Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

Une période dite probatoire peut être mise en place si le salarié est amené à occuper un nouveau poste de travail dans l'entreprise. La période probatoire permet à l'employeur d'évaluer la capacité du salarié à exercer ses nouvelles fonctions. La période probatoire permet également au salarié de prendre connaissance de ses compétences dans ses nouvelles attributions.

Attention

La période probatoire ne fait pas l'objet d'une définition légale. Elle n'est pas définie par le code du travail. Mais des dispositions conventionnelles peuvent autoriser ou interdire l'employeur d'imposer une période probatoire à un salarié qui change de poste.

La période probatoire est autorisée

Mise en place de la période probatoire

Si des dispositions conventionnelles prévoient la mise en place d'une période probatoire, cette période doit être prévue dans le contrat de travail initial du salarié.

Le contrat de travail peut prévoir, par exemple, la durée de la période probatoire, son renouvellement éventuel et les conditions de rupture de cette période.

En cas de mise en place d'une période probatoire, un avenant au contrat initial du salarié doit être établi.

À la fin de la période probatoire, le salarié est affecté sur son nouveau poste.

Attention

Il ne faut pas confondre la période probatoire avec la période d'essai (particuliers).

Interruption de la période probatoire

La période probatoire peut être interrompue par l'employeur s'il estime que le salarié ne donne pas satisfaction dans ses nouvelles fonctions.

La période probatoire peut être également interrompue par le salarié s'il n'est pas satisfait par son nouveau poste.

Il n'existe pas de délai dit de prévenance pour mettre fin à la période probatoire.

Pour éviter tout litige, il est conseillé de formaliser la fin de la période probatoire, par lettre avec RAR ou mail par exemples.

La rupture de la période probatoire a pour effet de replacer le salarié dans ses fonctions antérieures.

À la différence de la période d'essai, la rupture de la période probatoire n'entraîne pas la rupture du contrat de travail.

La rupture de la période probatoire ne peut pas être un motif valable de licenciement.

Attention

Un salarié protégé ne peut pas être replacé automatiquement par l'employeur dans ses fonctions antérieures. L'accord du salarié protégé est obligatoire.

En l'absence d'accord du salarié protégé, l'employeur doit :

  • Soit maintenir sur son nouveau poste le salarié protégé

  • Soit saisir l'inspecteur du travail d'une demande d'autorisation administrative de licenciement du salarié protégé

    La période probatoire est interdite

    Des dispositions conventionnelles peuvent interdire la mise en place d'une période probatoire.

    Si c'est le cas, l'employeur ne peut pas imposer une période probatoire à l'occasion du changement de poste du salarié.

      Où s'adresser ?

      Direction départementale en charge de l'emploi, du travail et des solidarités (DDETS ou DDETS-PP)

      https://dreets.gouv.fr/

      Rechercher les DDETS sur la carte interactive en cliquant sur le département souhaité.

      Une période dite probatoire peut être mise en place si le salarié est amené à occuper un nouveau poste de travail dans l'entreprise. La période probatoire permet à l'employeur d'évaluer la capacité du salarié à exercer ses nouvelles fonctions. La période probatoire permet également au salarié de prendre connaissance de ses compétences dans ses nouvelles attributions.

      Attention

      La période probatoire ne fait pas l'objet d'une définition légale. Elle n'est pas définie par le code du travail. Mais des dispositions conventionnelles peuvent autoriser ou interdire l'employeur d'imposer une période probatoire à un salarié qui change de poste.

      La période probatoire est autorisée

      Mise en place de la période probatoire

      Si des dispositions conventionnelles prévoient la mise en place d'une période probatoire, cette période doit être prévue dans le contrat de travail initial du salarié.

      Le contrat de travail peut prévoir, par exemple, la durée de la période probatoire, son renouvellement éventuel et les conditions de rupture de cette période.

      En cas de mise en place d'une période probatoire, un avenant au contrat initial du salarié doit être établi.

      À la fin de la période probatoire, le salarié est affecté sur son nouveau poste.

      Attention

      Il ne faut pas confondre la période probatoire avec la période d'essai (particuliers).

      Interruption de la période probatoire

      La période probatoire peut être interrompue par l'employeur s'il estime que le salarié ne donne pas satisfaction dans ses nouvelles fonctions.

      La période probatoire peut être également interrompue par le salarié s'il n'est pas satisfait par son nouveau poste.

      Il n'existe pas de délai dit de prévenance pour mettre fin à la période probatoire.

      Pour éviter tout litige, il est conseillé de formaliser la fin de la période probatoire, par lettre avec RAR ou mail par exemples.

      La rupture de la période probatoire a pour effet de replacer le salarié dans ses fonctions antérieures.

      À la différence de la période d'essai, la rupture de la période probatoire n'entraîne pas la rupture du contrat de travail.

      La rupture de la période probatoire ne peut pas être un motif valable de licenciement.

      Attention

      Un salarié protégé ne peut pas être replacé automatiquement par l'employeur dans ses fonctions antérieures. L'accord du salarié protégé est obligatoire.

      En l'absence d'accord du salarié protégé, l'employeur doit :

      • Soit maintenir sur son nouveau poste le salarié protégé

      • Soit saisir l'inspecteur du travail d'une demande d'autorisation administrative de licenciement du salarié protégé

        La période probatoire est interdite

        Des dispositions conventionnelles peuvent interdire la mise en place d'une période probatoire.

        Si c'est le cas, l'employeur ne peut pas imposer une période probatoire à l'occasion du changement de poste du salarié.

          Où s'adresser ?

          Direction départementale en charge de l'emploi, du travail et des solidarités (DDETS ou DDETS-PP)

          https://dreets.gouv.fr/

          Rechercher les DDETS sur la carte interactive en cliquant sur le département souhaité.

          A noter :
          le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

          Une période dite probatoire peut être mise en place si le salarié est amené à occuper un nouveau poste de travail dans l'entreprise. La période probatoire permet à l'employeur d'évaluer la capacité du salarié à exercer ses nouvelles fonctions. La période probatoire permet également au salarié de prendre connaissance de ses compétences dans ses nouvelles attributions.

          Attention

          La période probatoire ne fait pas l'objet d'une définition légale. Elle n'est pas définie par le code du travail. Mais des dispositions conventionnelles peuvent autoriser ou interdire l'employeur d'imposer une période probatoire à un salarié qui change de poste.

          La période probatoire est autorisée

          Mise en place de la période probatoire

          Si des dispositions conventionnelles prévoient la mise en place d'une période probatoire, cette période doit être prévue dans le contrat de travail initial du salarié.

          Le contrat de travail peut prévoir, par exemple, la durée de la période probatoire, son renouvellement éventuel et les conditions de rupture de cette période.

          En cas de mise en place d'une période probatoire, un avenant au contrat initial du salarié doit être établi.

          À la fin de la période probatoire, le salarié est affecté sur son nouveau poste.

          Attention

          Il ne faut pas confondre la période probatoire avec la période d'essai (particuliers).

          Interruption de la période probatoire

          La période probatoire peut être interrompue par l'employeur s'il estime que le salarié ne donne pas satisfaction dans ses nouvelles fonctions.

          La période probatoire peut être également interrompue par le salarié s'il n'est pas satisfait par son nouveau poste.

          Il n'existe pas de délai dit de prévenance pour mettre fin à la période probatoire.

          Pour éviter tout litige, il est conseillé de formaliser la fin de la période probatoire, par lettre avec RAR ou mail par exemples.

          La rupture de la période probatoire a pour effet de replacer le salarié dans ses fonctions antérieures.

          À la différence de la période d'essai, la rupture de la période probatoire n'entraîne pas la rupture du contrat de travail.

          La rupture de la période probatoire ne peut pas être un motif valable de licenciement.

          Attention

          Un salarié protégé ne peut pas être replacé automatiquement par l'employeur dans ses fonctions antérieures. L'accord du salarié protégé est obligatoire.

          En l'absence d'accord du salarié protégé, l'employeur doit :

          • Soit maintenir sur son nouveau poste le salarié protégé

          • Soit saisir l'inspecteur du travail d'une demande d'autorisation administrative de licenciement du salarié protégé

            La période probatoire est interdite

            Des dispositions conventionnelles peuvent interdire la mise en place d'une période probatoire.

            Si c'est le cas, l'employeur ne peut pas imposer une période probatoire à l'occasion du changement de poste du salarié.

              Où s'adresser ?

              Direction départementale en charge de l'emploi, du travail et des solidarités (DDETS ou DDETS-PP)

              https://dreets.gouv.fr/

              Rechercher les DDETS sur la carte interactive en cliquant sur le département souhaité.

              Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
              Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

              Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

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              La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

              Demande d'implantation grue

              Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

              Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
              - Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
              - Mardi de 8h30 à 12h
              - Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
              - Jeudi de 13h30 à 17h
              - Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h