre en place chaque année. La prime reste facultative. Son versement dépend d'une décision prise par l'employeur ou d'un accord d'entreprise. Les conditions d'obtention et d'exonération fiscale de cette prime varient selon la date de son versement.

    Entre le 1er juillet 2022 et le 31 décembre 2023

    Quels sont les employeurs et les structures concernés ?

    Les employeurs qui peuvent décider de verser une prime de partage de la valeur à leurs salariés ou agents sont :

    • Employeurs de droit privé y compris les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, exploitants agricoles, professions libérales)

    • Établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) et établissements publics administratifs (EPA)

    • Établissements et services d'aide par le travail (Ésat (particuliers))

    Quels sont les salariés et les autres bénéficiaires concernés ?

    La prime peut être versée aux :

    • Salariés liés à l'entreprise par un contrat de travail (en CDI, en CDD, à temps plein ou à temps partiel)

    • Agents publics relevant d'un établissement public administratif ou industriel et commercial (EPIC et EPA)

    • Intérimaires

    • Travailleurs handicapés liés à un Ésat (particuliers)

    Qui décide du versement de la prime de partage de la valeur ?

    Le versement de la prime est prévu :

    • Soit par un accord d'entreprise ou un accord d'intéressement (particuliers)

    • Soit d'une décision prise par l'employeur

    En cas de décision prise par l'employeur, le comité social et économique (CSE) (particuliers), lorsqu'il existe, est consulté préalablement.

    Quelles sont les conditions de versement de la prime de partage de la valeur ?

    La prime est versée selon les conditions suivantes :

    • La prime ne peut pas remplacer une augmentation de rémunération prévue par un accord salarial dans l'entreprise.

    • Si la prime n'est versée qu'à une partie des salariés de l'entreprise, ceux dont la rémunération est supérieure à un plafond fixé par l'employeur ou un accord d'entreprise en seront exclus.

    • La prime doit être versée entre le 1er juillet 2022 et 31 décembre 2023. Elle peut faire l'objet d'une avance, mais le solde doit être payé au plus tard à cette date.

    • La prime peut être versée en une ou plusieurs fois, avec un maximum d'un versement par trimestre.

    Quel est le montant de la prime de partage de la valeur ?

    L'employeur est libre de verser ou non une prime aux salariés.

    Le montant de la prime est fixé par l'employeur.

    Le montant de la prime de partage peut être le même montant pour tous les salariés.

    Le montant peut aussi être modulé selon les bénéficiaires en fonction de la rémunération, du niveau de classification, de l'ancienneté dans l'entreprise, de la durée de présence effective pendant l'année écoulée ou de la durée de travail prévue par le contrat de travail.

    Quelles sont les conditions d'exonération de la prime de partage de la valeur ?

    Les conditions d'exonération dépendent du montant de la rémunération du salarié au cours des 12 mois précédant le versement de la prime :

    Rémunération inférieure à 3 fois le Smic annuel

    La prime est exonérée de l'impôt sur le revenu, des cotisations salariales et des contributions sociales y compris de la CSG et de la CRDS, dans la limite de 3 000 € par an et par bénéficiaire.

    La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l'employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l'année du versement de cette prime :

    Exemple

    si la prime est versée le 1er août 2022, la rémunération prise en compte est celle perçue sur la période du 1er août 2021 au 31 juillet 2022.

      Rémunération au moins égale à 3 fois le Smic annuel

      La prime est exonérée des cotisations salariales et des contributions sociales, dans la limite de 3 000 € par an et par bénéficiaire.

      La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l'employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l'année du versement de cette prime :

      Exemple

      si la prime est versée le 1er août 2022, la rémunération prise en compte est celle perçue sur la période du 1er août 2021 au 31 juillet 2022.

      À noter

      la prime n’est pas exonérée d’impôt sur le revenu, de la CSG et de la CRDS.

        Attention

        en cas de cumul de la prime de partage de la valeur avec la prime exceptionnelle de pouvoir d'achat (PEPA) qui a pu être versée jusqu'au 31 mars 2022, le montant total exonéré d'impôt sur le revenu au titre des revenus de l'année 2022 ne peut pas excéder 6 000 €.

        À partir de 2024

        Quels sont les employeurs et les structures concernés ?

        Les employeurs qui peuvent décider de verser une prime de partage de la valeur à leurs salariés ou leurs agents sont :

        • Employeurs de droit privé y compris les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, exploitants agricoles, professions libérales)

        • Établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) et établissements publics administratifs (EPA)

        • Établissements et services d'aide par le travail (Ésat (particuliers))

        Quels sont les salariés et les autres bénéficiaires concernés ?

        La prime peut être versée aux :

        • Salariés liés à l'entreprise par un contrat de travail (en CDI, en CDD, à temps plein ou à temps partiel)

        • Agents publics relevant d'un établissement public administratif ou industriel et commercial (EPIC et EPA)

        • Intérimaires

        • Travailleurs handicapés liés à un Ésat (particuliers)

        Qui décide du versement de la prime de partage de la valeur ?

        Le versement de la prime est prévu :

        • Soit par un accord d'entreprise ou un accord d'intéressement (particuliers)

        • Soit d'une décision prise par l'employeur

        En cas de décision prise par l'employeur, le comité social et économique (CSE) (particuliers), lorsqu'il existe, est consulté préalablement.

        Quelles sont les conditions de versement de la prime de partage de la valeur ?

        La prime est versée selon les conditions suivantes :

        • La prime ne peut pas remplacer une augmentation de rémunération prévue par un accord salarial dans l'entreprise.

        • Si la prime n'est versée qu'à une partie des salariés de l'entreprise, ceux dont la rémunération est supérieure à un plafond fixé par l'employeur ou un accord d'entreprise en seront exclus.

        • La prime peut être versée en une ou plusieurs fois, avec un maximum d'un versement par trimestre.

        Quel est le montant de la prime de partage de la valeur ?

        L'employeur est libre de verser ou non une prime aux salariés.

        Le montant de la prime est fixé par l'employeur.

        Le montant de la prime de partage peut être le même montant pour tous les salariés.

        Le montant peut aussi être modulé selon les bénéficiaires en fonction de la rémunération, du niveau de classification, de l'ancienneté dans l'entreprise, de la durée de présence effective pendant l'année écoulée ou de la durée de travail prévue par le contrat de travail.

        Quelles sont les conditions d'exonération de la prime de partage de la valeur ?

        La prime est exonérée des cotisations salariales et des contributions sociales, dans la limite de 3 000 €.

        La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l'employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l'année du versement de cette prime :

        À noter

        la prime n'est pas exonérée de l'impôt sur le revenu, de la CSG et de la CRDS.

      Voir aussi...

      Pour en savoir plus

      Loi sur le partage de valeur au sein de l'entreprise - 01 décembre 2023

      Les règles applicables à la participation, à l'intéressement et à la prime de partage de la valeur sont assouplies pour permettre à un plus grand nombre de salariés de profiter de ces dispositifs.

      Les détails de ces mesures sont précisés dans une loi du 29 novembre 2023.

      Notre page est en cours de mise à jour.

      La prime de partage de la valeur (PPV), anciennement appelée prime Macron ou prime de pouvoir d'achat, est un dispositif qui permet à l'employeur de verser au salarié une prime. Il s'agit d'un dispositif pérenne que les entreprises peuvent mettre en place chaque année. La prime reste facultative. Son versement dépend d'une décision prise par l'employeur ou d'un accord d'entreprise. Les conditions d'obtention et d'exonération fiscale de cette prime varient selon la date de son versement.

        Entre le 1er juillet 2022 et le 31 décembre 2023

        Quels sont les employeurs et les structures concernés ?

        Les employeurs qui peuvent décider de verser une prime de partage de la valeur à leurs salariés ou agents sont :

        • Employeurs de droit privé y compris les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, exploitants agricoles, professions libérales)

        • Établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) et établissements publics administratifs (EPA)

        • Établissements et services d'aide par le travail (Ésat (particuliers))

        Quels sont les salariés et les autres bénéficiaires concernés ?

        La prime peut être versée aux :

        • Salariés liés à l'entreprise par un contrat de travail (en CDI, en CDD, à temps plein ou à temps partiel)

        • Agents publics relevant d'un établissement public administratif ou industriel et commercial (EPIC et EPA)

        • Intérimaires

        • Travailleurs handicapés liés à un Ésat (particuliers)

        Qui décide du versement de la prime de partage de la valeur ?

        Le versement de la prime est prévu :

        • Soit par un accord d'entreprise ou un accord d'intéressement (professionnels)

        • Soit d'une décision prise par l'employeur

        En cas de décision prise par l'employeur, le comité social et économique (CSE) (professionnels), lorsqu'il existe, est consulté préalablement.

        Quelles sont les conditions de versement de la prime de partage de la valeur ?

        La prime est versée selon les conditions suivantes :

        • La prime ne peut pas remplacer une augmentation de rémunération prévue par un accord salarial dans l'entreprise.

        • Si la prime n'est versée qu'à une partie des salariés de l'entreprise, ceux dont la rémunération est supérieure à un plafond fixé par l'employeur ou un accord d'entreprise en seront exclus.

        • La prime doit être versée entre le 1er juillet 2022 et 31 décembre 2023. Elle peut faire l'objet d'une avance, mais le solde doit être payé au plus tard à cette date.

        • La prime peut être versée en une ou plusieurs fois, avec un maximum d'un versement par trimestre.

        Quel est le montant de la prime de partage de la valeur ?

        L'employeur est libre de verser ou non une prime aux salariés.

        Le montant de la prime est fixé par l'employeur.

        Le montant de la prime de partage peut être le même montant pour tous les salariés.

        Le montant peut aussi être modulé selon les bénéficiaires en fonction de la rémunération, du niveau de classification, de l'ancienneté dans l'entreprise, de la durée de présence effective pendant l'année écoulée ou de la durée de travail prévue par le contrat de travail.

        Quelles sont les conditions d'exonération de la prime de partage de la valeur ?

        Les conditions d'exonération dépendent du montant de la rémunération du salarié au cours des 12 mois précédant le versement de la prime :

        Rémunération inférieure à 3 fois le Smic annuel

        La prime est exonérée de l'impôt sur le revenu, des cotisations salariales et des contributions sociales y compris de la CSG et de la CRDS, dans la limite de 3 000 € par an et par bénéficiaire.

        La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l'employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l'année du versement de cette prime :

        Exemple

        si la prime est versée le 1er août 2022, la rémunération prise en compte est celle perçue sur la période du 1er août 2021 au 31 juillet 2022.

          Rémunération au moins égale à 3 fois le Smic annuel

          La prime est exonérée des cotisations salariales et des contributions sociales, dans la limite de 3 000 € par an et par bénéficiaire.

          La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l'employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l'année du versement de cette prime :

          Exemple

          si la prime est versée le 1er août 2022, la rémunération prise en compte est celle perçue sur la période du 1er août 2021 au 31 juillet 2022.

          À noter

          la prime n’est pas exonérée d’impôt sur le revenu, de la CSG et de la CRDS.

            Attention

            en cas de cumul de la prime de partage de la valeur avec la prime exceptionnelle de pouvoir d'achat (PEPA) qui a pu être versée jusqu'au 31 mars 2022, le montant total exonéré d'impôt sur le revenu au titre des revenus de l'année 2022 ne peut pas excéder 6 000 €.

            À partir de 2024

            Quels sont les employeurs et les structures concernés ?

            Les employeurs qui peuvent décider de verser une prime de partage de la valeur à leurs salariés ou leurs agents sont :

            • Employeurs de droit privé y compris les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, exploitants agricoles, professions libérales)

            • Établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) et établissements publics administratifs (EPA)

            • Établissements et services d'aide par le travail (Ésat (particuliers))

            Quels sont les salariés et les autres bénéficiaires concernés ?

            La prime peut être versée aux :

            • Salariés liés à l'entreprise par un contrat de travail (en CDI, en CDD, à temps plein ou à temps partiel)

            • Agents publics relevant d'un établissement public administratif ou industriel et commercial (EPIC et EPA)

            • Intérimaires

            • Travailleurs handicapés liés à un Ésat (particuliers)

            Qui décide du versement de la prime de partage de la valeur ?

            Le versement de la prime est prévu :

            • Soit par un accord d'entreprise ou un accord d'intéressement (professionnels)

            • Soit d'une décision prise par l'employeur

            En cas de décision prise par l'employeur, le comité social et économique (CSE) (professionnels), lorsqu'il existe, est consulté préalablement.

            Quelles sont les conditions de versement de la prime de partage de la valeur ?

            La prime est versée selon les conditions suivantes :

            • La prime ne peut pas remplacer une augmentation de rémunération prévue par un accord salarial dans l'entreprise.

            • Si la prime n'est versée qu'à une partie des salariés de l'entreprise, ceux dont la rémunération est supérieure à un plafond fixé par l'employeur ou un accord d'entreprise en seront exclus.

            • La prime peut être versée en une ou plusieurs fois, avec un maximum d'un versement par trimestre.

            Quel est le montant de la prime de partage de la valeur ?

            L'employeur est libre de verser ou non une prime aux salariés.

            Le montant de la prime est fixé par l'employeur.

            Le montant de la prime de partage peut être le même montant pour tous les salariés.

            Le montant peut aussi être modulé selon les bénéficiaires en fonction de la rémunération, du niveau de classification, de l'ancienneté dans l'entreprise, de la durée de présence effective pendant l'année écoulée ou de la durée de travail prévue par le contrat de travail.

            Quelles sont les conditions d'exonération de la prime de partage de la valeur ?

            La prime est exonérée des cotisations salariales et des contributions sociales, dans la limite de 3 000 €.

            La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l'employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l'année du versement de cette prime :

            À noter

            la prime n'est pas exonérée de l'impôt sur le revenu, de la CSG et de la CRDS.

          Voir aussi...

          Pour en savoir plus

          Loi sur le partage de valeur au sein de l'entreprise - 01 décembre 2023

          Les règles applicables à la participation, à l'intéressement et à la prime de partage de la valeur sont assouplies pour permettre à un plus grand nombre de salariés de profiter de ces dispositifs.

          Les détails de ces mesures sont précisés dans une loi du 29 novembre 2023.

          Notre page est en cours de mise à jour.

          Toute apposition, modification ou remplacement (même sans changement des supports existants) d’une enseigne, ainsi que la pose ou le remplacement d’un store banne, ou d’une pré-enseigne doit faire l’objet d’une demande d’autorisation de pose d’enseigne. A noter, constitue une enseigne toute inscription, forme ou image apposée sur un immeuble et relative à l’activité qui s’y exerce.

          Pour vous aider dans vos démarches :

          La prime de partage de la valeur (PPV), anciennement appelée prime Macron ou prime de pouvoir d'achat, est un dispositif qui permet à l'employeur de verser au salarié une prime. Il s'agit d'un dispositif pérenne que les entreprises peuvent mettre en place chaque année. La prime reste facultative. Son versement dépend d'une décision prise par l'employeur ou d'un accord d'entreprise. Les conditions d'obtention et d'exonération fiscale de cette prime varient selon la date de son versement.

            Entre le 1er juillet 2022 et le 31 décembre 2023

            Quels sont les employeurs et les structures concernés ?

            Les employeurs qui peuvent décider de verser une prime de partage de la valeur à leurs salariés ou agents sont :

            • Employeurs de droit privé y compris les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, exploitants agricoles, professions libérales)

            • Établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) et établissements publics administratifs (EPA)

            • Établissements et services d'aide par le travail (Ésat (particuliers))

            Quels sont les salariés et les autres bénéficiaires concernés ?

            La prime peut être versée aux :

            • Salariés liés à l'entreprise par un contrat de travail (en CDI, en CDD, à temps plein ou à temps partiel)

            • Agents publics relevant d'un établissement public administratif ou industriel et commercial (EPIC et EPA)

            • Intérimaires

            • Travailleurs handicapés liés à un Ésat (particuliers)

            Qui décide du versement de la prime de partage de la valeur ?

            Le versement de la prime est prévu :

            • Soit par un accord d'entreprise ou un accord d'intéressement (professionnels)

            • Soit d'une décision prise par l'employeur

            En cas de décision prise par l'employeur, le comité social et économique (CSE) (professionnels), lorsqu'il existe, est consulté préalablement.

            Quelles sont les conditions de versement de la prime de partage de la valeur ?

            La prime est versée selon les conditions suivantes :

            • La prime ne peut pas remplacer une augmentation de rémunération prévue par un accord salarial dans l'entreprise.

            • Si la prime n'est versée qu'à une partie des salariés de l'entreprise, ceux dont la rémunération est supérieure à un plafond fixé par l'employeur ou un accord d'entreprise en seront exclus.

            • La prime doit être versée entre le 1er juillet 2022 et 31 décembre 2023. Elle peut faire l'objet d'une avance, mais le solde doit être payé au plus tard à cette date.

            • La prime peut être versée en une ou plusieurs fois, avec un maximum d'un versement par trimestre.

            Quel est le montant de la prime de partage de la valeur ?

            L'employeur est libre de verser ou non une prime aux salariés.

            Le montant de la prime est fixé par l'employeur.

            Le montant de la prime de partage peut être le même montant pour tous les salariés.

            Le montant peut aussi être modulé selon les bénéficiaires en fonction de la rémunération, du niveau de classification, de l'ancienneté dans l'entreprise, de la durée de présence effective pendant l'année écoulée ou de la durée de travail prévue par le contrat de travail.

            Quelles sont les conditions d'exonération de la prime de partage de la valeur ?

            Les conditions d'exonération dépendent du montant de la rémunération du salarié au cours des 12 mois précédant le versement de la prime :

            Rémunération inférieure à 3 fois le Smic annuel

            La prime est exonérée de l'impôt sur le revenu, des cotisations salariales et des contributions sociales y compris de la CSG et de la CRDS, dans la limite de 3 000 € par an et par bénéficiaire.

            La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l'employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l'année du versement de cette prime :

            Exemple

            si la prime est versée le 1er août 2022, la rémunération prise en compte est celle perçue sur la période du 1er août 2021 au 31 juillet 2022.

              Rémunération au moins égale à 3 fois le Smic annuel

              La prime est exonérée des cotisations salariales et des contributions sociales, dans la limite de 3 000 € par an et par bénéficiaire.

              La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l'employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l'année du versement de cette prime :

              Exemple

              si la prime est versée le 1er août 2022, la rémunération prise en compte est celle perçue sur la période du 1er août 2021 au 31 juillet 2022.

              À noter

              la prime n’est pas exonérée d’impôt sur le revenu, de la CSG et de la CRDS.

                Attention

                en cas de cumul de la prime de partage de la valeur avec la prime exceptionnelle de pouvoir d'achat (PEPA) qui a pu être versée jusqu'au 31 mars 2022, le montant total exonéré d'impôt sur le revenu au titre des revenus de l'année 2022 ne peut pas excéder 6 000 €.

                À partir de 2024

                Quels sont les employeurs et les structures concernés ?

                Les employeurs qui peuvent décider de verser une prime de partage de la valeur à leurs salariés ou leurs agents sont :

                • Employeurs de droit privé y compris les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, exploitants agricoles, professions libérales)

                • Établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) et établissements publics administratifs (EPA)

                • Établissements et services d'aide par le travail (Ésat (particuliers))

                Quels sont les salariés et les autres bénéficiaires concernés ?

                La prime peut être versée aux :

                • Salariés liés à l'entreprise par un contrat de travail (en CDI, en CDD, à temps plein ou à temps partiel)

                • Agents publics relevant d'un établissement public administratif ou industriel et commercial (EPIC et EPA)

                • Intérimaires

                • Travailleurs handicapés liés à un Ésat (particuliers)

                Qui décide du versement de la prime de partage de la valeur ?

                Le versement de la prime est prévu :

                • Soit par un accord d'entreprise ou un accord d'intéressement (professionnels)

                • Soit d'une décision prise par l'employeur

                En cas de décision prise par l'employeur, le comité social et économique (CSE) (professionnels), lorsqu'il existe, est consulté préalablement.

                Quelles sont les conditions de versement de la prime de partage de la valeur ?

                La prime est versée selon les conditions suivantes :

                • La prime ne peut pas remplacer une augmentation de rémunération prévue par un accord salarial dans l'entreprise.

                • Si la prime n'est versée qu'à une partie des salariés de l'entreprise, ceux dont la rémunération est supérieure à un plafond fixé par l'employeur ou un accord d'entreprise en seront exclus.

                • La prime peut être versée en une ou plusieurs fois, avec un maximum d'un versement par trimestre.

                Quel est le montant de la prime de partage de la valeur ?

                L'employeur est libre de verser ou non une prime aux salariés.

                Le montant de la prime est fixé par l'employeur.

                Le montant de la prime de partage peut être le même montant pour tous les salariés.

                Le montant peut aussi être modulé selon les bénéficiaires en fonction de la rémunération, du niveau de classification, de l'ancienneté dans l'entreprise, de la durée de présence effective pendant l'année écoulée ou de la durée de travail prévue par le contrat de travail.

                Quelles sont les conditions d'exonération de la prime de partage de la valeur ?

                La prime est exonérée des cotisations salariales et des contributions sociales, dans la limite de 3 000 €.

                La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l'employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l'année du versement de cette prime :

                À noter

                la prime n'est pas exonérée de l'impôt sur le revenu, de la CSG et de la CRDS.

              Voir aussi...

              Pour en savoir plus

              Loi sur le partage de valeur au sein de l'entreprise - 01 décembre 2023

              Les règles applicables à la participation, à l'intéressement et à la prime de partage de la valeur sont assouplies pour permettre à un plus grand nombre de salariés de profiter de ces dispositifs.

              Les détails de ces mesures sont précisés dans une loi du 29 novembre 2023.

              Notre page est en cours de mise à jour.

              Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

              Six guides illustrés pour vos déclarations préalables de travaux

              La communauté d'agglomération Pau Béarn Pyrénées vous propose 6 guides illustrés et un tuto pour vous accompagner pas à pas dans vos demandes préalables de travaux.

              Tous les documents sont à retrouver ici.

              Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
              - Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
              - Mardi de 8h30 à 12h
              - Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
              - Jeudi de 13h30 à 17h
              - Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h