Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

Le conseil de prud'hommes peut juger qu'un licenciement est sans cause réelle et sérieuse : c'est ce que l'on appelle un licenciement abusif. Il peut aussi annuler un licenciement : dans ce cas, le licenciement est nul. Quand le salarié a perçu des allocations chômage entre le licenciement et la décision du juge, l'employeur doit dans certains cas les rembourser. Le salarié peut également être obligé de rembourser les allocations perçues. Nous faisons un point sur la réglementation.

La réglementation varie selon l'ancienneté du salarié dans l'entreprise et le nombre de salariés dans l'entreprise :

    Moins de 11 salariés

    La réglementation varie également selon que le licenciement est jugé sans cause réelle et sérieuse (particuliers) ou .

    L'employeur doit-il rembourser les allocations chômage perçues par le salarié si le licenciement est abusif ?

    Non, l'employeur ne doit pas rembourser les allocations chômage versées au salarié.

    Le salarié doit-il rembourser les allocations chômage qu'il a percues si le licenciement est abusif ?

    Non, le salarié ne doit pas rembourser les allocations chômage qu'il a perçues.

    L'employeur doit-il rembourser les allocations chômage que le salarié a perçues si le licenciement est nul ?

    Oui, l'employeur doit rembourser à France Travail (anciennement Pôle emploi) tout ou partie des allocations chômage versées au salariés quand le licenciement a été déclaré nul dans les situations suivantes :

    • Licenciement pour un motif discriminatoire (par exemple, un salarié licencié suite à l'exercice de son droit de grève (particuliers))

    • Licenciement du salarié suite à son action en justice concernant le respect du principe de non-discrimination (particuliers)

    • Licenciement suite à son action en justice concernant le respect du principe de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes

    • Licenciement du salarié victime de harcèlement moral (particuliers) ou ayant relaté ou témoigné sur de tels actes

    • Licenciement du salarié victime de harcèlement sexuel (particuliers) ou ayant relaté ou témoigné sur de tels actes.

    Le conseil de prud'hommes ordonne le remboursement par l'employeur des allocations chômage versées au salarié licencié.

    France Travail est informé du jugement et se charge du recouvrement des allocations auprès de l'employeur.

    L'employeur doit rembourser à France travail les allocations chômage versées au salarié entre la date de son licenciement et la date du jugement déclarant le licenciement nul.

    Le remboursement est toutefois limité à 6 mois d'allocation.

    Le salarié doit-il rembourser les allocations chômage qu'il a perçues si le licenciement est nul ?

    Selon que le salarié est salarié protégé (particuliers) (par exemple ancien membre élu au CSEconseiller du salarié (particuliers), conseiller prud'hommes (particuliers)) ou non, il peut lui être demandé de rembourser les allocations chômage qu'il a perçues :

    Cas général

    Non, le salarié ne doit pas rembourser les allocations chômage qu'il a perçues.

      Salarié protégé

      Oui, le salarié protégé doit rembourser les allocations chômage qu'il a perçues si toutes les conditions suivantes sont réunies :

      • Licenciement déclaré nul en raison de l'absence d'autorisation de l'inspection du travail (particuliers)

      • Réintégration du salarié dans l'entreprise

      • Condamnation de l'employeur à verser au salarié une somme correspondante aux salaires qu'il aurait dû percevoir entre son licenciement et sa réintégration.

      Le conseil de prud'hommes ordonne le remboursement par le salarié des allocations chômage qu'il a perçues après son licenciement.

      France Travail est informé du jugement et se charge du recouvrement des allocations auprès du salarié.

      Le salarié doit rembourser à France travail la totalité des allocations chômage qu'il a perçues entre la date de son licenciement et la date de sa réintégration dans l'entreprise.

        11 salariés et plus

        La réglementation varie selon que le licenciement est jugé sans cause réelle et sérieuse (particuliers) ou .

        L'employeur doit-il rembourser les allocations chômage perçues par le salarié si le licenciement est abusif ?

        En fonction de l'ancienneté du salarié, le juge peut ordonner à l'employeur de rembourser les allocations chômage perçues par le salarié après son licenciement :

        Le salarié a moins de 2 ans d'ancienneté

        Non, l'employeur ne doit pas rembourser les allocations chômage versées au salarié.

          Le salarié a 2 ans d'ancienneté et plus

          Oui, le conseil de prud'hommes peut ordonner le remboursement par l'employeur des allocations chômage versées au salarié entre la date de son licenciement et la date du jugement déclarant le licenciement abusif.

          À savoir

          Le montant du remboursement est fixé par le conseil de prud'hommes. Il est limité à 6 mois d'allocation chômage.

            Le salarié doit-il rembourser les allocations chômage qu'il a perçues si le licenciement est abusif ?

            Non, le salarié ne doit pas rembourser les allocations chômage qu'il a perçues.

            L'employeur doit-il rembourser les allocations chômage que le salarié a touchées si le licenciement est nul ?

            Oui, l'employeur doit rembourser à France Travail (anciennement Pôle emploi) tout ou partie des allocations chômage versées au salariés quand le licenciement a été déclaré nul dans les situations suivantes :

            • Licenciement pour un motif discriminatoire (par exemple, un salarié licencié suite à l'exercice de son droit de grève (particuliers))

            • Licenciement du salarié suite à son action en justice concernant le respect du principe de non-discrimination (particuliers)

            • Licenciement suite à son action en justice concernant le respect du principe de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes

            • Licenciement du salarié victime de harcèlement moral (particuliers) ou ayant relaté ou témoigné sur de tels actes

            • Licenciement du salarié victime de harcèlement sexuel (particuliers) ou ayant relaté ou témoigné sur de tels actes.

            • Licenciement prononcé en l'absence de décision de validation ou d'homologation du plan de sauvegarde de l'emploi (particuliers) ou de son annulation pour insuffisance du plan de sauvegarde de l'emploi, dans une entreprise employant au moins 50 salariés.

            Le conseil de prud'hommes ordonne le remboursement par l'employeur des allocations chômage versées au salarié licencié.

            France Travail est informé du jugement et se charge du recouvrement des allocations auprès de l'employeur.

            L'employeur doit rembourser à France travail les allocations chômage versées au salarié entre la date de son licenciement et la date du jugement déclarant le licenciement nul.

            Le remboursement est limité à 6 mois d'allocation.

            Le salarié doit-il rembourser les allocations chômage qu'il a perçues si le licenciement est nul ?

            Selon que le salarié est salarié protégé (particuliers) (par exemple élu au CSEconseiller du salarié (particuliers), conseiller prud'hommes (particuliers)) ou non, il peut lui être demandé de rembourser les allocations chômage qu'il a perçues.

            Cas général

            Non, le salarié ne doit pas rembourser les allocations chômage qu'il a perçues.

              Salarié protégé

              Oui, le salarié protégé doit rembourser les allocations chômage qu'il a perçues si toutes les conditions suivantes sont réunies :

              • Licenciement déclaré nul en raison de l'absence d'autorisation de l'inspection du travail (particuliers)

              • Réintégration du salarié dans l'entreprise

              • Condamnation de l'employeur à verser au salarié une somme correspondante aux salaires qu'il aurait dû percevoir entre son licenciement et sa réintégration.

              Le conseil de prud'hommes ordonne le remboursement par le salarié des allocations chômage qu'il a perçues après son licenciement.

              France Travail est informé du jugement et se charge du recouvrement des allocations auprès du salarié.

              Le salarié doit rembourser à France travail la totalité des allocations chômage qu'il a perçues entre la date de son licenciement et la date de sa réintégration dans l'entreprise.

              Références

              Le conseil de prud'hommes peut juger qu'un licenciement est sans cause réelle et sérieuse : c'est ce que l'on appelle un licenciement abusif. Il peut aussi annuler un licenciement : dans ce cas, le licenciement est nul. Quand le salarié a perçu des allocations chômage entre le licenciement et la décision du juge, l'employeur doit dans certains cas les rembourser. Le salarié peut également être obligé de rembourser les allocations perçues. Nous faisons un point sur la réglementation.

              La réglementation varie selon l'ancienneté du salarié dans l'entreprise et le nombre de salariés dans l'entreprise :

                Moins de 11 salariés

                La réglementation varie également selon que le licenciement est jugé sans cause réelle et sérieuse (particuliers) ou .

                L'employeur doit-il rembourser les allocations chômage perçues par le salarié si le licenciement est abusif ?

                Non, l'employeur ne doit pas rembourser les allocations chômage versées au salarié.

                Le salarié doit-il rembourser les allocations chômage qu'il a percues si le licenciement est abusif ?

                Non, le salarié ne doit pas rembourser les allocations chômage qu'il a perçues.

                L'employeur doit-il rembourser les allocations chômage que le salarié a perçues si le licenciement est nul ?

                Oui, l'employeur doit rembourser à France Travail (anciennement Pôle emploi) tout ou partie des allocations chômage versées au salariés quand le licenciement a été déclaré nul dans les situations suivantes :

                • Licenciement pour un motif discriminatoire (par exemple, un salarié licencié suite à l'exercice de son droit de grève (particuliers))

                • Licenciement du salarié suite à son action en justice concernant le respect du principe de non-discrimination (particuliers)

                • Licenciement suite à son action en justice concernant le respect du principe de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes

                • Licenciement du salarié victime de harcèlement moral (particuliers) ou ayant relaté ou témoigné sur de tels actes

                • Licenciement du salarié victime de harcèlement sexuel (particuliers) ou ayant relaté ou témoigné sur de tels actes.

                Le conseil de prud'hommes ordonne le remboursement par l'employeur des allocations chômage versées au salarié licencié.

                France Travail est informé du jugement et se charge du recouvrement des allocations auprès de l'employeur.

                L'employeur doit rembourser à France travail les allocations chômage versées au salarié entre la date de son licenciement et la date du jugement déclarant le licenciement nul.

                Le remboursement est toutefois limité à 6 mois d'allocation.

                Le salarié doit-il rembourser les allocations chômage qu'il a perçues si le licenciement est nul ?

                Selon que le salarié est salarié protégé (particuliers) (par exemple ancien membre élu au CSEconseiller du salarié (particuliers), conseiller prud'hommes (particuliers)) ou non, il peut lui être demandé de rembourser les allocations chômage qu'il a perçues :

                Cas général

                Non, le salarié ne doit pas rembourser les allocations chômage qu'il a perçues.

                  Salarié protégé

                  Oui, le salarié protégé doit rembourser les allocations chômage qu'il a perçues si toutes les conditions suivantes sont réunies :

                  • Licenciement déclaré nul en raison de l'absence d'autorisation de l'inspection du travail (particuliers)

                  • Réintégration du salarié dans l'entreprise

                  • Condamnation de l'employeur à verser au salarié une somme correspondante aux salaires qu'il aurait dû percevoir entre son licenciement et sa réintégration.

                  Le conseil de prud'hommes ordonne le remboursement par le salarié des allocations chômage qu'il a perçues après son licenciement.

                  France Travail est informé du jugement et se charge du recouvrement des allocations auprès du salarié.

                  Le salarié doit rembourser à France travail la totalité des allocations chômage qu'il a perçues entre la date de son licenciement et la date de sa réintégration dans l'entreprise.

                    11 salariés et plus

                    La réglementation varie selon que le licenciement est jugé sans cause réelle et sérieuse (particuliers) ou .

                    L'employeur doit-il rembourser les allocations chômage perçues par le salarié si le licenciement est abusif ?

                    En fonction de l'ancienneté du salarié, le juge peut ordonner à l'employeur de rembourser les allocations chômage perçues par le salarié après son licenciement :

                    Le salarié a moins de 2 ans d'ancienneté

                    Non, l'employeur ne doit pas rembourser les allocations chômage versées au salarié.

                      Le salarié a 2 ans d'ancienneté et plus

                      Oui, le conseil de prud'hommes peut ordonner le remboursement par l'employeur des allocations chômage versées au salarié entre la date de son licenciement et la date du jugement déclarant le licenciement abusif.

                      À savoir

                      Le montant du remboursement est fixé par le conseil de prud'hommes. Il est limité à 6 mois d'allocation chômage.

                        Le salarié doit-il rembourser les allocations chômage qu'il a perçues si le licenciement est abusif ?

                        Non, le salarié ne doit pas rembourser les allocations chômage qu'il a perçues.

                        L'employeur doit-il rembourser les allocations chômage que le salarié a touchées si le licenciement est nul ?

                        Oui, l'employeur doit rembourser à France Travail (anciennement Pôle emploi) tout ou partie des allocations chômage versées au salariés quand le licenciement a été déclaré nul dans les situations suivantes :

                        • Licenciement pour un motif discriminatoire (par exemple, un salarié licencié suite à l'exercice de son droit de grève (particuliers))

                        • Licenciement du salarié suite à son action en justice concernant le respect du principe de non-discrimination (particuliers)

                        • Licenciement suite à son action en justice concernant le respect du principe de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes

                        • Licenciement du salarié victime de harcèlement moral (particuliers) ou ayant relaté ou témoigné sur de tels actes

                        • Licenciement du salarié victime de harcèlement sexuel (particuliers) ou ayant relaté ou témoigné sur de tels actes.

                        • Licenciement prononcé en l'absence de décision de validation ou d'homologation du plan de sauvegarde de l'emploi (particuliers) ou de son annulation pour insuffisance du plan de sauvegarde de l'emploi, dans une entreprise employant au moins 50 salariés.

                        Le conseil de prud'hommes ordonne le remboursement par l'employeur des allocations chômage versées au salarié licencié.

                        France Travail est informé du jugement et se charge du recouvrement des allocations auprès de l'employeur.

                        L'employeur doit rembourser à France travail les allocations chômage versées au salarié entre la date de son licenciement et la date du jugement déclarant le licenciement nul.

                        Le remboursement est limité à 6 mois d'allocation.

                        Le salarié doit-il rembourser les allocations chômage qu'il a perçues si le licenciement est nul ?

                        Selon que le salarié est salarié protégé (particuliers) (par exemple élu au CSEconseiller du salarié (particuliers), conseiller prud'hommes (particuliers)) ou non, il peut lui être demandé de rembourser les allocations chômage qu'il a perçues.

                        Cas général

                        Non, le salarié ne doit pas rembourser les allocations chômage qu'il a perçues.

                          Salarié protégé

                          Oui, le salarié protégé doit rembourser les allocations chômage qu'il a perçues si toutes les conditions suivantes sont réunies :

                          • Licenciement déclaré nul en raison de l'absence d'autorisation de l'inspection du travail (particuliers)

                          • Réintégration du salarié dans l'entreprise

                          • Condamnation de l'employeur à verser au salarié une somme correspondante aux salaires qu'il aurait dû percevoir entre son licenciement et sa réintégration.

                          Le conseil de prud'hommes ordonne le remboursement par le salarié des allocations chômage qu'il a perçues après son licenciement.

                          France Travail est informé du jugement et se charge du recouvrement des allocations auprès du salarié.

                          Le salarié doit rembourser à France travail la totalité des allocations chômage qu'il a perçues entre la date de son licenciement et la date de sa réintégration dans l'entreprise.

                          Références

                          A noter :
                          le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

                          Le conseil de prud'hommes peut juger qu'un licenciement est sans cause réelle et sérieuse : c'est ce que l'on appelle un licenciement abusif. Il peut aussi annuler un licenciement : dans ce cas, le licenciement est nul. Quand le salarié a perçu des allocations chômage entre le licenciement et la décision du juge, l'employeur doit dans certains cas les rembourser. Le salarié peut également être obligé de rembourser les allocations perçues. Nous faisons un point sur la réglementation.

                          La réglementation varie selon l'ancienneté du salarié dans l'entreprise et le nombre de salariés dans l'entreprise :

                            Moins de 11 salariés

                            La réglementation varie également selon que le licenciement est jugé sans cause réelle et sérieuse (particuliers) ou .

                            L'employeur doit-il rembourser les allocations chômage perçues par le salarié si le licenciement est abusif ?

                            Non, l'employeur ne doit pas rembourser les allocations chômage versées au salarié.

                            Le salarié doit-il rembourser les allocations chômage qu'il a percues si le licenciement est abusif ?

                            Non, le salarié ne doit pas rembourser les allocations chômage qu'il a perçues.

                            L'employeur doit-il rembourser les allocations chômage que le salarié a perçues si le licenciement est nul ?

                            Oui, l'employeur doit rembourser à France Travail (anciennement Pôle emploi) tout ou partie des allocations chômage versées au salariés quand le licenciement a été déclaré nul dans les situations suivantes :

                            • Licenciement pour un motif discriminatoire (par exemple, un salarié licencié suite à l'exercice de son droit de grève (particuliers))

                            • Licenciement du salarié suite à son action en justice concernant le respect du principe de non-discrimination (particuliers)

                            • Licenciement suite à son action en justice concernant le respect du principe de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes

                            • Licenciement du salarié victime de harcèlement moral (particuliers) ou ayant relaté ou témoigné sur de tels actes

                            • Licenciement du salarié victime de harcèlement sexuel (particuliers) ou ayant relaté ou témoigné sur de tels actes.

                            Le conseil de prud'hommes ordonne le remboursement par l'employeur des allocations chômage versées au salarié licencié.

                            France Travail est informé du jugement et se charge du recouvrement des allocations auprès de l'employeur.

                            L'employeur doit rembourser à France travail les allocations chômage versées au salarié entre la date de son licenciement et la date du jugement déclarant le licenciement nul.

                            Le remboursement est toutefois limité à 6 mois d'allocation.

                            Le salarié doit-il rembourser les allocations chômage qu'il a perçues si le licenciement est nul ?

                            Selon que le salarié est salarié protégé (particuliers) (par exemple ancien membre élu au CSEconseiller du salarié (particuliers), conseiller prud'hommes (particuliers)) ou non, il peut lui être demandé de rembourser les allocations chômage qu'il a perçues :

                            Cas général

                            Non, le salarié ne doit pas rembourser les allocations chômage qu'il a perçues.

                              Salarié protégé

                              Oui, le salarié protégé doit rembourser les allocations chômage qu'il a perçues si toutes les conditions suivantes sont réunies :

                              • Licenciement déclaré nul en raison de l'absence d'autorisation de l'inspection du travail (particuliers)

                              • Réintégration du salarié dans l'entreprise

                              • Condamnation de l'employeur à verser au salarié une somme correspondante aux salaires qu'il aurait dû percevoir entre son licenciement et sa réintégration.

                              Le conseil de prud'hommes ordonne le remboursement par le salarié des allocations chômage qu'il a perçues après son licenciement.

                              France Travail est informé du jugement et se charge du recouvrement des allocations auprès du salarié.

                              Le salarié doit rembourser à France travail la totalité des allocations chômage qu'il a perçues entre la date de son licenciement et la date de sa réintégration dans l'entreprise.

                                11 salariés et plus

                                La réglementation varie selon que le licenciement est jugé sans cause réelle et sérieuse (particuliers) ou .

                                L'employeur doit-il rembourser les allocations chômage perçues par le salarié si le licenciement est abusif ?

                                En fonction de l'ancienneté du salarié, le juge peut ordonner à l'employeur de rembourser les allocations chômage perçues par le salarié après son licenciement :

                                Le salarié a moins de 2 ans d'ancienneté

                                Non, l'employeur ne doit pas rembourser les allocations chômage versées au salarié.

                                  Le salarié a 2 ans d'ancienneté et plus

                                  Oui, le conseil de prud'hommes peut ordonner le remboursement par l'employeur des allocations chômage versées au salarié entre la date de son licenciement et la date du jugement déclarant le licenciement abusif.

                                  À savoir

                                  Le montant du remboursement est fixé par le conseil de prud'hommes. Il est limité à 6 mois d'allocation chômage.

                                    Le salarié doit-il rembourser les allocations chômage qu'il a perçues si le licenciement est abusif ?

                                    Non, le salarié ne doit pas rembourser les allocations chômage qu'il a perçues.

                                    L'employeur doit-il rembourser les allocations chômage que le salarié a touchées si le licenciement est nul ?

                                    Oui, l'employeur doit rembourser à France Travail (anciennement Pôle emploi) tout ou partie des allocations chômage versées au salariés quand le licenciement a été déclaré nul dans les situations suivantes :

                                    • Licenciement pour un motif discriminatoire (par exemple, un salarié licencié suite à l'exercice de son droit de grève (particuliers))

                                    • Licenciement du salarié suite à son action en justice concernant le respect du principe de non-discrimination (particuliers)

                                    • Licenciement suite à son action en justice concernant le respect du principe de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes

                                    • Licenciement du salarié victime de harcèlement moral (particuliers) ou ayant relaté ou témoigné sur de tels actes

                                    • Licenciement du salarié victime de harcèlement sexuel (particuliers) ou ayant relaté ou témoigné sur de tels actes.

                                    • Licenciement prononcé en l'absence de décision de validation ou d'homologation du plan de sauvegarde de l'emploi (particuliers) ou de son annulation pour insuffisance du plan de sauvegarde de l'emploi, dans une entreprise employant au moins 50 salariés.

                                    Le conseil de prud'hommes ordonne le remboursement par l'employeur des allocations chômage versées au salarié licencié.

                                    France Travail est informé du jugement et se charge du recouvrement des allocations auprès de l'employeur.

                                    L'employeur doit rembourser à France travail les allocations chômage versées au salarié entre la date de son licenciement et la date du jugement déclarant le licenciement nul.

                                    Le remboursement est limité à 6 mois d'allocation.

                                    Le salarié doit-il rembourser les allocations chômage qu'il a perçues si le licenciement est nul ?

                                    Selon que le salarié est salarié protégé (particuliers) (par exemple élu au CSEconseiller du salarié (particuliers), conseiller prud'hommes (particuliers)) ou non, il peut lui être demandé de rembourser les allocations chômage qu'il a perçues.

                                    Cas général

                                    Non, le salarié ne doit pas rembourser les allocations chômage qu'il a perçues.

                                      Salarié protégé

                                      Oui, le salarié protégé doit rembourser les allocations chômage qu'il a perçues si toutes les conditions suivantes sont réunies :

                                      • Licenciement déclaré nul en raison de l'absence d'autorisation de l'inspection du travail (particuliers)

                                      • Réintégration du salarié dans l'entreprise

                                      • Condamnation de l'employeur à verser au salarié une somme correspondante aux salaires qu'il aurait dû percevoir entre son licenciement et sa réintégration.

                                      Le conseil de prud'hommes ordonne le remboursement par le salarié des allocations chômage qu'il a perçues après son licenciement.

                                      France Travail est informé du jugement et se charge du recouvrement des allocations auprès du salarié.

                                      Le salarié doit rembourser à France travail la totalité des allocations chômage qu'il a perçues entre la date de son licenciement et la date de sa réintégration dans l'entreprise.

                                      Références

                                      Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
                                      Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

                                      Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

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                                      La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

                                      Demande d'implantation grue

                                      Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

                                      Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
                                      - Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
                                      - Mardi de 8h30 à 12h
                                      - Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
                                      - Jeudi de 13h30 à 17h
                                      - Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h