Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

La situation varie selon que le parent est vivant ou décédé.

    Le parent est vivant

    Un enfant n'a pas à régler les dettes de ses parents, quelle qu'en soit la nature : factures ou crédits impayés, dettes de loyer… 

    Les parents s'engagent pour eux-mêmes et, en conséquence, n'engagent pas leurs enfants.

    Pour que les enfants soient redevables des dettes contractées par leurs parents, il faut qu'il y ait un engagement volontaire (et écrit) de leur part. Par exemple quand l'enfant se porte caution pour la location d'un logement ou la souscription d'un crédit.

    Le parent est décédé

    L'enfant dont le parent est décédé a différentes possibilités concernant les dettes de la succession : acceptation pure et simple, acceptation à concurrence de l'actif net, renonciation.

    Acceptation pure et simple

    Si l'enfant accepte accepte purement et simplement la succession (particuliers), il est redevable des dettes de son parent décédé.

    Acceptation à concurrence de l'actif net

    L'enfant peut également accepter la succession à concurrence de l'actif net (particuliers). Dans ce cas, les dettes du défunt sont payées avec l'actif de la succession.

    S'il y a un solde positif (c'est-à-dire que le montant des dettes est inférieur à l'actif successoral), l'enfant reçoit sa part d'héritage sur ce qu'il reste.

    S'il y a un solde négatif (c'est-à-dire que le montant des dettes est supérieur à l'actif successoral), l'enfant ne reçoit rien mais il ne doit pas payer les dettes sur ses biens personnels. Son patrimoine est protégé.

    Savoir ce qu'il se passe en cas de découverte tardive d'une dette

    L'héritier acceptant est protégé en cas de découverte tardive d'une dette importante. Il peut demander en justice à être déchargé en tout ou partie de son obligation dans les 5 mois suivants cette découverte. Des conditions doivent être réunies : ignorance de l'existence de la dette au moment de l'acceptation et conséquences importantes sur le patrimoine personnel de l'héritier.

    Renonciation

    L'enfant qui ne peut pas ou ne veut pas payer les dettes du parent décédé peut renoncer à la succession (particuliers).

    Savoir comment revenir sur la renonciation à la succession

    L'enfant qui a renoncé peut revenir sur cette décision pour accepter purement et simplement la succession. Elle ne doit pas avoir été acceptée par un autre héritier ou par l'État en cas de succession vacante (c'est-à-dire sans héritier). Cette révocation doit intervenir dans le délai de 10 ans à compter de l'ouverture de la succession.

Voir aussi...

Où s'adresser ?

Références

La situation varie selon que le parent est vivant ou décédé.

    Le parent est vivant

    Un enfant n'a pas à régler les dettes de ses parents, quelle qu'en soit la nature : factures ou crédits impayés, dettes de loyer… 

    Les parents s'engagent pour eux-mêmes et, en conséquence, n'engagent pas leurs enfants.

    Pour que les enfants soient redevables des dettes contractées par leurs parents, il faut qu'il y ait un engagement volontaire (et écrit) de leur part. Par exemple quand l'enfant se porte caution pour la location d'un logement ou la souscription d'un crédit.

    Le parent est décédé

    L'enfant dont le parent est décédé a différentes possibilités concernant les dettes de la succession : acceptation pure et simple, acceptation à concurrence de l'actif net, renonciation.

    Acceptation pure et simple

    Si l'enfant accepte accepte purement et simplement la succession (particuliers), il est redevable des dettes de son parent décédé.

    Acceptation à concurrence de l'actif net

    L'enfant peut également accepter la succession à concurrence de l'actif net (particuliers). Dans ce cas, les dettes du défunt sont payées avec l'actif de la succession.

    S'il y a un solde positif (c'est-à-dire que le montant des dettes est inférieur à l'actif successoral), l'enfant reçoit sa part d'héritage sur ce qu'il reste.

    S'il y a un solde négatif (c'est-à-dire que le montant des dettes est supérieur à l'actif successoral), l'enfant ne reçoit rien mais il ne doit pas payer les dettes sur ses biens personnels. Son patrimoine est protégé.

    Savoir ce qu'il se passe en cas de découverte tardive d'une dette

    L'héritier acceptant est protégé en cas de découverte tardive d'une dette importante. Il peut demander en justice à être déchargé en tout ou partie de son obligation dans les 5 mois suivants cette découverte. Des conditions doivent être réunies : ignorance de l'existence de la dette au moment de l'acceptation et conséquences importantes sur le patrimoine personnel de l'héritier.

    Renonciation

    L'enfant qui ne peut pas ou ne veut pas payer les dettes du parent décédé peut renoncer à la succession (particuliers).

    Savoir comment revenir sur la renonciation à la succession

    L'enfant qui a renoncé peut revenir sur cette décision pour accepter purement et simplement la succession. Elle ne doit pas avoir été acceptée par un autre héritier ou par l'État en cas de succession vacante (c'est-à-dire sans héritier). Cette révocation doit intervenir dans le délai de 10 ans à compter de l'ouverture de la succession.

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Où s'adresser ?

Références

A noter :
le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

La situation varie selon que le parent est vivant ou décédé.

    Le parent est vivant

    Un enfant n'a pas à régler les dettes de ses parents, quelle qu'en soit la nature : factures ou crédits impayés, dettes de loyer… 

    Les parents s'engagent pour eux-mêmes et, en conséquence, n'engagent pas leurs enfants.

    Pour que les enfants soient redevables des dettes contractées par leurs parents, il faut qu'il y ait un engagement volontaire (et écrit) de leur part. Par exemple quand l'enfant se porte caution pour la location d'un logement ou la souscription d'un crédit.

    Le parent est décédé

    L'enfant dont le parent est décédé a différentes possibilités concernant les dettes de la succession : acceptation pure et simple, acceptation à concurrence de l'actif net, renonciation.

    Acceptation pure et simple

    Si l'enfant accepte accepte purement et simplement la succession (particuliers), il est redevable des dettes de son parent décédé.

    Acceptation à concurrence de l'actif net

    L'enfant peut également accepter la succession à concurrence de l'actif net (particuliers). Dans ce cas, les dettes du défunt sont payées avec l'actif de la succession.

    S'il y a un solde positif (c'est-à-dire que le montant des dettes est inférieur à l'actif successoral), l'enfant reçoit sa part d'héritage sur ce qu'il reste.

    S'il y a un solde négatif (c'est-à-dire que le montant des dettes est supérieur à l'actif successoral), l'enfant ne reçoit rien mais il ne doit pas payer les dettes sur ses biens personnels. Son patrimoine est protégé.

    Savoir ce qu'il se passe en cas de découverte tardive d'une dette

    L'héritier acceptant est protégé en cas de découverte tardive d'une dette importante. Il peut demander en justice à être déchargé en tout ou partie de son obligation dans les 5 mois suivants cette découverte. Des conditions doivent être réunies : ignorance de l'existence de la dette au moment de l'acceptation et conséquences importantes sur le patrimoine personnel de l'héritier.

    Renonciation

    L'enfant qui ne peut pas ou ne veut pas payer les dettes du parent décédé peut renoncer à la succession (particuliers).

    Savoir comment revenir sur la renonciation à la succession

    L'enfant qui a renoncé peut revenir sur cette décision pour accepter purement et simplement la succession. Elle ne doit pas avoir été acceptée par un autre héritier ou par l'État en cas de succession vacante (c'est-à-dire sans héritier). Cette révocation doit intervenir dans le délai de 10 ans à compter de l'ouverture de la succession.

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Où s'adresser ?

Références

Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

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La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

Demande d'implantation grue

Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
- Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
- Mardi de 8h30 à 12h
- Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
- Jeudi de 13h30 à 17h
- Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h