Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

Oui, durant un arrêt de travail, un salarié peut suivre une formation. Le versement de l'indemnité journalière (particuliers) n'empêche pas de se former.

Mais pour cela, le salarié doit obtenir l'accord de son médecin.

À savoir

Le contrat de travail du salarié est suspendu (particuliers) pendant les périodes au cours desquelles le salarié en arrêt de travail bénéficie d'une formation.

Le salarié doit :

  • Obtenir, d'abord, l'accord écrit de son médecin traitant (particuliers)

  • Et, ensuite, transmettre cet accord par courrier à sa CPAM, de préférence par lettre recommandée avec avis de réception.

La durée de la formation doit être compatible avec la durée prévisionnelle de l'arrêt de travail pour que la CPAM donne son accord.

En cas d'accord donné, la CPAM le transmet au salarié et, le cas échéant, à l'employeur et au médecin du travail. 

Attention

En cas de non-respect de la procédure, le salarié s'expose à l'interruption de ses indemnités journalières.

Les formations susceptibles d'être suivies par le salarié sont les suivantes :

Il est également possible de suivre des actions auxquelles la Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM) participe. Il s'agit des actions liées :

  • Au conseil

  • À l'évaluation

  • À l'information

  • À l'accompagnement.

Que comprennent les actions d'accompagnement de la CPAM ?

Les actions d'accompagnement comprennent notamment l'essai encadré.

Cet essai permet au bénéficiaire, pendant l'arrêt de travail, de tester :

  • Sa capacité à reprendre son ancien poste

  • Un aménagement de poste

  • Un nouveau poste.

Cet essai permet aussi au salarié de préparer une reconversion professionnelle.

Où s'adresser ?

Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM)

Pour obtenir des informations en cas d’arrêt de travail et de difficultés à reprendre votre activité professionnelle

Voir aussi...

Références

Oui, durant un arrêt de travail, un salarié peut suivre une formation. Le versement de l'indemnité journalière (particuliers) n'empêche pas de se former.

Mais pour cela, le salarié doit obtenir l'accord de son médecin.

À savoir

Le contrat de travail du salarié est suspendu (particuliers) pendant les périodes au cours desquelles le salarié en arrêt de travail bénéficie d'une formation.

Le salarié doit :

  • Obtenir, d'abord, l'accord écrit de son médecin traitant (particuliers)

  • Et, ensuite, transmettre cet accord par courrier à sa CPAM, de préférence par lettre recommandée avec avis de réception.

La durée de la formation doit être compatible avec la durée prévisionnelle de l'arrêt de travail pour que la CPAM donne son accord.

En cas d'accord donné, la CPAM le transmet au salarié et, le cas échéant, à l'employeur et au médecin du travail. 

Attention

En cas de non-respect de la procédure, le salarié s'expose à l'interruption de ses indemnités journalières.

Les formations susceptibles d'être suivies par le salarié sont les suivantes :

Il est également possible de suivre des actions auxquelles la Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM) participe. Il s'agit des actions liées :

  • Au conseil

  • À l'évaluation

  • À l'information

  • À l'accompagnement.

Que comprennent les actions d'accompagnement de la CPAM ?

Les actions d'accompagnement comprennent notamment l'essai encadré.

Cet essai permet au bénéficiaire, pendant l'arrêt de travail, de tester :

  • Sa capacité à reprendre son ancien poste

  • Un aménagement de poste

  • Un nouveau poste.

Cet essai permet aussi au salarié de préparer une reconversion professionnelle.

Où s'adresser ?

Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM)

Pour obtenir des informations en cas d’arrêt de travail et de difficultés à reprendre votre activité professionnelle

Voir aussi...

Références

A noter :
le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

Oui, durant un arrêt de travail, un salarié peut suivre une formation. Le versement de l'indemnité journalière (particuliers) n'empêche pas de se former.

Mais pour cela, le salarié doit obtenir l'accord de son médecin.

À savoir

Le contrat de travail du salarié est suspendu (particuliers) pendant les périodes au cours desquelles le salarié en arrêt de travail bénéficie d'une formation.

Le salarié doit :

  • Obtenir, d'abord, l'accord écrit de son médecin traitant (particuliers)

  • Et, ensuite, transmettre cet accord par courrier à sa CPAM, de préférence par lettre recommandée avec avis de réception.

La durée de la formation doit être compatible avec la durée prévisionnelle de l'arrêt de travail pour que la CPAM donne son accord.

En cas d'accord donné, la CPAM le transmet au salarié et, le cas échéant, à l'employeur et au médecin du travail. 

Attention

En cas de non-respect de la procédure, le salarié s'expose à l'interruption de ses indemnités journalières.

Les formations susceptibles d'être suivies par le salarié sont les suivantes :

Il est également possible de suivre des actions auxquelles la Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM) participe. Il s'agit des actions liées :

  • Au conseil

  • À l'évaluation

  • À l'information

  • À l'accompagnement.

Que comprennent les actions d'accompagnement de la CPAM ?

Les actions d'accompagnement comprennent notamment l'essai encadré.

Cet essai permet au bénéficiaire, pendant l'arrêt de travail, de tester :

  • Sa capacité à reprendre son ancien poste

  • Un aménagement de poste

  • Un nouveau poste.

Cet essai permet aussi au salarié de préparer une reconversion professionnelle.

Où s'adresser ?

Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM)

Pour obtenir des informations en cas d’arrêt de travail et de difficultés à reprendre votre activité professionnelle

Voir aussi...

Références

Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

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La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

Demande d'implantation grue

Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
- Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
- Mardi de 8h30 à 12h
- Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
- Jeudi de 13h30 à 17h
- Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h