Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

En cas de force majeure, le contrat de travail du salarié peut être rompu sans avoir à suivre une procédure particulière. Le salarié peut percevoir des indemnités sous certaines conditions. Nous faisons un point sur la réglementation.

Qu'est-ce que la force majeure ?

La force majeure est un événement qui remplit l'ensemble des 3 caractéristiques suivantes :

  • Ne peut pas être prévu (imprévisible)

  • Ne peut pas être surmonté (irrésistible)

  • Fait extérieur échappant au contrôle de la personne concernée.

La poursuite du contrat de travail en raison de cet événement est rendue impossible. Par exemple, la destruction totale de l'entreprise à la suite d'un incendie sans possibilité de reprise de l'activité.

Un contrat de travail peut-il être rompu pour cas de force majeure ?

La rupture du contrat de travail pour cas de force majeure est un mode spécifique de rupture du contrat de travail. Ce n'est pas un licenciement.

L'employeur informe le salarié par écrit de la rupture. Le contrat de travail est rompu immédiatement.

L'employeur remet au salarié les documents de fin de contrat (particuliers) qui lui sont dus.

À savoir

Si le salarié estime que les conditions d'une rupture du contrat pour cas de force majeure ne sont pas réunies, il peut saisir le conseil de prud'hommes (particuliers).

Le salarié perçoit-il des indemnités en cas de rupture de son contrat de travail pour cas de force majeure par l'employeur ?

Les indemnités que peut percevoir un salarié diffèrent selon la nature du contrat de travail.

Elles diffèrent également si la rupture est du fait d'un sinistre ou non.

Le salarié est en CDI

La rupture est liée à un sinistre

Le salarié perçoit une indemnité compensatrice. Son montant est égal au celui de l'indemnité de licenciement (particuliers) et de l'indemnité compensatrice de préavis (particuliers) auquel le salarié aurait pu prétendre.

Il perçoit aussi l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

    Autre cas

    Le salarié perçoit uniquement l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

    Il ne perçoit pas d'indemnité de licenciement et d'indemnité compensatrice de préavis.

        Le salarié est en CDD

        La rupture est liée à un sinistre

        Le salarié perçoit une indemnité compensatrice. Son montant est égal aux rémunérations que le salarié aurait dû percevoir jusqu'au terme du contrat.

        Il perçoit aussi l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

        L'indemnité de fin de contrat (ou prime de précarité) n'est pas versée.

          Autre cas

          Le salarié perçoit uniquement l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

          L'indemnité de fin de contrat (ou prime de précarité) n'est pas versée.

              Le salarié est en contrat de travail temporaire (salarié intérimaire)

              Le salarié perçoit l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

              L'indemnité de fin de mission (ou prime de précarité) n'est pas versée.

              À noter

              La rupture du contrat de mise à disposition, c'est-à-dire du contrat conclu entre l'entreprise de travail temporaire et l'entreprise utilisatrice, n'est pas un cas de force majeure.

                Le salarié est en contrat d'apprentissage

                Le salarié perçoit l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

                  Références

                  En cas de force majeure, le contrat de travail du salarié peut être rompu sans avoir à suivre une procédure particulière. Le salarié peut percevoir des indemnités sous certaines conditions. Nous faisons un point sur la réglementation.

                  Qu'est-ce que la force majeure ?

                  La force majeure est un événement qui remplit l'ensemble des 3 caractéristiques suivantes :

                  • Ne peut pas être prévu (imprévisible)

                  • Ne peut pas être surmonté (irrésistible)

                  • Fait extérieur échappant au contrôle de la personne concernée.

                  La poursuite du contrat de travail en raison de cet événement est rendue impossible. Par exemple, la destruction totale de l'entreprise à la suite d'un incendie sans possibilité de reprise de l'activité.

                  Un contrat de travail peut-il être rompu pour cas de force majeure ?

                  La rupture du contrat de travail pour cas de force majeure est un mode spécifique de rupture du contrat de travail. Ce n'est pas un licenciement.

                  L'employeur informe le salarié par écrit de la rupture. Le contrat de travail est rompu immédiatement.

                  L'employeur remet au salarié les documents de fin de contrat (particuliers) qui lui sont dus.

                  À savoir

                  Si le salarié estime que les conditions d'une rupture du contrat pour cas de force majeure ne sont pas réunies, il peut saisir le conseil de prud'hommes (particuliers).

                  Le salarié perçoit-il des indemnités en cas de rupture de son contrat de travail pour cas de force majeure par l'employeur ?

                  Les indemnités que peut percevoir un salarié diffèrent selon la nature du contrat de travail.

                  Elles diffèrent également si la rupture est du fait d'un sinistre ou non.

                  Le salarié est en CDI

                  La rupture est liée à un sinistre

                  Le salarié perçoit une indemnité compensatrice. Son montant est égal au celui de l'indemnité de licenciement (particuliers) et de l'indemnité compensatrice de préavis (particuliers) auquel le salarié aurait pu prétendre.

                  Il perçoit aussi l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

                    Autre cas

                    Le salarié perçoit uniquement l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

                    Il ne perçoit pas d'indemnité de licenciement et d'indemnité compensatrice de préavis.

                        Le salarié est en CDD

                        La rupture est liée à un sinistre

                        Le salarié perçoit une indemnité compensatrice. Son montant est égal aux rémunérations que le salarié aurait dû percevoir jusqu'au terme du contrat.

                        Il perçoit aussi l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

                        L'indemnité de fin de contrat (ou prime de précarité) n'est pas versée.

                          Autre cas

                          Le salarié perçoit uniquement l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

                          L'indemnité de fin de contrat (ou prime de précarité) n'est pas versée.

                              Le salarié est en contrat de travail temporaire (salarié intérimaire)

                              Le salarié perçoit l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

                              L'indemnité de fin de mission (ou prime de précarité) n'est pas versée.

                              À noter

                              La rupture du contrat de mise à disposition, c'est-à-dire du contrat conclu entre l'entreprise de travail temporaire et l'entreprise utilisatrice, n'est pas un cas de force majeure.

                                Le salarié est en contrat d'apprentissage

                                Le salarié perçoit l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

                                  Références

                                  A noter :
                                  le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

                                  En cas de force majeure, le contrat de travail du salarié peut être rompu sans avoir à suivre une procédure particulière. Le salarié peut percevoir des indemnités sous certaines conditions. Nous faisons un point sur la réglementation.

                                  Qu'est-ce que la force majeure ?

                                  La force majeure est un événement qui remplit l'ensemble des 3 caractéristiques suivantes :

                                  • Ne peut pas être prévu (imprévisible)

                                  • Ne peut pas être surmonté (irrésistible)

                                  • Fait extérieur échappant au contrôle de la personne concernée.

                                  La poursuite du contrat de travail en raison de cet événement est rendue impossible. Par exemple, la destruction totale de l'entreprise à la suite d'un incendie sans possibilité de reprise de l'activité.

                                  Un contrat de travail peut-il être rompu pour cas de force majeure ?

                                  La rupture du contrat de travail pour cas de force majeure est un mode spécifique de rupture du contrat de travail. Ce n'est pas un licenciement.

                                  L'employeur informe le salarié par écrit de la rupture. Le contrat de travail est rompu immédiatement.

                                  L'employeur remet au salarié les documents de fin de contrat (particuliers) qui lui sont dus.

                                  À savoir

                                  Si le salarié estime que les conditions d'une rupture du contrat pour cas de force majeure ne sont pas réunies, il peut saisir le conseil de prud'hommes (particuliers).

                                  Le salarié perçoit-il des indemnités en cas de rupture de son contrat de travail pour cas de force majeure par l'employeur ?

                                  Les indemnités que peut percevoir un salarié diffèrent selon la nature du contrat de travail.

                                  Elles diffèrent également si la rupture est du fait d'un sinistre ou non.

                                  Le salarié est en CDI

                                  La rupture est liée à un sinistre

                                  Le salarié perçoit une indemnité compensatrice. Son montant est égal au celui de l'indemnité de licenciement (particuliers) et de l'indemnité compensatrice de préavis (particuliers) auquel le salarié aurait pu prétendre.

                                  Il perçoit aussi l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

                                    Autre cas

                                    Le salarié perçoit uniquement l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

                                    Il ne perçoit pas d'indemnité de licenciement et d'indemnité compensatrice de préavis.

                                        Le salarié est en CDD

                                        La rupture est liée à un sinistre

                                        Le salarié perçoit une indemnité compensatrice. Son montant est égal aux rémunérations que le salarié aurait dû percevoir jusqu'au terme du contrat.

                                        Il perçoit aussi l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

                                        L'indemnité de fin de contrat (ou prime de précarité) n'est pas versée.

                                          Autre cas

                                          Le salarié perçoit uniquement l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

                                          L'indemnité de fin de contrat (ou prime de précarité) n'est pas versée.

                                              Le salarié est en contrat de travail temporaire (salarié intérimaire)

                                              Le salarié perçoit l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

                                              L'indemnité de fin de mission (ou prime de précarité) n'est pas versée.

                                              À noter

                                              La rupture du contrat de mise à disposition, c'est-à-dire du contrat conclu entre l'entreprise de travail temporaire et l'entreprise utilisatrice, n'est pas un cas de force majeure.

                                                Le salarié est en contrat d'apprentissage

                                                Le salarié perçoit l'indemnité compensatrice de congés payés (particuliers).

                                                  Références

                                                  Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
                                                  Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

                                                  Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

                                                  F24412.xml fichier non trouvé

                                                  La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

                                                  Demande d'implantation grue

                                                  Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

                                                  Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
                                                  - Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
                                                  - Mardi de 8h30 à 12h
                                                  - Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
                                                  - Jeudi de 13h30 à 17h
                                                  - Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h