Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

La castration chimique, également appelée traitement inhibiteur de libido, est un traitement médical destiné aux auteurs d'infractions sexuelles. Elle vise à réduire la libido d'une personne sans entraîner une mutilation du corps humain. Elle n'est pas irréversible : ses effets cessent lorsque le condamné arrête son traitement.

Qu'est-ce que la castration chimique ?

La castration chimique est un traitement médical qui vise à réduire la production de testostérone par la prise de médicaments. Le traitement a pour but de réduire les pulsions sexuelles de l'individu. Il n'empêche pas les rapports sexuels mais les rend beaucoup moins fréquents.

Les effets des médicaments durent tant que le traitement est suivi. Lorsque le traitement est arrêté, les effets cessent également.

À noter

En France, il n'existe pas de mesure de castration physique à l'encontre des délinquants sexuels.

Dans quels cas une castration chimique est-elle envisagée ?

La castration chimique concerne les auteurs d'infractions sexuelles, telles que le viol (particuliers) ou les agressions sexuelles (particuliers).

Elle peut être décidée dans le cadre d'un suivi socio-judiciaire, d'une libération conditionnelle (particuliers), d'une surveillance judiciaire ou d'une surveillance de sûreté (particuliers).

Pour que la castration chimique soit prescrite, il est nécessaire que le délinquant sexuel ait fait l'objet d'une expertise médicale et que les juges aient prononcé une injonction de soins à son encontre.

Qui décide de la mise en place d'une castration chimique ?

Prescription du traitement inhibiteur de libido

La castration chimique n'est pas une mesure judiciaire. Il s'agit d'un traitement médical.

Une juridiction pénale peut prononcer une injonction de soins à l'encontre d'un délinquant sexuel. Dans ce cas, son médecin traitant peut lui prescrire un traitement inhibiteur de libido (castration chimique).

Ce traitement ne peut jamais être décidé par les juridictions pénales (particuliers).

Consentement du délinquant sexuel

La mise en place d'une castration chimique nécessite le consentement de la personne condamnée. Néanmoins, si elle refuse de suivre ce traitement elle encourt une peine de :

  • 3 ans de prison, en cas de délit

  • 7 ans de prison, en cas de crime

Comment se déroule la castration chimique ?

Lieu de l'exécution du traitement inhibiteur de libido

L'auteur d'une infraction sexuelle débute son traitement dès lors qu'il se trouve en dehors d'un établissement pénitentiaire.

Cependant, le traitement peut débuter en prison. Dans ce cas, le condamné qui accepte une castration chimique est incarcéré dans un établissement spécialisé permettant d'assurer un suivi médical et psychologique adapté.

Suivi du traitement inhibiteur de libido

L'auteur d'une infraction sexuelle est suivi par son médecin traitant. S'il n'en n'a pas, il doit en choisir un.

Le médecin traitant délivre des attestations de suivi du traitement à intervalles réguliers. Cela permet au condamné de justifier de l'accomplissement du traitement inhibiteur de libido.

Une fois par an, un médecin coordonnateur, désigné par le juge de l'application des peines, rencontre la personne condamnée pour faire un bilan de sa situation (évolution de l'état de la personne, propositions sur la poursuite des soins, etc.). Le médecin coordonnateur transmet ce bilan aux autorités judiciaires.

Fin du traitement inhibiteur de libido

Le traitement inhibiteur de libido s'arrête lorsque cesse l'injonction de soins. La durée de cette mesure est fixée par le juge qui la prononce. Elle varie entre 1 et 20 ans.

Cependant, le médecin traitant peut choisir d'interrompre le traitement s'il justifie d'un motif (par exemple, l'auteur de l'infraction ne supporte pas le traitement). Dans ce cas, il en informe le juge de l'applications des peines et le médecin coordonnateur.

À noter

Si le délinquant sexuel arrête son traitement contre l'avis de son médecin traitant, il peut être sanctionné pour avoir violé les obligations de son injonction de soins.

Références

La castration chimique, également appelée traitement inhibiteur de libido, est un traitement médical destiné aux auteurs d'infractions sexuelles. Elle vise à réduire la libido d'une personne sans entraîner une mutilation du corps humain. Elle n'est pas irréversible : ses effets cessent lorsque le condamné arrête son traitement.

Qu'est-ce que la castration chimique ?

La castration chimique est un traitement médical qui vise à réduire la production de testostérone par la prise de médicaments. Le traitement a pour but de réduire les pulsions sexuelles de l'individu. Il n'empêche pas les rapports sexuels mais les rend beaucoup moins fréquents.

Les effets des médicaments durent tant que le traitement est suivi. Lorsque le traitement est arrêté, les effets cessent également.

À noter

En France, il n'existe pas de mesure de castration physique à l'encontre des délinquants sexuels.

Dans quels cas une castration chimique est-elle envisagée ?

La castration chimique concerne les auteurs d'infractions sexuelles, telles que le viol (particuliers) ou les agressions sexuelles (particuliers).

Elle peut être décidée dans le cadre d'un suivi socio-judiciaire, d'une libération conditionnelle (particuliers), d'une surveillance judiciaire ou d'une surveillance de sûreté (particuliers).

Pour que la castration chimique soit prescrite, il est nécessaire que le délinquant sexuel ait fait l'objet d'une expertise médicale et que les juges aient prononcé une injonction de soins à son encontre.

Qui décide de la mise en place d'une castration chimique ?

Prescription du traitement inhibiteur de libido

La castration chimique n'est pas une mesure judiciaire. Il s'agit d'un traitement médical.

Une juridiction pénale peut prononcer une injonction de soins à l'encontre d'un délinquant sexuel. Dans ce cas, son médecin traitant peut lui prescrire un traitement inhibiteur de libido (castration chimique).

Ce traitement ne peut jamais être décidé par les juridictions pénales (particuliers).

Consentement du délinquant sexuel

La mise en place d'une castration chimique nécessite le consentement de la personne condamnée. Néanmoins, si elle refuse de suivre ce traitement elle encourt une peine de :

  • 3 ans de prison, en cas de délit

  • 7 ans de prison, en cas de crime

Comment se déroule la castration chimique ?

Lieu de l'exécution du traitement inhibiteur de libido

L'auteur d'une infraction sexuelle débute son traitement dès lors qu'il se trouve en dehors d'un établissement pénitentiaire.

Cependant, le traitement peut débuter en prison. Dans ce cas, le condamné qui accepte une castration chimique est incarcéré dans un établissement spécialisé permettant d'assurer un suivi médical et psychologique adapté.

Suivi du traitement inhibiteur de libido

L'auteur d'une infraction sexuelle est suivi par son médecin traitant. S'il n'en n'a pas, il doit en choisir un.

Le médecin traitant délivre des attestations de suivi du traitement à intervalles réguliers. Cela permet au condamné de justifier de l'accomplissement du traitement inhibiteur de libido.

Une fois par an, un médecin coordonnateur, désigné par le juge de l'application des peines, rencontre la personne condamnée pour faire un bilan de sa situation (évolution de l'état de la personne, propositions sur la poursuite des soins, etc.). Le médecin coordonnateur transmet ce bilan aux autorités judiciaires.

Fin du traitement inhibiteur de libido

Le traitement inhibiteur de libido s'arrête lorsque cesse l'injonction de soins. La durée de cette mesure est fixée par le juge qui la prononce. Elle varie entre 1 et 20 ans.

Cependant, le médecin traitant peut choisir d'interrompre le traitement s'il justifie d'un motif (par exemple, l'auteur de l'infraction ne supporte pas le traitement). Dans ce cas, il en informe le juge de l'applications des peines et le médecin coordonnateur.

À noter

Si le délinquant sexuel arrête son traitement contre l'avis de son médecin traitant, il peut être sanctionné pour avoir violé les obligations de son injonction de soins.

Références

A noter :
le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

La castration chimique, également appelée traitement inhibiteur de libido, est un traitement médical destiné aux auteurs d'infractions sexuelles. Elle vise à réduire la libido d'une personne sans entraîner une mutilation du corps humain. Elle n'est pas irréversible : ses effets cessent lorsque le condamné arrête son traitement.

Qu'est-ce que la castration chimique ?

La castration chimique est un traitement médical qui vise à réduire la production de testostérone par la prise de médicaments. Le traitement a pour but de réduire les pulsions sexuelles de l'individu. Il n'empêche pas les rapports sexuels mais les rend beaucoup moins fréquents.

Les effets des médicaments durent tant que le traitement est suivi. Lorsque le traitement est arrêté, les effets cessent également.

À noter

En France, il n'existe pas de mesure de castration physique à l'encontre des délinquants sexuels.

Dans quels cas une castration chimique est-elle envisagée ?

La castration chimique concerne les auteurs d'infractions sexuelles, telles que le viol (particuliers) ou les agressions sexuelles (particuliers).

Elle peut être décidée dans le cadre d'un suivi socio-judiciaire, d'une libération conditionnelle (particuliers), d'une surveillance judiciaire ou d'une surveillance de sûreté (particuliers).

Pour que la castration chimique soit prescrite, il est nécessaire que le délinquant sexuel ait fait l'objet d'une expertise médicale et que les juges aient prononcé une injonction de soins à son encontre.

Qui décide de la mise en place d'une castration chimique ?

Prescription du traitement inhibiteur de libido

La castration chimique n'est pas une mesure judiciaire. Il s'agit d'un traitement médical.

Une juridiction pénale peut prononcer une injonction de soins à l'encontre d'un délinquant sexuel. Dans ce cas, son médecin traitant peut lui prescrire un traitement inhibiteur de libido (castration chimique).

Ce traitement ne peut jamais être décidé par les juridictions pénales (particuliers).

Consentement du délinquant sexuel

La mise en place d'une castration chimique nécessite le consentement de la personne condamnée. Néanmoins, si elle refuse de suivre ce traitement elle encourt une peine de :

  • 3 ans de prison, en cas de délit

  • 7 ans de prison, en cas de crime

Comment se déroule la castration chimique ?

Lieu de l'exécution du traitement inhibiteur de libido

L'auteur d'une infraction sexuelle débute son traitement dès lors qu'il se trouve en dehors d'un établissement pénitentiaire.

Cependant, le traitement peut débuter en prison. Dans ce cas, le condamné qui accepte une castration chimique est incarcéré dans un établissement spécialisé permettant d'assurer un suivi médical et psychologique adapté.

Suivi du traitement inhibiteur de libido

L'auteur d'une infraction sexuelle est suivi par son médecin traitant. S'il n'en n'a pas, il doit en choisir un.

Le médecin traitant délivre des attestations de suivi du traitement à intervalles réguliers. Cela permet au condamné de justifier de l'accomplissement du traitement inhibiteur de libido.

Une fois par an, un médecin coordonnateur, désigné par le juge de l'application des peines, rencontre la personne condamnée pour faire un bilan de sa situation (évolution de l'état de la personne, propositions sur la poursuite des soins, etc.). Le médecin coordonnateur transmet ce bilan aux autorités judiciaires.

Fin du traitement inhibiteur de libido

Le traitement inhibiteur de libido s'arrête lorsque cesse l'injonction de soins. La durée de cette mesure est fixée par le juge qui la prononce. Elle varie entre 1 et 20 ans.

Cependant, le médecin traitant peut choisir d'interrompre le traitement s'il justifie d'un motif (par exemple, l'auteur de l'infraction ne supporte pas le traitement). Dans ce cas, il en informe le juge de l'applications des peines et le médecin coordonnateur.

À noter

Si le délinquant sexuel arrête son traitement contre l'avis de son médecin traitant, il peut être sanctionné pour avoir violé les obligations de son injonction de soins.

Références

Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

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La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

Demande d'implantation grue

Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
- Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
- Mardi de 8h30 à 12h
- Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
- Jeudi de 13h30 à 17h
- Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h