Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

Le congé sabbatique est un congé pour convenance personnelle accordé au salarié. Le salarié peut en bénéficier s'il répond à plusieurs conditions. L'employeur n'a pas l'obligation d'accorder un congé sabbatique. Le congé comporte une durée minimale et une durée maximale. Durant le congé sabbatique, le contrat de travail du salarié est suspendu.

Conditions

Le salarié qui souhaite bénéficier d'un congé sabbatique doit remplir toutes les conditions suivantes.

Ancienneté dans l'entreprise

Le salarié doit avoir une ancienneté d'au moins 36 mois dans l'entreprise.

L'ancienneté prise en compte peut être considérée sur plusieurs périodes de travail non consécutives dans l'entreprise.

Toutefois, une convention collective ou accord collectif d'entreprise peut prévoir une durée d'ancienneté différente.

Années de travail

Le salarié doit avoir effectué 6 années d'activité professionnelle.

Délai de carence entre 2 congés

Le salarié doit respecter un délai de carence.

Le salarié ne doit pas avoir bénéficié dans l'entreprise, à la date de départ en congé, au cours des 6 années précédentes :

Demande du salarié

Le salarié doit informer l'employeur de son souhait de prendre un congé sabbatique au moins 3 mois avant la date de départ envisagée.

Le salarié doit adresser sa demande à l'employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de congé (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

Réponse de l'employeur

L'employeur informe le salarié :

  • Soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié

  • Soit du report de cette date

  • Soit du refus de lui accorder le congé

En l'absence de réponse de l'employeur dans un délai de 30 jours à compter de la présentation de la demande, le congé sabbatique est accordé.

L'accord, le report ou le refus de l'employeur sont soumis à conditions. Elles varient en fonction de la taille de l'entreprise :

Entreprise de moins de 300 salariés

Accord de l'employeur

L'employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

Report du départ en congé

L'employeur peut reporter le départ en congé :

  • Soit, pendant 9 mois au maximum, à compter de la date de la demande du salarié, pour limiter le nombre de salariés absents pour cause de congé sabbatique

  • Soit pour limiter le nombre de salariés absents simultanément pour cause de congé sabbatique et congé pour création ou reprise d'entreprise

L'employeur informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

Refus d'accorder le congé

L'employeur peut refuser d'accorder le congé pour l'une des 2 raisons suivantes :

  • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au congé (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court)

  • L'employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE) (particuliers), que le départ en congé aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l'entreprise

Le refus de l'employeur d'accorder un congé sabbatique est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

Le salarié peut contester le refus de l'employeur dans les 15 jours à compter de la notification auprès du conseil de prud'hommes (particuliers).

    Entreprise de 300 salariés ou plus

    Accord de l'employeur

    L'employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

      Report du départ en congé

      L'employeur peut reporter le départ en congé :

      • Soit, pendant 6 mois au maximum, à compter de la date de la demande du salarié, pour limiter le nombre de salariés absents pour cause de congé sabbatique

      • Soit pour limiter le nombre de salariés absents simultanément pour cause de congé sabbatique et congé pour création ou reprise d'entreprise

      L'employeur informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

        Refus d'accorder le congé

        L'employeur peut refuser d'accorder le congé si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court).

        Le refus de l'employeur d'accorder un congé sabbatique est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

        Le salarié peut contester le refus de l'employeur dans les 15 jours à compter de la notification auprès du conseil de prud'hommes (particuliers).

            Durée

            La durée du congé varie de 6 mois minimum à 11 mois maximum.

            Toutefois, une convention collective ou un accord collectif d'entreprise peut prévoir des durées différentes.

            Situation du salarié pendant le congé

            Conséquences sur le contrat de travail

            Pendant la durée du congé sabbatique, le contrat de travail est suspendu.

            Indemnisation

            Le congé sabbatique n'est pas rémunéré.

            Toutefois, il peut l'être en cas de dispositions conventionnelles ou usage.

            Report des congés payés

            Si son congé sabbatique n'est pas rémunéré, le salarié peut le financer par une partie de ses congés payés (particuliers).

            Les congés seront alors pris et payés lors du départ en congé sabbatique.

            Les conditions de ce report sont fixées par convention collective ou accord collectif d'entreprise.

            En l'absence de convention ou d'accord applicable, le salarié peut reporter chaque année les congés acquis à partir de la 5e semaine de congés payés jusqu'au départ en congé sabbatique.

            Ces congés payés peuvent être cumulés pendant 6 ans au maximum.

            Exemple

            Un salarié, ayant droit à 5 semaines de congés payés par an, décide de reporter pendant 6 ans sa 5e semaine de congés :

            • Il cumule alors 36 jours ouvrables de congés à la fin de ces 6 ans d'activité professionnelle

            • Son indemnité compensatrice de congés payés de 36 jours ouvrables non prise est alors versée lors de son départ en congé sabbatique

            Activité professionnelle pendant le congé

            Pendant le congé sabbatique, le salarié peut exercer une autre activité professionnelle, salariée ou non.

            Cependant, il doit respecter les obligations de loyauté (particuliers) et de non-concurrence (particuliers) vis-à-vis de son employeur.

            Reprise anticipée

            L'employeur n'a pas l'obligation de réemployer le salarié avant la fin de son congé sabbatique.

            Toutefois, un retour anticipé dans l'entreprise reste toutefois possible avec l'accord de l'employeur.

            À la fin du congé

            Après un congé sabbatique, le salarié retrouve son emploi précédent ou un emploi similaire dans l'entreprise.

            Il perçoit une rémunération au moins équivalente à celle qu'il percevait au moment du départ en congé.

            Le salarié a le droit de bénéficier d'un entretien professionnel avec son employeur consacré à ses perspectives d'évolution professionnelle.

            Références

            Le congé sabbatique est un congé pour convenance personnelle accordé au salarié. Le salarié peut en bénéficier s'il répond à plusieurs conditions. L'employeur n'a pas l'obligation d'accorder un congé sabbatique. Le congé comporte une durée minimale et une durée maximale. Durant le congé sabbatique, le contrat de travail du salarié est suspendu.

            Conditions

            Le salarié qui souhaite bénéficier d'un congé sabbatique doit remplir toutes les conditions suivantes.

            Ancienneté dans l'entreprise

            Le salarié doit avoir une ancienneté d'au moins 36 mois dans l'entreprise.

            L'ancienneté prise en compte peut être considérée sur plusieurs périodes de travail non consécutives dans l'entreprise.

            Toutefois, une convention collective ou accord collectif d'entreprise peut prévoir une durée d'ancienneté différente.

            Années de travail

            Le salarié doit avoir effectué 6 années d'activité professionnelle.

            Délai de carence entre 2 congés

            Le salarié doit respecter un délai de carence.

            Le salarié ne doit pas avoir bénéficié dans l'entreprise, à la date de départ en congé, au cours des 6 années précédentes :

            Demande du salarié

            Le salarié doit informer l'employeur de son souhait de prendre un congé sabbatique au moins 3 mois avant la date de départ envisagée.

            Le salarié doit adresser sa demande à l'employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de congé (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

            Réponse de l'employeur

            L'employeur informe le salarié :

            • Soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié

            • Soit du report de cette date

            • Soit du refus de lui accorder le congé

            En l'absence de réponse de l'employeur dans un délai de 30 jours à compter de la présentation de la demande, le congé sabbatique est accordé.

            L'accord, le report ou le refus de l'employeur sont soumis à conditions. Elles varient en fonction de la taille de l'entreprise :

            Entreprise de moins de 300 salariés

            Accord de l'employeur

            L'employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

            Report du départ en congé

            L'employeur peut reporter le départ en congé :

            • Soit, pendant 9 mois au maximum, à compter de la date de la demande du salarié, pour limiter le nombre de salariés absents pour cause de congé sabbatique

            • Soit pour limiter le nombre de salariés absents simultanément pour cause de congé sabbatique et congé pour création ou reprise d'entreprise

            L'employeur informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

            Refus d'accorder le congé

            L'employeur peut refuser d'accorder le congé pour l'une des 2 raisons suivantes :

            • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au congé (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court)

            • L'employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE) (particuliers), que le départ en congé aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l'entreprise

            Le refus de l'employeur d'accorder un congé sabbatique est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

            Le salarié peut contester le refus de l'employeur dans les 15 jours à compter de la notification auprès du conseil de prud'hommes (particuliers).

              Entreprise de 300 salariés ou plus

              Accord de l'employeur

              L'employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                Report du départ en congé

                L'employeur peut reporter le départ en congé :

                • Soit, pendant 6 mois au maximum, à compter de la date de la demande du salarié, pour limiter le nombre de salariés absents pour cause de congé sabbatique

                • Soit pour limiter le nombre de salariés absents simultanément pour cause de congé sabbatique et congé pour création ou reprise d'entreprise

                L'employeur informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                  Refus d'accorder le congé

                  L'employeur peut refuser d'accorder le congé si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court).

                  Le refus de l'employeur d'accorder un congé sabbatique est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                  Le salarié peut contester le refus de l'employeur dans les 15 jours à compter de la notification auprès du conseil de prud'hommes (particuliers).

                      Durée

                      La durée du congé varie de 6 mois minimum à 11 mois maximum.

                      Toutefois, une convention collective ou un accord collectif d'entreprise peut prévoir des durées différentes.

                      Situation du salarié pendant le congé

                      Conséquences sur le contrat de travail

                      Pendant la durée du congé sabbatique, le contrat de travail est suspendu.

                      Indemnisation

                      Le congé sabbatique n'est pas rémunéré.

                      Toutefois, il peut l'être en cas de dispositions conventionnelles ou usage.

                      Report des congés payés

                      Si son congé sabbatique n'est pas rémunéré, le salarié peut le financer par une partie de ses congés payés (particuliers).

                      Les congés seront alors pris et payés lors du départ en congé sabbatique.

                      Les conditions de ce report sont fixées par convention collective ou accord collectif d'entreprise.

                      En l'absence de convention ou d'accord applicable, le salarié peut reporter chaque année les congés acquis à partir de la 5e semaine de congés payés jusqu'au départ en congé sabbatique.

                      Ces congés payés peuvent être cumulés pendant 6 ans au maximum.

                      Exemple

                      Un salarié, ayant droit à 5 semaines de congés payés par an, décide de reporter pendant 6 ans sa 5e semaine de congés :

                      • Il cumule alors 36 jours ouvrables de congés à la fin de ces 6 ans d'activité professionnelle

                      • Son indemnité compensatrice de congés payés de 36 jours ouvrables non prise est alors versée lors de son départ en congé sabbatique

                      Activité professionnelle pendant le congé

                      Pendant le congé sabbatique, le salarié peut exercer une autre activité professionnelle, salariée ou non.

                      Cependant, il doit respecter les obligations de loyauté (particuliers) et de non-concurrence (particuliers) vis-à-vis de son employeur.

                      Reprise anticipée

                      L'employeur n'a pas l'obligation de réemployer le salarié avant la fin de son congé sabbatique.

                      Toutefois, un retour anticipé dans l'entreprise reste toutefois possible avec l'accord de l'employeur.

                      À la fin du congé

                      Après un congé sabbatique, le salarié retrouve son emploi précédent ou un emploi similaire dans l'entreprise.

                      Il perçoit une rémunération au moins équivalente à celle qu'il percevait au moment du départ en congé.

                      Le salarié a le droit de bénéficier d'un entretien professionnel avec son employeur consacré à ses perspectives d'évolution professionnelle.

                      Références

                      A noter :
                      le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

                      Le congé sabbatique est un congé pour convenance personnelle accordé au salarié. Le salarié peut en bénéficier s'il répond à plusieurs conditions. L'employeur n'a pas l'obligation d'accorder un congé sabbatique. Le congé comporte une durée minimale et une durée maximale. Durant le congé sabbatique, le contrat de travail du salarié est suspendu.

                      Conditions

                      Le salarié qui souhaite bénéficier d'un congé sabbatique doit remplir toutes les conditions suivantes.

                      Ancienneté dans l'entreprise

                      Le salarié doit avoir une ancienneté d'au moins 36 mois dans l'entreprise.

                      L'ancienneté prise en compte peut être considérée sur plusieurs périodes de travail non consécutives dans l'entreprise.

                      Toutefois, une convention collective ou accord collectif d'entreprise peut prévoir une durée d'ancienneté différente.

                      Années de travail

                      Le salarié doit avoir effectué 6 années d'activité professionnelle.

                      Délai de carence entre 2 congés

                      Le salarié doit respecter un délai de carence.

                      Le salarié ne doit pas avoir bénéficié dans l'entreprise, à la date de départ en congé, au cours des 6 années précédentes :

                      Demande du salarié

                      Le salarié doit informer l'employeur de son souhait de prendre un congé sabbatique au moins 3 mois avant la date de départ envisagée.

                      Le salarié doit adresser sa demande à l'employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de congé (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                      Réponse de l'employeur

                      L'employeur informe le salarié :

                      • Soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié

                      • Soit du report de cette date

                      • Soit du refus de lui accorder le congé

                      En l'absence de réponse de l'employeur dans un délai de 30 jours à compter de la présentation de la demande, le congé sabbatique est accordé.

                      L'accord, le report ou le refus de l'employeur sont soumis à conditions. Elles varient en fonction de la taille de l'entreprise :

                      Entreprise de moins de 300 salariés

                      Accord de l'employeur

                      L'employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                      Report du départ en congé

                      L'employeur peut reporter le départ en congé :

                      • Soit, pendant 9 mois au maximum, à compter de la date de la demande du salarié, pour limiter le nombre de salariés absents pour cause de congé sabbatique

                      • Soit pour limiter le nombre de salariés absents simultanément pour cause de congé sabbatique et congé pour création ou reprise d'entreprise

                      L'employeur informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                      Refus d'accorder le congé

                      L'employeur peut refuser d'accorder le congé pour l'une des 2 raisons suivantes :

                      • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au congé (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court)

                      • L'employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE) (particuliers), que le départ en congé aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l'entreprise

                      Le refus de l'employeur d'accorder un congé sabbatique est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                      Le salarié peut contester le refus de l'employeur dans les 15 jours à compter de la notification auprès du conseil de prud'hommes (particuliers).

                        Entreprise de 300 salariés ou plus

                        Accord de l'employeur

                        L'employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                          Report du départ en congé

                          L'employeur peut reporter le départ en congé :

                          • Soit, pendant 6 mois au maximum, à compter de la date de la demande du salarié, pour limiter le nombre de salariés absents pour cause de congé sabbatique

                          • Soit pour limiter le nombre de salariés absents simultanément pour cause de congé sabbatique et congé pour création ou reprise d'entreprise

                          L'employeur informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                            Refus d'accorder le congé

                            L'employeur peut refuser d'accorder le congé si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court).

                            Le refus de l'employeur d'accorder un congé sabbatique est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                            Le salarié peut contester le refus de l'employeur dans les 15 jours à compter de la notification auprès du conseil de prud'hommes (particuliers).

                                Durée

                                La durée du congé varie de 6 mois minimum à 11 mois maximum.

                                Toutefois, une convention collective ou un accord collectif d'entreprise peut prévoir des durées différentes.

                                Situation du salarié pendant le congé

                                Conséquences sur le contrat de travail

                                Pendant la durée du congé sabbatique, le contrat de travail est suspendu.

                                Indemnisation

                                Le congé sabbatique n'est pas rémunéré.

                                Toutefois, il peut l'être en cas de dispositions conventionnelles ou usage.

                                Report des congés payés

                                Si son congé sabbatique n'est pas rémunéré, le salarié peut le financer par une partie de ses congés payés (particuliers).

                                Les congés seront alors pris et payés lors du départ en congé sabbatique.

                                Les conditions de ce report sont fixées par convention collective ou accord collectif d'entreprise.

                                En l'absence de convention ou d'accord applicable, le salarié peut reporter chaque année les congés acquis à partir de la 5e semaine de congés payés jusqu'au départ en congé sabbatique.

                                Ces congés payés peuvent être cumulés pendant 6 ans au maximum.

                                Exemple

                                Un salarié, ayant droit à 5 semaines de congés payés par an, décide de reporter pendant 6 ans sa 5e semaine de congés :

                                • Il cumule alors 36 jours ouvrables de congés à la fin de ces 6 ans d'activité professionnelle

                                • Son indemnité compensatrice de congés payés de 36 jours ouvrables non prise est alors versée lors de son départ en congé sabbatique

                                Activité professionnelle pendant le congé

                                Pendant le congé sabbatique, le salarié peut exercer une autre activité professionnelle, salariée ou non.

                                Cependant, il doit respecter les obligations de loyauté (particuliers) et de non-concurrence (particuliers) vis-à-vis de son employeur.

                                Reprise anticipée

                                L'employeur n'a pas l'obligation de réemployer le salarié avant la fin de son congé sabbatique.

                                Toutefois, un retour anticipé dans l'entreprise reste toutefois possible avec l'accord de l'employeur.

                                À la fin du congé

                                Après un congé sabbatique, le salarié retrouve son emploi précédent ou un emploi similaire dans l'entreprise.

                                Il perçoit une rémunération au moins équivalente à celle qu'il percevait au moment du départ en congé.

                                Le salarié a le droit de bénéficier d'un entretien professionnel avec son employeur consacré à ses perspectives d'évolution professionnelle.

                                Références

                                Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
                                Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

                                Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

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                                La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

                                Demande d'implantation grue

                                Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

                                Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
                                - Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
                                - Mardi de 8h30 à 12h
                                - Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
                                - Jeudi de 13h30 à 17h
                                - Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h