Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

Pendant votre arrêt maladie, vous devez respecter les obligations (appelées prescriptions) qui sont fixées par votre médecin. Une visite de contrôle peut être effectuée à votre domicile soit à l'initiative de la Sécurité sociale, soit à la demande de votre employeur. Vous souhaitez savoir comment elle se passe, et si vous êtes prévenue à l'avance ? Nous vous donnons les éléments à connaître.

    Par la Sécurité sociale

    Si votre organisme de sécurité sociale (la CPAM ou la MSA) doit vous verser des indemnités (particuliers) pendant votre arrêt maladie, il peut prendre l'initiative d'un contrôle.

    Il s'agit de vérifier que vous êtes à votre domicile pendant les heures d'interdiction de sortie (particuliers) (contrôle administratif) et que votre état de santé justifie l'arrêt de travail prescrit (contrôle médical).

    À savoir

    vous ne recevez pas de convocation à l'avance, le contrôle s'effectue de façon inattendue.

    Ces contrôles peuvent se dérouler sur place (à votre domicile) ou être effectués sur dossier. Dans ce dernier cas, la CPAM ou MSA vous demande de lui communiquer des documents complémentaires.

    Contrôle administratif

    Si le contrôle administratif ne peut pas avoir lieu parce que vous êtes absent de votre domicile, l'organisme de sécurité sociale peut suspendre le versement des indemnités journalières (IJ). Des pénalités financières peuvent être prononcées dans certaines situations (fausse déclaration, fraude,...).

    Vous pouvez contester la décision de la CPAM ou de la MSA en saisissant la Commission de recours amiable (CRA) (particuliers).

    Si vous n'êtes pas d'accord avec la décision de la CRA, vous pouvez engager un recours contentieux (particuliers) devant le tribunal judiciaire (pôle social) de votre domicile.

    Contrôle médical

    Le contrôle médical est effectué par le médecin-conseil de l'organisme de sécurité sociale.

    S'il juge votre arrêt de travail injustifié, vous en êtes informé immédiatement. Le médecin-conseil avise également votre médecin traitant.

    Vous pouvez contestez cette décision dans les mêmes conditions que celles existantes pour le contrôle administratif.

    La CPAM ou la MSA confirme par courrier votre date de reprise du travail et vous informe de la fin du versement de vos indemnités.

    Attention

    Si vous avez perçu des indemnités auxquelles vous n'aviez pas ou plus droit (notamment en cas de fraude), ces organismes peuvent vous demander le remboursement des sommes perçues indûment (à tort).

    Une copie de ce courrier est adressée à votre employeur.

    Votre employeur peut aussi mettre fin au versement des indemnités complémentaires (particuliers).

    L'employeur peut demander un contrôle à la Sécurité sociale.

    À savoir

    votre régime complémentaire (mutuelle) peut également procéder à des vérifications, y compris par voie d'enquête, en application du contrat qui vous lie à l'assureur.

    Par l'employeur

    Cas général

    Si votre employeur doit vous verser des indemnités complémentaires (particuliers) pendant votre arrêt maladie, il peut faire pratiquer une contre-visite médicale à votre domicile par le médecin de son choix.

    Il n'a pas l'obligation de vous prévenir à l'avance.

    Ce contrôle permet de vérifier que vous êtes présent à votre domicile pendant les heures d'interdiction de sortie (particuliers) et que votre état de santé justifie l'arrêt de travail prescrit.

    Attention

    Lorsque le médecin n'a pas pu réaliser la visite de contrôle parce que vous étiez absent ou en cas de refus du contrôle, votre employeur peut mettre fin au versement des indemnités complémentaires. Toutefois, si votre absence est justifiée (par exemple, un rendez-vous médical), votre employeur ne peut pas suspendre le versement des indemnités complémentaires.

    C'est à votre employeur d'apporter la preuve que la contre-visite médicale n'a pu avoir lieu du fait de votre absence ou de votre refus.

    Si le médecin-contrôleur n'a pu procéder à la visite, il informe la CPAM ou la MSA, par écrit, dans les 48 heures. Il en est de même si le médecin décide que votre arrêt maladie n'est pas justifié.

    L'organisme de sécurité sociale peut alors :

    • Mettre fin au versement des indemnités journalières (votre employeur est informé de la fin du versement)

    • Ou procéder à un nouvel examen effectué par le médecin mandaté par votre employeur. Ce nouvel examen est de droit si le rapport du médecin précise qu'il a été dans l'impossibilité de procéder à la contre-visite médicale.

    Si le médecin-contrôleur estime que l'arrêt maladie n'est pas justifié et qu'il ordonne la reprise du travail, vous devez reprendre le travail à la date précisée dans ses conclusions. Si vous refusez de reprendre le travail, le versement des indemnités complémentaires peut être interrompu.

    Si vous souhaitez contester les conclusions du médecin-contrôleur, vous devez demander une autre contre-visite ou solliciter l'avis d'un expert judiciaire auprès du conseil des prud'hommes (CPH) (particuliers).

    Où s’adresser ?

    Conseil de prud'hommes

      Alsace-Moselle

      L'employeur ne peut pas ordonner de contre-visite médicale.

      Pour en savoir plus

      Références

      Pendant votre arrêt maladie, vous devez respecter les obligations (appelées prescriptions) qui sont fixées par votre médecin. Une visite de contrôle peut être effectuée à votre domicile soit à l'initiative de la Sécurité sociale, soit à la demande de votre employeur. Vous souhaitez savoir comment elle se passe, et si vous êtes prévenue à l'avance ? Nous vous donnons les éléments à connaître.

        Par la Sécurité sociale

        Si votre organisme de sécurité sociale (la CPAM ou la MSA) doit vous verser des indemnités (particuliers) pendant votre arrêt maladie, il peut prendre l'initiative d'un contrôle.

        Il s'agit de vérifier que vous êtes à votre domicile pendant les heures d'interdiction de sortie (particuliers) (contrôle administratif) et que votre état de santé justifie l'arrêt de travail prescrit (contrôle médical).

        À savoir

        vous ne recevez pas de convocation à l'avance, le contrôle s'effectue de façon inattendue.

        Ces contrôles peuvent se dérouler sur place (à votre domicile) ou être effectués sur dossier. Dans ce dernier cas, la CPAM ou MSA vous demande de lui communiquer des documents complémentaires.

        Contrôle administratif

        Si le contrôle administratif ne peut pas avoir lieu parce que vous êtes absent de votre domicile, l'organisme de sécurité sociale peut suspendre le versement des indemnités journalières (IJ). Des pénalités financières peuvent être prononcées dans certaines situations (fausse déclaration, fraude,...).

        Vous pouvez contester la décision de la CPAM ou de la MSA en saisissant la Commission de recours amiable (CRA) (particuliers).

        Si vous n'êtes pas d'accord avec la décision de la CRA, vous pouvez engager un recours contentieux (particuliers) devant le tribunal judiciaire (pôle social) de votre domicile.

        Contrôle médical

        Le contrôle médical est effectué par le médecin-conseil de l'organisme de sécurité sociale.

        S'il juge votre arrêt de travail injustifié, vous en êtes informé immédiatement. Le médecin-conseil avise également votre médecin traitant.

        Vous pouvez contestez cette décision dans les mêmes conditions que celles existantes pour le contrôle administratif.

        La CPAM ou la MSA confirme par courrier votre date de reprise du travail et vous informe de la fin du versement de vos indemnités.

        Attention

        Si vous avez perçu des indemnités auxquelles vous n'aviez pas ou plus droit (notamment en cas de fraude), ces organismes peuvent vous demander le remboursement des sommes perçues indûment (à tort).

        Une copie de ce courrier est adressée à votre employeur.

        Votre employeur peut aussi mettre fin au versement des indemnités complémentaires (particuliers).

        L'employeur peut demander un contrôle à la Sécurité sociale.

        À savoir

        votre régime complémentaire (mutuelle) peut également procéder à des vérifications, y compris par voie d'enquête, en application du contrat qui vous lie à l'assureur.

        Par l'employeur

        Cas général

        Si votre employeur doit vous verser des indemnités complémentaires (particuliers) pendant votre arrêt maladie, il peut faire pratiquer une contre-visite médicale à votre domicile par le médecin de son choix.

        Il n'a pas l'obligation de vous prévenir à l'avance.

        Ce contrôle permet de vérifier que vous êtes présent à votre domicile pendant les heures d'interdiction de sortie (particuliers) et que votre état de santé justifie l'arrêt de travail prescrit.

        Attention

        Lorsque le médecin n'a pas pu réaliser la visite de contrôle parce que vous étiez absent ou en cas de refus du contrôle, votre employeur peut mettre fin au versement des indemnités complémentaires. Toutefois, si votre absence est justifiée (par exemple, un rendez-vous médical), votre employeur ne peut pas suspendre le versement des indemnités complémentaires.

        C'est à votre employeur d'apporter la preuve que la contre-visite médicale n'a pu avoir lieu du fait de votre absence ou de votre refus.

        Si le médecin-contrôleur n'a pu procéder à la visite, il informe la CPAM ou la MSA, par écrit, dans les 48 heures. Il en est de même si le médecin décide que votre arrêt maladie n'est pas justifié.

        L'organisme de sécurité sociale peut alors :

        • Mettre fin au versement des indemnités journalières (votre employeur est informé de la fin du versement)

        • Ou procéder à un nouvel examen effectué par le médecin mandaté par votre employeur. Ce nouvel examen est de droit si le rapport du médecin précise qu'il a été dans l'impossibilité de procéder à la contre-visite médicale.

        Si le médecin-contrôleur estime que l'arrêt maladie n'est pas justifié et qu'il ordonne la reprise du travail, vous devez reprendre le travail à la date précisée dans ses conclusions. Si vous refusez de reprendre le travail, le versement des indemnités complémentaires peut être interrompu.

        Si vous souhaitez contester les conclusions du médecin-contrôleur, vous devez demander une autre contre-visite ou solliciter l'avis d'un expert judiciaire auprès du conseil des prud'hommes (CPH) (particuliers).

        Où s’adresser ?

        Conseil de prud'hommes

          Alsace-Moselle

          L'employeur ne peut pas ordonner de contre-visite médicale.

          Pour en savoir plus

          Références

          A noter :
          le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

          Pendant votre arrêt maladie, vous devez respecter les obligations (appelées prescriptions) qui sont fixées par votre médecin. Une visite de contrôle peut être effectuée à votre domicile soit à l'initiative de la Sécurité sociale, soit à la demande de votre employeur. Vous souhaitez savoir comment elle se passe, et si vous êtes prévenue à l'avance ? Nous vous donnons les éléments à connaître.

            Par la Sécurité sociale

            Si votre organisme de sécurité sociale (la CPAM ou la MSA) doit vous verser des indemnités (particuliers) pendant votre arrêt maladie, il peut prendre l'initiative d'un contrôle.

            Il s'agit de vérifier que vous êtes à votre domicile pendant les heures d'interdiction de sortie (particuliers) (contrôle administratif) et que votre état de santé justifie l'arrêt de travail prescrit (contrôle médical).

            À savoir

            vous ne recevez pas de convocation à l'avance, le contrôle s'effectue de façon inattendue.

            Ces contrôles peuvent se dérouler sur place (à votre domicile) ou être effectués sur dossier. Dans ce dernier cas, la CPAM ou MSA vous demande de lui communiquer des documents complémentaires.

            Contrôle administratif

            Si le contrôle administratif ne peut pas avoir lieu parce que vous êtes absent de votre domicile, l'organisme de sécurité sociale peut suspendre le versement des indemnités journalières (IJ). Des pénalités financières peuvent être prononcées dans certaines situations (fausse déclaration, fraude,...).

            Vous pouvez contester la décision de la CPAM ou de la MSA en saisissant la Commission de recours amiable (CRA) (particuliers).

            Si vous n'êtes pas d'accord avec la décision de la CRA, vous pouvez engager un recours contentieux (particuliers) devant le tribunal judiciaire (pôle social) de votre domicile.

            Contrôle médical

            Le contrôle médical est effectué par le médecin-conseil de l'organisme de sécurité sociale.

            S'il juge votre arrêt de travail injustifié, vous en êtes informé immédiatement. Le médecin-conseil avise également votre médecin traitant.

            Vous pouvez contestez cette décision dans les mêmes conditions que celles existantes pour le contrôle administratif.

            La CPAM ou la MSA confirme par courrier votre date de reprise du travail et vous informe de la fin du versement de vos indemnités.

            Attention

            Si vous avez perçu des indemnités auxquelles vous n'aviez pas ou plus droit (notamment en cas de fraude), ces organismes peuvent vous demander le remboursement des sommes perçues indûment (à tort).

            Une copie de ce courrier est adressée à votre employeur.

            Votre employeur peut aussi mettre fin au versement des indemnités complémentaires (particuliers).

            L'employeur peut demander un contrôle à la Sécurité sociale.

            À savoir

            votre régime complémentaire (mutuelle) peut également procéder à des vérifications, y compris par voie d'enquête, en application du contrat qui vous lie à l'assureur.

            Par l'employeur

            Cas général

            Si votre employeur doit vous verser des indemnités complémentaires (particuliers) pendant votre arrêt maladie, il peut faire pratiquer une contre-visite médicale à votre domicile par le médecin de son choix.

            Il n'a pas l'obligation de vous prévenir à l'avance.

            Ce contrôle permet de vérifier que vous êtes présent à votre domicile pendant les heures d'interdiction de sortie (particuliers) et que votre état de santé justifie l'arrêt de travail prescrit.

            Attention

            Lorsque le médecin n'a pas pu réaliser la visite de contrôle parce que vous étiez absent ou en cas de refus du contrôle, votre employeur peut mettre fin au versement des indemnités complémentaires. Toutefois, si votre absence est justifiée (par exemple, un rendez-vous médical), votre employeur ne peut pas suspendre le versement des indemnités complémentaires.

            C'est à votre employeur d'apporter la preuve que la contre-visite médicale n'a pu avoir lieu du fait de votre absence ou de votre refus.

            Si le médecin-contrôleur n'a pu procéder à la visite, il informe la CPAM ou la MSA, par écrit, dans les 48 heures. Il en est de même si le médecin décide que votre arrêt maladie n'est pas justifié.

            L'organisme de sécurité sociale peut alors :

            • Mettre fin au versement des indemnités journalières (votre employeur est informé de la fin du versement)

            • Ou procéder à un nouvel examen effectué par le médecin mandaté par votre employeur. Ce nouvel examen est de droit si le rapport du médecin précise qu'il a été dans l'impossibilité de procéder à la contre-visite médicale.

            Si le médecin-contrôleur estime que l'arrêt maladie n'est pas justifié et qu'il ordonne la reprise du travail, vous devez reprendre le travail à la date précisée dans ses conclusions. Si vous refusez de reprendre le travail, le versement des indemnités complémentaires peut être interrompu.

            Si vous souhaitez contester les conclusions du médecin-contrôleur, vous devez demander une autre contre-visite ou solliciter l'avis d'un expert judiciaire auprès du conseil des prud'hommes (CPH) (particuliers).

            Où s’adresser ?

            Conseil de prud'hommes

              Alsace-Moselle

              L'employeur ne peut pas ordonner de contre-visite médicale.

              Pour en savoir plus

              Références

              Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
              Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

              Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

              F33908.xml fichier non trouvé

              La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

              Demande d'implantation grue

              Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

              Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
              - Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
              - Mardi de 8h30 à 12h
              - Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
              - Jeudi de 13h30 à 17h
              - Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h