Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

Une secte se caractérise par une emprise mentale qui porte atteinte à l'équilibre moral, sanitaire, financier et familial d'une personne.

Pour ce faire, la secte cherche à isoler, désociabiliser, endoctriner, déresponsabiliser une personne pour la pousser à une perte d'autonomie ou encore une perte financière.

Les victimes de ces agissements (membres, anciens membres ou famille de ces derniers) peuvent engager différentes actions.

Comment obtenir des informations sur une association qui semble présenter une dérive sectaire ?

Pour obtenir des renseignements sur une association qui vous semble présenter une dérive sectaire, vous pouvez :

  • Interroger la Miviludes - Téléservice
  • Auprès de qui signaler une dérive sectaire ?

    Après avoir recueilli certaines informations sur l'association, vous pouvez informer les instances suivantes :

    • Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes)

    • Professionnel et/ou association d'aides aux victimes

    • Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr)

    • Administration de l'État

    • Commissariat de police ou gendarmerie (pour faire un signalement ou déposer plainte).

    À la Miviludes

    Vous souhaitez informer la Miviludes de l'existence ou d'un risque de dérive sectaire pour qu'une aide vous soit apportée ou pour être orienté dans vos démarches :

  • Informer la Miviludes de l'existence ou d'un risque de dérive sectaire - Téléservice
  • Vous pouvez également contacter les correspondants locaux de la Miviludes au sein des administrations régionales ou départementales.

    Les courriers aux correspondants locaux de la Miviludes au sein des administrations régionales ou départementales, et aux professionnels sont à adresser à M. ou Mme le correspondant Dérives sectaires du service ou de l'organisme concerné.

    Auprès des professionnels et des associations

    Vous pouvez également contacter les professionnels de santé (conseils départementaux de l'ordre des médecins, des pharmaciens,...) ou les associations de victimes de dérives sectaires.

    Ces différents interlocuteurs peuvent vous apporter de l'aide et des informations.

    Au Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr)

    Si vous êtes confronté à l'engagement radical d'un proche, vous pouvez contacter le Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr).

    Par téléphone

    Où s’adresser ?

    Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation (CNAPR)

    Écoute, informe et conseille les familles souhaitant signaler une situation de radicalisation.

    Par téléphone

    0 800 005 696

    Service et appels gratuits

    Du lundi au vendredi, de 9 h à 18 h.

      Auprès du rectorat, de l’Agence régionale de santé ou de la DDETS

      Vous pouvez également vous adresser par courrier au rectorat, à l’agence régionale de santé, à la direction départementale en charge de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS).

      Où s’adresser ?

      Rectorat

      Auprès du commissariat de police et de la gendarmerie

      Vous pouvez vous rendre au commissariat de police ou à la brigade de gendarmerie dès qu'une infraction est commise.

      Il peut en être ainsi, par exemple, en cas d'escroquerie (particuliers), d'abus de confiance (particuliers), d'abus sexuel sur mineur (particuliers), de maltraitance de personne âgée (particuliers).

      Vous pouvez aussi porter plainte pour abus de faiblesse, si aucune infraction spécifique à des dérives sectaires ne peut être invoquée.

      Votre plainte doit être dirigée contre l'association (et ses membres auteurs des infractions) pour que puisse être engagée sa responsabilité pénale comme personne morale (particuliers).

      Sur place

      Vous pouvez vous adresser à un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie de votre choix.

      Où s’adresser ?

      Commissariat

      Où s’adresser ?

      Gendarmerie

      La plainte est transmise au procureur de la République par la police ou la gendarmerie.

      Si la police ou la gendarmerie refusent de recueillir votre plainte pour violences conjugales, vous pouvez alerter les autorités de contrôle compétentes.

      Par courrier

      Vous pouvez déposer plainte auprès du procureur de la République.

      Pour cela, vous devez envoyer un courrier au tribunal judiciaire du lieu de l'infraction ou du domicile de l'auteur de l'infraction.

      Où s’adresser ?

      Tribunal judiciaire

      Votre courrier doit préciser les éléments suivants :

      • Votre état civil et vos coordonnées complètes (adresse et numéro de téléphone)

      • Récit détaillé des faits, date et lieu de l'infraction

      • Nom de l'auteur supposé si vous le connaissez (sinon, la plainte sera déposée contre X)

      • Nom et adresse des éventuels témoins de l'infraction

      • Description et estimation provisoire ou définitive du préjudice

      • Vos documents de preuve : certificats médicaux, arrêts de travail, photographies, vidéos, factures diverses, constats, etc.

      Vous pouvez utiliser le modèle de courrier suivant :

      Vous pouvez envoyer votre plainte en lettre recommandée avec accusé de réception, par lettre simple ou par lettre suivie.

      Vous pouvez aussi déposer votre plainte directement à l'accueil du tribunal.

      Dans tous les cas, un récépissé vous est remis dès que les services du procureur de la République ont enregistré votre plainte.

      La présence d'un avocat n'est pas obligatoire pour le dépôt de plainte et pendant toute la durée de la procédure jusqu'au procès devant le tribunal correctionnel. Toutefois, vous pouvez obtenir l'assistance d'un avocat si vous le souhaitez.

      Que faire en présence d'un mineur confronté à une dérive sectaire ?

      Faire un signalement aux services du département

      Les services départementaux de l'aide sociale à l'enfance (Ase) sont chargés du recueil et du traitement des informations préoccupantes concernant les mineurs en danger ou qui risquent de l'être.

      Après avoir évalué la situation, le service de l'Ase peut saisir le procureur de la République si ses actions se sont révélées inefficaces pour remédier à la situation de danger du mineur.

      Où s’adresser ?

      Département

      Appeler le service national d'accueil téléphonique de l'enfance en danger

      Les adultes et les mineurs confrontés ou préoccupés par une situation de risque et de danger peuvent effectuer un signalement au service national d'accueil téléphonique de l'enfance en danger (SNATED). Ce service est communément appelé Allô Enfance Maltraitée.

      Les informations préoccupantes sont transmises au service du département concerné.

      Où s’adresser ?

      Enfance en danger - 119

      Numéro d'appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d'enfant en danger ou en risque de l'être.

      Par téléphone

      119 (appel gratuit et confidentiel)

      24h/24 et 7 jours/7

      Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n'apparait pas sur les factures.

      Sur le site www.allo119.gouv.fr

      Tchat en temps réel destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

      Dispositif en langue des signes française pour les personnes sourdes et malentendantes

      Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

      Formulaire de recueil en ligne pour déposer une situation si vous êtes adulte

      Demander l'intervention du juge des enfants

      Le juge des enfants (particuliers) peut agir quand la santé, la sécurité ou la moralité d'un mineur sont en danger.

      Il peut aussi être fait appel au juge des enfants si les conditions d'éducation ou de développement physique, affectif, intellectuel et social sont gravement compromises.

      L'intervention du juge peut être demandée par l'un des 2 parents ou les 2 conjointement ou la personne ou le service à qui l'enfant a été confié ou le tuteur légal ou le mineur lui-même.

      Pour en savoir plus

      Une secte se caractérise par une emprise mentale qui porte atteinte à l'équilibre moral, sanitaire, financier et familial d'une personne.

      Pour ce faire, la secte cherche à isoler, désociabiliser, endoctriner, déresponsabiliser une personne pour la pousser à une perte d'autonomie ou encore une perte financière.

      Les victimes de ces agissements (membres, anciens membres ou famille de ces derniers) peuvent engager différentes actions.

      Comment obtenir des informations sur une association qui semble présenter une dérive sectaire ?

      Pour obtenir des renseignements sur une association qui vous semble présenter une dérive sectaire, vous pouvez :

    • Interroger la Miviludes - Téléservice
    • Auprès de qui signaler une dérive sectaire ?

      Après avoir recueilli certaines informations sur l'association, vous pouvez informer les instances suivantes :

      • Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes)

      • Professionnel et/ou association d'aides aux victimes

      • Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr)

      • Administration de l'État

      • Commissariat de police ou gendarmerie (pour faire un signalement ou déposer plainte).

      À la Miviludes

      Vous souhaitez informer la Miviludes de l'existence ou d'un risque de dérive sectaire pour qu'une aide vous soit apportée ou pour être orienté dans vos démarches :

    • Informer la Miviludes de l'existence ou d'un risque de dérive sectaire - Téléservice
    • Vous pouvez également contacter les correspondants locaux de la Miviludes au sein des administrations régionales ou départementales.

      Les courriers aux correspondants locaux de la Miviludes au sein des administrations régionales ou départementales, et aux professionnels sont à adresser à M. ou Mme le correspondant Dérives sectaires du service ou de l'organisme concerné.

      Auprès des professionnels et des associations

      Vous pouvez également contacter les professionnels de santé (conseils départementaux de l'ordre des médecins, des pharmaciens,...) ou les associations de victimes de dérives sectaires.

      Ces différents interlocuteurs peuvent vous apporter de l'aide et des informations.

      Au Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr)

      Si vous êtes confronté à l'engagement radical d'un proche, vous pouvez contacter le Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr).

      Par téléphone

      Où s’adresser ?

      Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation (CNAPR)

      Écoute, informe et conseille les familles souhaitant signaler une situation de radicalisation.

      Par téléphone

      0 800 005 696

      Service et appels gratuits

      Du lundi au vendredi, de 9 h à 18 h.

        Auprès du rectorat, de l’Agence régionale de santé ou de la DDETS

        Vous pouvez également vous adresser par courrier au rectorat, à l’agence régionale de santé, à la direction départementale en charge de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS).

        Où s’adresser ?

        Rectorat

        Auprès du commissariat de police et de la gendarmerie

        Vous pouvez vous rendre au commissariat de police ou à la brigade de gendarmerie dès qu'une infraction est commise.

        Il peut en être ainsi, par exemple, en cas d'escroquerie (particuliers), d'abus de confiance (particuliers), d'abus sexuel sur mineur (particuliers), de maltraitance de personne âgée (particuliers).

        Vous pouvez aussi porter plainte pour abus de faiblesse, si aucune infraction spécifique à des dérives sectaires ne peut être invoquée.

        Votre plainte doit être dirigée contre l'association (et ses membres auteurs des infractions) pour que puisse être engagée sa responsabilité pénale comme personne morale (particuliers).

        Sur place

        Vous pouvez vous adresser à un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie de votre choix.

        Où s’adresser ?

        Commissariat

        Où s’adresser ?

        Gendarmerie

        La plainte est transmise au procureur de la République par la police ou la gendarmerie.

        Si la police ou la gendarmerie refusent de recueillir votre plainte pour violences conjugales, vous pouvez alerter les autorités de contrôle compétentes.

        Par courrier

        Vous pouvez déposer plainte auprès du procureur de la République.

        Pour cela, vous devez envoyer un courrier au tribunal judiciaire du lieu de l'infraction ou du domicile de l'auteur de l'infraction.

        Où s’adresser ?

        Tribunal judiciaire

        Votre courrier doit préciser les éléments suivants :

        • Votre état civil et vos coordonnées complètes (adresse et numéro de téléphone)

        • Récit détaillé des faits, date et lieu de l'infraction

        • Nom de l'auteur supposé si vous le connaissez (sinon, la plainte sera déposée contre X)

        • Nom et adresse des éventuels témoins de l'infraction

        • Description et estimation provisoire ou définitive du préjudice

        • Vos documents de preuve : certificats médicaux, arrêts de travail, photographies, vidéos, factures diverses, constats, etc.

        Vous pouvez utiliser le modèle de courrier suivant :

        Vous pouvez envoyer votre plainte en lettre recommandée avec accusé de réception, par lettre simple ou par lettre suivie.

        Vous pouvez aussi déposer votre plainte directement à l'accueil du tribunal.

        Dans tous les cas, un récépissé vous est remis dès que les services du procureur de la République ont enregistré votre plainte.

        La présence d'un avocat n'est pas obligatoire pour le dépôt de plainte et pendant toute la durée de la procédure jusqu'au procès devant le tribunal correctionnel. Toutefois, vous pouvez obtenir l'assistance d'un avocat si vous le souhaitez.

        Que faire en présence d'un mineur confronté à une dérive sectaire ?

        Faire un signalement aux services du département

        Les services départementaux de l'aide sociale à l'enfance (Ase) sont chargés du recueil et du traitement des informations préoccupantes concernant les mineurs en danger ou qui risquent de l'être.

        Après avoir évalué la situation, le service de l'Ase peut saisir le procureur de la République si ses actions se sont révélées inefficaces pour remédier à la situation de danger du mineur.

        Où s’adresser ?

        Département

        Appeler le service national d'accueil téléphonique de l'enfance en danger

        Les adultes et les mineurs confrontés ou préoccupés par une situation de risque et de danger peuvent effectuer un signalement au service national d'accueil téléphonique de l'enfance en danger (SNATED). Ce service est communément appelé Allô Enfance Maltraitée.

        Les informations préoccupantes sont transmises au service du département concerné.

        Où s’adresser ?

        Enfance en danger - 119

        Numéro d'appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d'enfant en danger ou en risque de l'être.

        Par téléphone

        119 (appel gratuit et confidentiel)

        24h/24 et 7 jours/7

        Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n'apparait pas sur les factures.

        Sur le site www.allo119.gouv.fr

        Tchat en temps réel destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

        Dispositif en langue des signes française pour les personnes sourdes et malentendantes

        Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

        Formulaire de recueil en ligne pour déposer une situation si vous êtes adulte

        Demander l'intervention du juge des enfants

        Le juge des enfants (particuliers) peut agir quand la santé, la sécurité ou la moralité d'un mineur sont en danger.

        Il peut aussi être fait appel au juge des enfants si les conditions d'éducation ou de développement physique, affectif, intellectuel et social sont gravement compromises.

        L'intervention du juge peut être demandée par l'un des 2 parents ou les 2 conjointement ou la personne ou le service à qui l'enfant a été confié ou le tuteur légal ou le mineur lui-même.

        Pour en savoir plus

        A noter :
        le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

        Une secte se caractérise par une emprise mentale qui porte atteinte à l'équilibre moral, sanitaire, financier et familial d'une personne.

        Pour ce faire, la secte cherche à isoler, désociabiliser, endoctriner, déresponsabiliser une personne pour la pousser à une perte d'autonomie ou encore une perte financière.

        Les victimes de ces agissements (membres, anciens membres ou famille de ces derniers) peuvent engager différentes actions.

        Comment obtenir des informations sur une association qui semble présenter une dérive sectaire ?

        Pour obtenir des renseignements sur une association qui vous semble présenter une dérive sectaire, vous pouvez :

      • Interroger la Miviludes - Téléservice
      • Auprès de qui signaler une dérive sectaire ?

        Après avoir recueilli certaines informations sur l'association, vous pouvez informer les instances suivantes :

        • Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes)

        • Professionnel et/ou association d'aides aux victimes

        • Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr)

        • Administration de l'État

        • Commissariat de police ou gendarmerie (pour faire un signalement ou déposer plainte).

        À la Miviludes

        Vous souhaitez informer la Miviludes de l'existence ou d'un risque de dérive sectaire pour qu'une aide vous soit apportée ou pour être orienté dans vos démarches :

      • Informer la Miviludes de l'existence ou d'un risque de dérive sectaire - Téléservice
      • Vous pouvez également contacter les correspondants locaux de la Miviludes au sein des administrations régionales ou départementales.

        Les courriers aux correspondants locaux de la Miviludes au sein des administrations régionales ou départementales, et aux professionnels sont à adresser à M. ou Mme le correspondant Dérives sectaires du service ou de l'organisme concerné.

        Auprès des professionnels et des associations

        Vous pouvez également contacter les professionnels de santé (conseils départementaux de l'ordre des médecins, des pharmaciens,...) ou les associations de victimes de dérives sectaires.

        Ces différents interlocuteurs peuvent vous apporter de l'aide et des informations.

        Au Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr)

        Si vous êtes confronté à l'engagement radical d'un proche, vous pouvez contacter le Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr).

        Par téléphone

        Où s’adresser ?

        Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation (CNAPR)

        Écoute, informe et conseille les familles souhaitant signaler une situation de radicalisation.

        Par téléphone

        0 800 005 696

        Service et appels gratuits

        Du lundi au vendredi, de 9 h à 18 h.

          Auprès du rectorat, de l’Agence régionale de santé ou de la DDETS

          Vous pouvez également vous adresser par courrier au rectorat, à l’agence régionale de santé, à la direction départementale en charge de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS).

          Où s’adresser ?

          Rectorat

          Auprès du commissariat de police et de la gendarmerie

          Vous pouvez vous rendre au commissariat de police ou à la brigade de gendarmerie dès qu'une infraction est commise.

          Il peut en être ainsi, par exemple, en cas d'escroquerie (particuliers), d'abus de confiance (particuliers), d'abus sexuel sur mineur (particuliers), de maltraitance de personne âgée (particuliers).

          Vous pouvez aussi porter plainte pour abus de faiblesse, si aucune infraction spécifique à des dérives sectaires ne peut être invoquée.

          Votre plainte doit être dirigée contre l'association (et ses membres auteurs des infractions) pour que puisse être engagée sa responsabilité pénale comme personne morale (particuliers).

          Sur place

          Vous pouvez vous adresser à un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie de votre choix.

          Où s’adresser ?

          Commissariat

          Où s’adresser ?

          Gendarmerie

          La plainte est transmise au procureur de la République par la police ou la gendarmerie.

          Si la police ou la gendarmerie refusent de recueillir votre plainte pour violences conjugales, vous pouvez alerter les autorités de contrôle compétentes.

          Par courrier

          Vous pouvez déposer plainte auprès du procureur de la République.

          Pour cela, vous devez envoyer un courrier au tribunal judiciaire du lieu de l'infraction ou du domicile de l'auteur de l'infraction.

          Où s’adresser ?

          Tribunal judiciaire

          Votre courrier doit préciser les éléments suivants :

          • Votre état civil et vos coordonnées complètes (adresse et numéro de téléphone)

          • Récit détaillé des faits, date et lieu de l'infraction

          • Nom de l'auteur supposé si vous le connaissez (sinon, la plainte sera déposée contre X)

          • Nom et adresse des éventuels témoins de l'infraction

          • Description et estimation provisoire ou définitive du préjudice

          • Vos documents de preuve : certificats médicaux, arrêts de travail, photographies, vidéos, factures diverses, constats, etc.

          Vous pouvez utiliser le modèle de courrier suivant :

          Vous pouvez envoyer votre plainte en lettre recommandée avec accusé de réception, par lettre simple ou par lettre suivie.

          Vous pouvez aussi déposer votre plainte directement à l'accueil du tribunal.

          Dans tous les cas, un récépissé vous est remis dès que les services du procureur de la République ont enregistré votre plainte.

          La présence d'un avocat n'est pas obligatoire pour le dépôt de plainte et pendant toute la durée de la procédure jusqu'au procès devant le tribunal correctionnel. Toutefois, vous pouvez obtenir l'assistance d'un avocat si vous le souhaitez.

          Que faire en présence d'un mineur confronté à une dérive sectaire ?

          Faire un signalement aux services du département

          Les services départementaux de l'aide sociale à l'enfance (Ase) sont chargés du recueil et du traitement des informations préoccupantes concernant les mineurs en danger ou qui risquent de l'être.

          Après avoir évalué la situation, le service de l'Ase peut saisir le procureur de la République si ses actions se sont révélées inefficaces pour remédier à la situation de danger du mineur.

          Où s’adresser ?

          Département

          Appeler le service national d'accueil téléphonique de l'enfance en danger

          Les adultes et les mineurs confrontés ou préoccupés par une situation de risque et de danger peuvent effectuer un signalement au service national d'accueil téléphonique de l'enfance en danger (SNATED). Ce service est communément appelé Allô Enfance Maltraitée.

          Les informations préoccupantes sont transmises au service du département concerné.

          Où s’adresser ?

          Enfance en danger - 119

          Numéro d'appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d'enfant en danger ou en risque de l'être.

          Par téléphone

          119 (appel gratuit et confidentiel)

          24h/24 et 7 jours/7

          Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n'apparait pas sur les factures.

          Sur le site www.allo119.gouv.fr

          Tchat en temps réel destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

          Dispositif en langue des signes française pour les personnes sourdes et malentendantes

          Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

          Formulaire de recueil en ligne pour déposer une situation si vous êtes adulte

          Demander l'intervention du juge des enfants

          Le juge des enfants (particuliers) peut agir quand la santé, la sécurité ou la moralité d'un mineur sont en danger.

          Il peut aussi être fait appel au juge des enfants si les conditions d'éducation ou de développement physique, affectif, intellectuel et social sont gravement compromises.

          L'intervention du juge peut être demandée par l'un des 2 parents ou les 2 conjointement ou la personne ou le service à qui l'enfant a été confié ou le tuteur légal ou le mineur lui-même.

          Pour en savoir plus

          Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
          Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

          Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

          F31654.xml fichier non trouvé

          La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

          Demande d'implantation grue

          Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

          Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
          - Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
          - Mardi de 8h30 à 12h
          - Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
          - Jeudi de 13h30 à 17h
          - Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h