Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

Un salarié peut être incarcéré pendant qu'il est sous contrat avec son employeur. Le salarié doit alors informer son employeur de son absence. S'il n'informe pas son employeur de cette absence, l'employeur peut le licencier. Nous faisons le point sur la réglementation.

Le salarié doit-il informer l'employeur de son absence à cause de sa détention ?

Oui, le salarié doit informer son employeur de son absence.

S'il ne le fait pas, l'absence est injustifiée.

L'absence injustifiée peut constituer un motif de licenciement pour faute (particuliers) si les 3 conditions suivantes sont réunies :

  • Absence d'information de l'employeur par le salarié pendant le délai écoulé entre son placement en garde à vue et sa détention

  • Impossibilité pour le salarié de prouver qu'il a été dans l'incapacité de prévenir son employeur de sa détention

  • Désorganisation de l'entreprise du fait de l'absence d'information

Si le salarié est licencié pour faute grave, il ne perçoit pas l'indemnité de licenciement (particuliers). Exemple : un ouvrier qui a informé son employeur 7 mois après le début de sa détention, son absence ayant perturbé le fonctionnement de l'entreprise.

Attention

L'employeur doit mettre le salarié en demeure de justifier son absence avant de le licencier.

Le salarié qui informe son employeur de sa détention peut-il être licencié ?

Oui, le salarié qui informe son employeur de sa détention peut être licencié sous conditions.

Le motif du licenciement varie si les faits à l'origine de sa détention ont été commis en dehors du temps de travail et n'ont aucun lien avec l'activité professionnelle ou pendant le temps de travail.

Faits commis en dehors du travail

Le salarié qui informe son employeur de sa détention ne peut pas être licencié pour faute si les faits relèvent de sa vie privée.

Le seul motif de sa détention ne peut pas justifier un licenciement.

Toutefois, l'employeur peut licencier le salarié détenu si son absence désorganise ou perturbe le fonctionnement de l'entreprise ou rend nécessaire un remplacement urgent.

Dans ce cas, le salarié perçoit l'indemnité de licenciement (particuliers), s'il remplit les conditions y ouvrant droit.

    Faits commis pendant le travail

    L'employeur peut invoquer les fautes commises pendant l'exécution du contrat de travail pour licencier le salarié pour faute (particuliers).

      À noter

      Si le salarié est en CDD, l'employeur peut rompre le CDD avant sa fin (particuliers) dans certains cas.

      La détention peut-elle justifier un cas de force majeure de rupture du contrat ?

      Non, la détention ne constitue pas un cas de force majeure (particuliers) de rupture du contrat.

      Quelle procédure doit suivre l'employeur pour licencier un salarié en détention ?

      Pour licencier un salarié en CDI, l'employeur doit respecter la procédure de licenciement pour motif personnel (particuliers).

      Il doit adresser la convocation à entretien préalable au domicile du salarié et au centre pénitentiaire, si l'employeur a été informé de sa détention.

      Le salarié détenu ne bénéficie pas de l'indemnité compensatrice de préavis (particuliers), puisqu'il ne peut pas effectuer le préavis en raison de sa détention.

      À noter

      Durant la détention ou l'incarcération, le contrat de travail est suspendu. Le salarié n'est pas rémunéré.

      Références

      Un salarié peut être incarcéré pendant qu'il est sous contrat avec son employeur. Le salarié doit alors informer son employeur de son absence. S'il n'informe pas son employeur de cette absence, l'employeur peut le licencier. Nous faisons le point sur la réglementation.

      Le salarié doit-il informer l'employeur de son absence à cause de sa détention ?

      Oui, le salarié doit informer son employeur de son absence.

      S'il ne le fait pas, l'absence est injustifiée.

      L'absence injustifiée peut constituer un motif de licenciement pour faute (particuliers) si les 3 conditions suivantes sont réunies :

      • Absence d'information de l'employeur par le salarié pendant le délai écoulé entre son placement en garde à vue et sa détention

      • Impossibilité pour le salarié de prouver qu'il a été dans l'incapacité de prévenir son employeur de sa détention

      • Désorganisation de l'entreprise du fait de l'absence d'information

      Si le salarié est licencié pour faute grave, il ne perçoit pas l'indemnité de licenciement (particuliers). Exemple : un ouvrier qui a informé son employeur 7 mois après le début de sa détention, son absence ayant perturbé le fonctionnement de l'entreprise.

      Attention

      L'employeur doit mettre le salarié en demeure de justifier son absence avant de le licencier.

      Le salarié qui informe son employeur de sa détention peut-il être licencié ?

      Oui, le salarié qui informe son employeur de sa détention peut être licencié sous conditions.

      Le motif du licenciement varie si les faits à l'origine de sa détention ont été commis en dehors du temps de travail et n'ont aucun lien avec l'activité professionnelle ou pendant le temps de travail.

      Faits commis en dehors du travail

      Le salarié qui informe son employeur de sa détention ne peut pas être licencié pour faute si les faits relèvent de sa vie privée.

      Le seul motif de sa détention ne peut pas justifier un licenciement.

      Toutefois, l'employeur peut licencier le salarié détenu si son absence désorganise ou perturbe le fonctionnement de l'entreprise ou rend nécessaire un remplacement urgent.

      Dans ce cas, le salarié perçoit l'indemnité de licenciement (particuliers), s'il remplit les conditions y ouvrant droit.

        Faits commis pendant le travail

        L'employeur peut invoquer les fautes commises pendant l'exécution du contrat de travail pour licencier le salarié pour faute (particuliers).

          À noter

          Si le salarié est en CDD, l'employeur peut rompre le CDD avant sa fin (particuliers) dans certains cas.

          La détention peut-elle justifier un cas de force majeure de rupture du contrat ?

          Non, la détention ne constitue pas un cas de force majeure (particuliers) de rupture du contrat.

          Quelle procédure doit suivre l'employeur pour licencier un salarié en détention ?

          Pour licencier un salarié en CDI, l'employeur doit respecter la procédure de licenciement pour motif personnel (particuliers).

          Il doit adresser la convocation à entretien préalable au domicile du salarié et au centre pénitentiaire, si l'employeur a été informé de sa détention.

          Le salarié détenu ne bénéficie pas de l'indemnité compensatrice de préavis (particuliers), puisqu'il ne peut pas effectuer le préavis en raison de sa détention.

          À noter

          Durant la détention ou l'incarcération, le contrat de travail est suspendu. Le salarié n'est pas rémunéré.

          Références

          A noter :
          le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

          Un salarié peut être incarcéré pendant qu'il est sous contrat avec son employeur. Le salarié doit alors informer son employeur de son absence. S'il n'informe pas son employeur de cette absence, l'employeur peut le licencier. Nous faisons le point sur la réglementation.

          Le salarié doit-il informer l'employeur de son absence à cause de sa détention ?

          Oui, le salarié doit informer son employeur de son absence.

          S'il ne le fait pas, l'absence est injustifiée.

          L'absence injustifiée peut constituer un motif de licenciement pour faute (particuliers) si les 3 conditions suivantes sont réunies :

          • Absence d'information de l'employeur par le salarié pendant le délai écoulé entre son placement en garde à vue et sa détention

          • Impossibilité pour le salarié de prouver qu'il a été dans l'incapacité de prévenir son employeur de sa détention

          • Désorganisation de l'entreprise du fait de l'absence d'information

          Si le salarié est licencié pour faute grave, il ne perçoit pas l'indemnité de licenciement (particuliers). Exemple : un ouvrier qui a informé son employeur 7 mois après le début de sa détention, son absence ayant perturbé le fonctionnement de l'entreprise.

          Attention

          L'employeur doit mettre le salarié en demeure de justifier son absence avant de le licencier.

          Le salarié qui informe son employeur de sa détention peut-il être licencié ?

          Oui, le salarié qui informe son employeur de sa détention peut être licencié sous conditions.

          Le motif du licenciement varie si les faits à l'origine de sa détention ont été commis en dehors du temps de travail et n'ont aucun lien avec l'activité professionnelle ou pendant le temps de travail.

          Faits commis en dehors du travail

          Le salarié qui informe son employeur de sa détention ne peut pas être licencié pour faute si les faits relèvent de sa vie privée.

          Le seul motif de sa détention ne peut pas justifier un licenciement.

          Toutefois, l'employeur peut licencier le salarié détenu si son absence désorganise ou perturbe le fonctionnement de l'entreprise ou rend nécessaire un remplacement urgent.

          Dans ce cas, le salarié perçoit l'indemnité de licenciement (particuliers), s'il remplit les conditions y ouvrant droit.

            Faits commis pendant le travail

            L'employeur peut invoquer les fautes commises pendant l'exécution du contrat de travail pour licencier le salarié pour faute (particuliers).

              À noter

              Si le salarié est en CDD, l'employeur peut rompre le CDD avant sa fin (particuliers) dans certains cas.

              La détention peut-elle justifier un cas de force majeure de rupture du contrat ?

              Non, la détention ne constitue pas un cas de force majeure (particuliers) de rupture du contrat.

              Quelle procédure doit suivre l'employeur pour licencier un salarié en détention ?

              Pour licencier un salarié en CDI, l'employeur doit respecter la procédure de licenciement pour motif personnel (particuliers).

              Il doit adresser la convocation à entretien préalable au domicile du salarié et au centre pénitentiaire, si l'employeur a été informé de sa détention.

              Le salarié détenu ne bénéficie pas de l'indemnité compensatrice de préavis (particuliers), puisqu'il ne peut pas effectuer le préavis en raison de sa détention.

              À noter

              Durant la détention ou l'incarcération, le contrat de travail est suspendu. Le salarié n'est pas rémunéré.

              Références

              Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
              Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

              Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

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              La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

              Demande d'implantation grue

              Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

              Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
              - Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
              - Mardi de 8h30 à 12h
              - Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
              - Jeudi de 13h30 à 17h
              - Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h