Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

L'employeur peut proposer un congé de mobilité au salarié dans le cadre d'un accord collectif sur la GPEC ou d'une RCC. Ce congé favorise le retour à un emploi stable pour le salarié, par des mesures d'accompagnement, des actions de formation et des périodes de travail en CDI ou en CDD. Ce congé respecte les règles fixées par l'accord collectif. Quelles sont les caractéristiques d'un congé de mobilité ? Nous faisons le point sur la réglementation.

Qu'est-ce qu'un congé de mobilité pour un salarié ?

Le congé de mobilité permet au salarié qui le souhaite et qui remplit les conditions pour en bénéficier, de préparer une reconversion professionnelle. Il a pour objet de favoriser le retour à un emploi stable à l'issue du congé.

Des mesures d'accompagnement, des actions de formation et des périodes de travail au sein ou hors de l'entreprise sont proposées au salarié pendant le congé.

Il peut être proposé dans le cadre d'un accord sur la GPEC ou d'un accord de  .

Pour l'employeur, le congé de mobilité permet d'anticiper l'impact des mutations économiques sur la gestion du personnel en dehors de toutes difficultés économiques.

Attention

Le contrat de travail du salarié qui accepte le congé de mobilité est rompu d'un commun accord à la date de fin de ce congé. Il ne doit pas être confondu avec la mobilité volontaire sécurisée (particuliers).

Quelles entreprises peuvent proposer un congé de mobilité ?

Les entreprises ayant conclu un accord sur la GPEC ou de RCC peuvent proposer le congé de mobilité.

Accord sur la GPEC

L'obligation de négocier un accord de GPEC concerne les entreprises suivantes :

  • Entreprise ou groupe d'entreprises d'au moins 300 salariés dont le siège est en France

  • Entreprise ou groupe de dimension communautaire comportant au moins 1 établissement d'au moins 150 salariés en France.

    Accord de RCC

    L'accord de RCC est ouvert à toutes les entreprises quelque soit l'effectif.

      Comment l'employeur propose-t-il un congé de mobilité au salarié ?

      Le congé de mobilité est proposé par l'employeur soit dans le cadre d'un accord de RCC, soit dans le cadre d'un accord sur la GPEC.

      Les conditions d'adhésion du salarié au congé de mobilité sont précisées dans l'accord collectif qui le propose.

      Connaître les clauses obligatoires de l'accord collectif proposant le congé de mobilité

      L'accord collectif détermine les éléments suivants :

      • Durée du congé de mobilité

      • Conditions que doit remplir le salarié pour en bénéficier

      • Mode d'adhésion du salarié à la proposition de l'employeur, comprenant les conditions d'expression de son consentement écrit, et les engagements des parties

      • Organisation des périodes de travail, les conditions auxquelles il est mis fin au congé et les modes d'accompagnement des actions de formation envisagées

      • Niveau de la rémunération versée pendant la période du congé de mobilité

      • Conditions d'information des institutions représentatives du personnel

      • Indemnités de rupture garanties au salarié, qui ne peuvent être inférieures aux indemnités légales (particuliers) dues en cas de licenciement pour motif économique.

      Dans le cadre d'un accord GPEC , l'employeur doit transmettre tous les 6 mois, le bilan des ruptures prononcées dans le cadre du congé de mobilité à la Dreets .

      Pour cela, il doit utiliser le portail des ruptures collectives de contrats de travail :

    • Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO) - Téléservice
    • Quelle est la durée du congé de mobilité d'un salarié ?

      La durée du congé est précisée par l'accord collectif sur la GPEC ou de RCC qui le met en place.

      Elle correspond à la période de maintien du contrat de travail avant sa rupture.

      Elle est laissée au libre choix des négociateurs.

      Comment se déroule le congé de mobilité d'un salarié ?

      L'organisation des périodes de travail, les mesures d'accompagnement et les actions de formation envisagées, sont précisées dans l'accord collectif sur la GPEC ou de RCC qui le propose.

      Les périodes de travail proposées aux salariés peuvent être accomplies au sein ou en dehors de l'entreprise, dans le cadre d'un nouveau CDI ou d'un CDD.

      Lorsque le salarié a signé un CDD, le congé de mobilité est suspendu. Il reprend à l'issue du CDD pour la durée restant à courir.

      Quelle est la rémunération perçue par le salarié pendant un congé de mobilité ?

      La rémunération versée pendant le congé de mobilité est fixée par l'accord collectif relatif à la GPEC ou de RCC.

      Elle varie selon les périodes travaillées ou non travaillées pendant ce congé :

      Rémunération des périodes travaillées

      Le salarié en congé de mobilité doit percevoir la rémunération correspondant au travail qu'il effectue, selon les règles applicables dans l'entreprise d'accueil.

      Elle ne peut pas être inférieure à celle perçue lors des périodes non travaillées.

        Rémunération des périodes non travaillées

        Elle correspond au minimum à 65 % de la rémunération brute moyenne des 12 derniers mois précédant l'entrée en congé.

        Au minimum, le montant de l'allocation doit atteindre 10,10 € par heure, multipliée par la durée collective de travail fixée dans l'entreprise (soit 1 531,53 € si l'entreprise applique les 35 heures).

        La rémunération versée est exonérée de cotisations sociales pendant les 12 premiers mois du congé, pouvant être portés à 24 mois en cas de formation de reconversion professionnelle.

        Elle reste soumise à la contribution sociale généralisée (CSG) et la contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS).

          Que se passe-t-il pour le salarié à la fin du congé de mobilité ?

          Le contrat de travail du salarié qui accepte le congé de mobilité est rompu d'un commun accord à la date de fin de ce congé

          Le salarié perçoit les indemnités de rupture prévues par l'accord collectif.

          Le salarié qui n'a pas retrouvé d'emploi à l'issue du congé de mobilité peut prétendre à l'allocation chômage d'aide au retour à l'emploi (ARE) (particuliers), sous conditions.

          À noter

          La rupture amiable dans le cadre du congé mobilité pour les salariés protégés, est soumise à l'autorisation de l'inspecteur du travail.

          Pour en savoir plus

          Voir aussi...

          Références

          Services en ligne et formulaires

          L'employeur peut proposer un congé de mobilité au salarié dans le cadre d'un accord collectif sur la GPEC ou d'une RCC. Ce congé favorise le retour à un emploi stable pour le salarié, par des mesures d'accompagnement, des actions de formation et des périodes de travail en CDI ou en CDD. Ce congé respecte les règles fixées par l'accord collectif. Quelles sont les caractéristiques d'un congé de mobilité ? Nous faisons le point sur la réglementation.

          Qu'est-ce qu'un congé de mobilité pour un salarié ?

          Le congé de mobilité permet au salarié qui le souhaite et qui remplit les conditions pour en bénéficier, de préparer une reconversion professionnelle. Il a pour objet de favoriser le retour à un emploi stable à l'issue du congé.

          Des mesures d'accompagnement, des actions de formation et des périodes de travail au sein ou hors de l'entreprise sont proposées au salarié pendant le congé.

          Il peut être proposé dans le cadre d'un accord sur la GPEC ou d'un accord de  .

          Pour l'employeur, le congé de mobilité permet d'anticiper l'impact des mutations économiques sur la gestion du personnel en dehors de toutes difficultés économiques.

          Attention

          Le contrat de travail du salarié qui accepte le congé de mobilité est rompu d'un commun accord à la date de fin de ce congé. Il ne doit pas être confondu avec la mobilité volontaire sécurisée (particuliers).

          Quelles entreprises peuvent proposer un congé de mobilité ?

          Les entreprises ayant conclu un accord sur la GPEC ou de RCC peuvent proposer le congé de mobilité.

          Accord sur la GPEC

          L'obligation de négocier un accord de GPEC concerne les entreprises suivantes :

          • Entreprise ou groupe d'entreprises d'au moins 300 salariés dont le siège est en France

          • Entreprise ou groupe de dimension communautaire comportant au moins 1 établissement d'au moins 150 salariés en France.

            Accord de RCC

            L'accord de RCC est ouvert à toutes les entreprises quelque soit l'effectif.

              Comment l'employeur propose-t-il un congé de mobilité au salarié ?

              Le congé de mobilité est proposé par l'employeur soit dans le cadre d'un accord de RCC, soit dans le cadre d'un accord sur la GPEC.

              Les conditions d'adhésion du salarié au congé de mobilité sont précisées dans l'accord collectif qui le propose.

              Connaître les clauses obligatoires de l'accord collectif proposant le congé de mobilité

              L'accord collectif détermine les éléments suivants :

              • Durée du congé de mobilité

              • Conditions que doit remplir le salarié pour en bénéficier

              • Mode d'adhésion du salarié à la proposition de l'employeur, comprenant les conditions d'expression de son consentement écrit, et les engagements des parties

              • Organisation des périodes de travail, les conditions auxquelles il est mis fin au congé et les modes d'accompagnement des actions de formation envisagées

              • Niveau de la rémunération versée pendant la période du congé de mobilité

              • Conditions d'information des institutions représentatives du personnel

              • Indemnités de rupture garanties au salarié, qui ne peuvent être inférieures aux indemnités légales (particuliers) dues en cas de licenciement pour motif économique.

              Dans le cadre d'un accord GPEC , l'employeur doit transmettre tous les 6 mois, le bilan des ruptures prononcées dans le cadre du congé de mobilité à la Dreets .

              Pour cela, il doit utiliser le portail des ruptures collectives de contrats de travail :

            • Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO) - Téléservice
            • Quelle est la durée du congé de mobilité d'un salarié ?

              La durée du congé est précisée par l'accord collectif sur la GPEC ou de RCC qui le met en place.

              Elle correspond à la période de maintien du contrat de travail avant sa rupture.

              Elle est laissée au libre choix des négociateurs.

              Comment se déroule le congé de mobilité d'un salarié ?

              L'organisation des périodes de travail, les mesures d'accompagnement et les actions de formation envisagées, sont précisées dans l'accord collectif sur la GPEC ou de RCC qui le propose.

              Les périodes de travail proposées aux salariés peuvent être accomplies au sein ou en dehors de l'entreprise, dans le cadre d'un nouveau CDI ou d'un CDD.

              Lorsque le salarié a signé un CDD, le congé de mobilité est suspendu. Il reprend à l'issue du CDD pour la durée restant à courir.

              Quelle est la rémunération perçue par le salarié pendant un congé de mobilité ?

              La rémunération versée pendant le congé de mobilité est fixée par l'accord collectif relatif à la GPEC ou de RCC.

              Elle varie selon les périodes travaillées ou non travaillées pendant ce congé :

              Rémunération des périodes travaillées

              Le salarié en congé de mobilité doit percevoir la rémunération correspondant au travail qu'il effectue, selon les règles applicables dans l'entreprise d'accueil.

              Elle ne peut pas être inférieure à celle perçue lors des périodes non travaillées.

                Rémunération des périodes non travaillées

                Elle correspond au minimum à 65 % de la rémunération brute moyenne des 12 derniers mois précédant l'entrée en congé.

                Au minimum, le montant de l'allocation doit atteindre 10,10 € par heure, multipliée par la durée collective de travail fixée dans l'entreprise (soit 1 531,53 € si l'entreprise applique les 35 heures).

                La rémunération versée est exonérée de cotisations sociales pendant les 12 premiers mois du congé, pouvant être portés à 24 mois en cas de formation de reconversion professionnelle.

                Elle reste soumise à la contribution sociale généralisée (CSG) et la contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS).

                  Que se passe-t-il pour le salarié à la fin du congé de mobilité ?

                  Le contrat de travail du salarié qui accepte le congé de mobilité est rompu d'un commun accord à la date de fin de ce congé

                  Le salarié perçoit les indemnités de rupture prévues par l'accord collectif.

                  Le salarié qui n'a pas retrouvé d'emploi à l'issue du congé de mobilité peut prétendre à l'allocation chômage d'aide au retour à l'emploi (ARE) (particuliers), sous conditions.

                  À noter

                  La rupture amiable dans le cadre du congé mobilité pour les salariés protégés, est soumise à l'autorisation de l'inspecteur du travail.

                  Pour en savoir plus

                  Voir aussi...

                  Références

                  Services en ligne et formulaires

                  A noter :
                  le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

                  L'employeur peut proposer un congé de mobilité au salarié dans le cadre d'un accord collectif sur la GPEC ou d'une RCC. Ce congé favorise le retour à un emploi stable pour le salarié, par des mesures d'accompagnement, des actions de formation et des périodes de travail en CDI ou en CDD. Ce congé respecte les règles fixées par l'accord collectif. Quelles sont les caractéristiques d'un congé de mobilité ? Nous faisons le point sur la réglementation.

                  Qu'est-ce qu'un congé de mobilité pour un salarié ?

                  Le congé de mobilité permet au salarié qui le souhaite et qui remplit les conditions pour en bénéficier, de préparer une reconversion professionnelle. Il a pour objet de favoriser le retour à un emploi stable à l'issue du congé.

                  Des mesures d'accompagnement, des actions de formation et des périodes de travail au sein ou hors de l'entreprise sont proposées au salarié pendant le congé.

                  Il peut être proposé dans le cadre d'un accord sur la GPEC ou d'un accord de  .

                  Pour l'employeur, le congé de mobilité permet d'anticiper l'impact des mutations économiques sur la gestion du personnel en dehors de toutes difficultés économiques.

                  Attention

                  Le contrat de travail du salarié qui accepte le congé de mobilité est rompu d'un commun accord à la date de fin de ce congé. Il ne doit pas être confondu avec la mobilité volontaire sécurisée (particuliers).

                  Quelles entreprises peuvent proposer un congé de mobilité ?

                  Les entreprises ayant conclu un accord sur la GPEC ou de RCC peuvent proposer le congé de mobilité.

                  Accord sur la GPEC

                  L'obligation de négocier un accord de GPEC concerne les entreprises suivantes :

                  • Entreprise ou groupe d'entreprises d'au moins 300 salariés dont le siège est en France

                  • Entreprise ou groupe de dimension communautaire comportant au moins 1 établissement d'au moins 150 salariés en France.

                    Accord de RCC

                    L'accord de RCC est ouvert à toutes les entreprises quelque soit l'effectif.

                      Comment l'employeur propose-t-il un congé de mobilité au salarié ?

                      Le congé de mobilité est proposé par l'employeur soit dans le cadre d'un accord de RCC, soit dans le cadre d'un accord sur la GPEC.

                      Les conditions d'adhésion du salarié au congé de mobilité sont précisées dans l'accord collectif qui le propose.

                      Connaître les clauses obligatoires de l'accord collectif proposant le congé de mobilité

                      L'accord collectif détermine les éléments suivants :

                      • Durée du congé de mobilité

                      • Conditions que doit remplir le salarié pour en bénéficier

                      • Mode d'adhésion du salarié à la proposition de l'employeur, comprenant les conditions d'expression de son consentement écrit, et les engagements des parties

                      • Organisation des périodes de travail, les conditions auxquelles il est mis fin au congé et les modes d'accompagnement des actions de formation envisagées

                      • Niveau de la rémunération versée pendant la période du congé de mobilité

                      • Conditions d'information des institutions représentatives du personnel

                      • Indemnités de rupture garanties au salarié, qui ne peuvent être inférieures aux indemnités légales (particuliers) dues en cas de licenciement pour motif économique.

                      Dans le cadre d'un accord GPEC , l'employeur doit transmettre tous les 6 mois, le bilan des ruptures prononcées dans le cadre du congé de mobilité à la Dreets .

                      Pour cela, il doit utiliser le portail des ruptures collectives de contrats de travail :

                    • Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO) - Téléservice
                    • Quelle est la durée du congé de mobilité d'un salarié ?

                      La durée du congé est précisée par l'accord collectif sur la GPEC ou de RCC qui le met en place.

                      Elle correspond à la période de maintien du contrat de travail avant sa rupture.

                      Elle est laissée au libre choix des négociateurs.

                      Comment se déroule le congé de mobilité d'un salarié ?

                      L'organisation des périodes de travail, les mesures d'accompagnement et les actions de formation envisagées, sont précisées dans l'accord collectif sur la GPEC ou de RCC qui le propose.

                      Les périodes de travail proposées aux salariés peuvent être accomplies au sein ou en dehors de l'entreprise, dans le cadre d'un nouveau CDI ou d'un CDD.

                      Lorsque le salarié a signé un CDD, le congé de mobilité est suspendu. Il reprend à l'issue du CDD pour la durée restant à courir.

                      Quelle est la rémunération perçue par le salarié pendant un congé de mobilité ?

                      La rémunération versée pendant le congé de mobilité est fixée par l'accord collectif relatif à la GPEC ou de RCC.

                      Elle varie selon les périodes travaillées ou non travaillées pendant ce congé :

                      Rémunération des périodes travaillées

                      Le salarié en congé de mobilité doit percevoir la rémunération correspondant au travail qu'il effectue, selon les règles applicables dans l'entreprise d'accueil.

                      Elle ne peut pas être inférieure à celle perçue lors des périodes non travaillées.

                        Rémunération des périodes non travaillées

                        Elle correspond au minimum à 65 % de la rémunération brute moyenne des 12 derniers mois précédant l'entrée en congé.

                        Au minimum, le montant de l'allocation doit atteindre 10,10 € par heure, multipliée par la durée collective de travail fixée dans l'entreprise (soit 1 531,53 € si l'entreprise applique les 35 heures).

                        La rémunération versée est exonérée de cotisations sociales pendant les 12 premiers mois du congé, pouvant être portés à 24 mois en cas de formation de reconversion professionnelle.

                        Elle reste soumise à la contribution sociale généralisée (CSG) et la contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS).

                          Que se passe-t-il pour le salarié à la fin du congé de mobilité ?

                          Le contrat de travail du salarié qui accepte le congé de mobilité est rompu d'un commun accord à la date de fin de ce congé

                          Le salarié perçoit les indemnités de rupture prévues par l'accord collectif.

                          Le salarié qui n'a pas retrouvé d'emploi à l'issue du congé de mobilité peut prétendre à l'allocation chômage d'aide au retour à l'emploi (ARE) (particuliers), sous conditions.

                          À noter

                          La rupture amiable dans le cadre du congé mobilité pour les salariés protégés, est soumise à l'autorisation de l'inspecteur du travail.

                          Pour en savoir plus

                          Voir aussi...

                          Références

                          Services en ligne et formulaires

                          Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
                          Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

                          Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

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                          La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

                          Demande d'implantation grue

                          Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

                          Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
                          - Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
                          - Mardi de 8h30 à 12h
                          - Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
                          - Jeudi de 13h30 à 17h
                          - Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h