Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) veille au respect des droits fondamentaux des personnes privées de libertés. Il est indépendant. Il a le pouvoir d'inspecter tous les lieux de privation de liberté par les autorités : prisons, cellules de garde à vue, hôpitaux psychiatriques, centres de rétention, etc. Le Contrôleur peut être saisi par les personnes privées de liberté ou par une personne qui a connaissance d'une atteinte à leurs droits.

Pour quels lieux de privation de liberté peut-on saisir le Contrôleur ?

Le CGLPL peut être saisi du cas d'une personne enfermée ou placée dans l'un des lieux suivants :

  • Établissement pénitentiaire (prison)

  • Établissement de santé (hôpital psychiatrique (particuliers) par exemple, pour les personnes privées de leur liberté d'aller de de venir dans un tel établissement)

  • Cellule de garde à vue (particuliers)

  • Centre de rétention administrative (particuliers) ou de rétention douanière

  • Zone d'attente de port ou d'aéroport

  • Dépôt d'un palais de justice (cellule où sont placés les personnes avant leur procès ou leur audition par un magistrat)

  • Centre éducatif fermé (particuliers)

  • Véhicule servant au transport des personnes privées de liberté (fourgon de police...)

Qui peut le saisir ?

Le CGLPL peut être saisi par les personnes suivantes :

  • Personne privée de liberté, même mineure ou de nationalité étrangère

  • Parents ou tout proche d'une personne privée de liberté

  • Avocat d'une personne privée de liberté

  • Témoin

  • Membre du personnel intervenant dans l'établissement

  • Association ou une personne morale ayant pour objet le respect des droits fondamentaux

  • Gouvernement, les parlementaires ou une autre autorité administrative indépendante

Il peut également décider de se saisir de sa propre initiative.

Pour quels motifs ?

Le CGLPL peut recevoir un signalement pour les motifs suivants :

  • Atteinte aux droits fondamentaux d'une personne privée de liberté ou qui l'a été récemment (droit à une vie privée, à un avocat...)

  • Mauvaises conditions de garde à vue, de rétention ou d'hospitalisation d'une personne (conditions d'hygiène, alimentation...)

  • Mauvais fonctionnement d'un établissement pénitentiaire ou d'une unité de santé recevant des personnes hospitalisées sans leur consentement. Par exemple, si un prisonnier ne peut pas avoir accès à un médecin.

Comment le saisir ?

Par courrier

Le CGLPL peut être saisi par simple courrier postal.

Où s’adresser ?

Contrôleur général des lieux de privation de liberté

Par courrier

16/18, quai de la Loire

CS 70048

75921 Paris Cedex 19

Par téléphone

01 53 38 47 80

Par messagerie

Accès au formulaire de contact

Il n'est pas possible de faire un signalement anonyme. Le courrier doit être signé. En revanche, le nom de la personne ayant fait le signalement ne sera pas révélé par le CGLPL.

À savoir

si c'est une personne en prison qui écrit, le courrier ne peut pas être contrôlé par l'établissement.

En entretien physique

Une personne enfermée, ses proches ou les personnels de l'établissement peuvent rencontrer le CGLPL à l'occasion d'une de ses visites dans l'établissement concerné. Ces entretiens sont confidentiels.

Les permanences d'accueil sont affichées dans l'établissement et dans les locaux d'accueil des familles.

Quelles sont les actions du Contrôleur ?

Le CGLPL adresse un rapport de visite aux ministres concernés par le lieu de privation mis en cause.

S'il l'estime nécessaire, il fait des recommandations pour améliorer la situation.

Il peut décider de rendre publics ces rapports.

En cas d'infraction commise, le CGLPL peut effectuer un signalement au procureur de la République. Il peut aussi saisir les instances disciplinaires des agents publics impliqués dans la violation des droits fondamentaux des personnes détenues.

Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) veille au respect des droits fondamentaux des personnes privées de libertés. Il est indépendant. Il a le pouvoir d'inspecter tous les lieux de privation de liberté par les autorités : prisons, cellules de garde à vue, hôpitaux psychiatriques, centres de rétention, etc. Le Contrôleur peut être saisi par les personnes privées de liberté ou par une personne qui a connaissance d'une atteinte à leurs droits.

Pour quels lieux de privation de liberté peut-on saisir le Contrôleur ?

Le CGLPL peut être saisi du cas d'une personne enfermée ou placée dans l'un des lieux suivants :

  • Établissement pénitentiaire (prison)

  • Établissement de santé (hôpital psychiatrique (particuliers) par exemple, pour les personnes privées de leur liberté d'aller de de venir dans un tel établissement)

  • Cellule de garde à vue (particuliers)

  • Centre de rétention administrative (particuliers) ou de rétention douanière

  • Zone d'attente de port ou d'aéroport

  • Dépôt d'un palais de justice (cellule où sont placés les personnes avant leur procès ou leur audition par un magistrat)

  • Centre éducatif fermé (particuliers)

  • Véhicule servant au transport des personnes privées de liberté (fourgon de police...)

Qui peut le saisir ?

Le CGLPL peut être saisi par les personnes suivantes :

  • Personne privée de liberté, même mineure ou de nationalité étrangère

  • Parents ou tout proche d'une personne privée de liberté

  • Avocat d'une personne privée de liberté

  • Témoin

  • Membre du personnel intervenant dans l'établissement

  • Association ou une personne morale ayant pour objet le respect des droits fondamentaux

  • Gouvernement, les parlementaires ou une autre autorité administrative indépendante

Il peut également décider de se saisir de sa propre initiative.

Pour quels motifs ?

Le CGLPL peut recevoir un signalement pour les motifs suivants :

  • Atteinte aux droits fondamentaux d'une personne privée de liberté ou qui l'a été récemment (droit à une vie privée, à un avocat...)

  • Mauvaises conditions de garde à vue, de rétention ou d'hospitalisation d'une personne (conditions d'hygiène, alimentation...)

  • Mauvais fonctionnement d'un établissement pénitentiaire ou d'une unité de santé recevant des personnes hospitalisées sans leur consentement. Par exemple, si un prisonnier ne peut pas avoir accès à un médecin.

Comment le saisir ?

Par courrier

Le CGLPL peut être saisi par simple courrier postal.

Où s’adresser ?

Contrôleur général des lieux de privation de liberté

Par courrier

16/18, quai de la Loire

CS 70048

75921 Paris Cedex 19

Par téléphone

01 53 38 47 80

Par messagerie

Accès au formulaire de contact

Il n'est pas possible de faire un signalement anonyme. Le courrier doit être signé. En revanche, le nom de la personne ayant fait le signalement ne sera pas révélé par le CGLPL.

À savoir

si c'est une personne en prison qui écrit, le courrier ne peut pas être contrôlé par l'établissement.

En entretien physique

Une personne enfermée, ses proches ou les personnels de l'établissement peuvent rencontrer le CGLPL à l'occasion d'une de ses visites dans l'établissement concerné. Ces entretiens sont confidentiels.

Les permanences d'accueil sont affichées dans l'établissement et dans les locaux d'accueil des familles.

Quelles sont les actions du Contrôleur ?

Le CGLPL adresse un rapport de visite aux ministres concernés par le lieu de privation mis en cause.

S'il l'estime nécessaire, il fait des recommandations pour améliorer la situation.

Il peut décider de rendre publics ces rapports.

En cas d'infraction commise, le CGLPL peut effectuer un signalement au procureur de la République. Il peut aussi saisir les instances disciplinaires des agents publics impliqués dans la violation des droits fondamentaux des personnes détenues.

A noter :
le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) veille au respect des droits fondamentaux des personnes privées de libertés. Il est indépendant. Il a le pouvoir d'inspecter tous les lieux de privation de liberté par les autorités : prisons, cellules de garde à vue, hôpitaux psychiatriques, centres de rétention, etc. Le Contrôleur peut être saisi par les personnes privées de liberté ou par une personne qui a connaissance d'une atteinte à leurs droits.

Pour quels lieux de privation de liberté peut-on saisir le Contrôleur ?

Le CGLPL peut être saisi du cas d'une personne enfermée ou placée dans l'un des lieux suivants :

  • Établissement pénitentiaire (prison)

  • Établissement de santé (hôpital psychiatrique (particuliers) par exemple, pour les personnes privées de leur liberté d'aller de de venir dans un tel établissement)

  • Cellule de garde à vue (particuliers)

  • Centre de rétention administrative (particuliers) ou de rétention douanière

  • Zone d'attente de port ou d'aéroport

  • Dépôt d'un palais de justice (cellule où sont placés les personnes avant leur procès ou leur audition par un magistrat)

  • Centre éducatif fermé (particuliers)

  • Véhicule servant au transport des personnes privées de liberté (fourgon de police...)

Qui peut le saisir ?

Le CGLPL peut être saisi par les personnes suivantes :

  • Personne privée de liberté, même mineure ou de nationalité étrangère

  • Parents ou tout proche d'une personne privée de liberté

  • Avocat d'une personne privée de liberté

  • Témoin

  • Membre du personnel intervenant dans l'établissement

  • Association ou une personne morale ayant pour objet le respect des droits fondamentaux

  • Gouvernement, les parlementaires ou une autre autorité administrative indépendante

Il peut également décider de se saisir de sa propre initiative.

Pour quels motifs ?

Le CGLPL peut recevoir un signalement pour les motifs suivants :

  • Atteinte aux droits fondamentaux d'une personne privée de liberté ou qui l'a été récemment (droit à une vie privée, à un avocat...)

  • Mauvaises conditions de garde à vue, de rétention ou d'hospitalisation d'une personne (conditions d'hygiène, alimentation...)

  • Mauvais fonctionnement d'un établissement pénitentiaire ou d'une unité de santé recevant des personnes hospitalisées sans leur consentement. Par exemple, si un prisonnier ne peut pas avoir accès à un médecin.

Comment le saisir ?

Par courrier

Le CGLPL peut être saisi par simple courrier postal.

Où s’adresser ?

Contrôleur général des lieux de privation de liberté

Par courrier

16/18, quai de la Loire

CS 70048

75921 Paris Cedex 19

Par téléphone

01 53 38 47 80

Par messagerie

Accès au formulaire de contact

Il n'est pas possible de faire un signalement anonyme. Le courrier doit être signé. En revanche, le nom de la personne ayant fait le signalement ne sera pas révélé par le CGLPL.

À savoir

si c'est une personne en prison qui écrit, le courrier ne peut pas être contrôlé par l'établissement.

En entretien physique

Une personne enfermée, ses proches ou les personnels de l'établissement peuvent rencontrer le CGLPL à l'occasion d'une de ses visites dans l'établissement concerné. Ces entretiens sont confidentiels.

Les permanences d'accueil sont affichées dans l'établissement et dans les locaux d'accueil des familles.

Quelles sont les actions du Contrôleur ?

Le CGLPL adresse un rapport de visite aux ministres concernés par le lieu de privation mis en cause.

S'il l'estime nécessaire, il fait des recommandations pour améliorer la situation.

Il peut décider de rendre publics ces rapports.

En cas d'infraction commise, le CGLPL peut effectuer un signalement au procureur de la République. Il peut aussi saisir les instances disciplinaires des agents publics impliqués dans la violation des droits fondamentaux des personnes détenues.

Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

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La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

Demande d'implantation grue

Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
- Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
- Mardi de 8h30 à 12h
- Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
- Jeudi de 13h30 à 17h
- Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h