Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

Un étranger qui séjourne en France doit pouvoir justifier qu'il a le droit de circuler sur le territoire français. En cas de contrôle de titre de séjour ou de contrôle d'identité, l'étranger doit pouvoir présenter un visa en cours de validité, une carte de séjour ou tout autre document l'autorisant à séjourner en France. S'il est dans l’incapacité de fournir de tels justificatifs, il sera conduit et retenu dans un local de police ou de gendarmerie pour vérification de son droit au séjour. Dans quels cas cette retenue peut-elle être réalisée ? Nous faisons le point sur la règlementation.

Dans quels cas une retenue pour vérification du droit au séjour peut-elle être réalisée ?

La retenue pour vérification du droit au séjour est une mesure administrative. Elle permet de retenir un étranger qui ne peut pas présenter son visa ou son titre de séjour (ou qui refuse de le faire).

Elle peut intervenir à l'occasion d'un contrôle de titre de séjour (particuliers) ou d'un contrôle d'identité (particuliers).

Elle permet à la police de vérifier si l'étranger a le droit de séjourner en France.

La retenue peut être suivie, si nécessaire, d'une mesure d'éloignement.

À savoir

Lorsqu'il s'agit d'un mineur, le procureur de la République doit être informé dès le début de la rétention. Sauf impossibilité, le mineur doit être assisté de son représentant légal.

Quelle est la procédure de retenue pour vérification du droit au séjour ?

Seul un officier de police judiciaire peut décider de la retenue.

Le procureur de la République est informé dès le début de la procédure.

L'officier (ou l'agent de police judiciaire désigné) vérifie que l'étranger possède un document de séjour en cours de validité (passeport, visa, titre de séjour). L'étranger peut le présenter spontanément.

Ses bagages et effets personnels peuvent être fouillés.

Si l'étranger ne fournit aucun élément ou document, ses empreintes digitales ou des photographies peuvent être prises pour établir son droit au séjour.

Un procès-verbal est rédigé. Il est transmis au procureur.

L'étranger est invité à le signer, mais il peut refuser de le faire.

À noter

Le procureur peut mettre fin à la procédure à tout moment.

Où est retenu l'étranger en vue de la vérification de son droit au séjour ?

L'étranger est retenu dans un local de police ou de gendarmerie.

Combien de temps l'étranger est-il retenu pour la vérification de son droit au séjour ou de son identité ?

La durée de retenue varie en fonction du contrôle à l'origine de la mesure.

Contrôle d'identité

La retenue pour contrôle d'identité est limitée à 4 heures maximum (à 8 heures à Mayotte et dans la collectivité territoriale de Guyane).

Le temps passé pour effectuer ce contrôle d'identité viendra diminuer d'autant la durée maximale de la retenue pour le contrôle du titre de séjour (qui est de 24 heures maximum).

    Contrôle de titre de séjour

    La retenue pour le contrôle du titre de séjour est limitée à 24 heures.

    Cette durée doit permettre l'examen complet de la situation de l'étranger.

      Quels sont les droits de l'étranger retenu pour vérification de son droit au séjour ?

      Dès le début de la procédure, l'étranger doit être informé, par l'officier de police judiciaire, des motifs de la retenue et de sa durée maximum.

      Cette information lui est donnée dans une langue qu'il comprend ou qu'il est supposé comprendre.

      L'étranger est également informé sur les droits suivants :

      • Être assisté par un interprète

      • Être assisté par un avocat (choisi par lui ou commis d'office (particuliers)) et s'entretenir avec lui dès son arrivée

      • Être examiné par un médecin

      • Prévenir à tout moment sa famille et, s'il est responsable de mineurs, disposer de contact pour leur prise en charge

      • Avertir les autorités consulaires de son pays

      • Faire aviser le procureur de la République de la vérification dont il fait l'objet

      L'étranger peut demander à son avocat d'assister aux auditions.

      L'avocat doit être présent dans l'heure où il a été informé.

      La 1re audition peut débuter sans l'avocat si elle porte sur le contrôle d'identité du retenu.

      Que se passe-t-il à la fin de la retenue pour vérification du droit au séjour ?

      L'issue de la retenue peut être différente en fonction des constatations effectuées.

      L'officier de police judiciaire peut décider :

      • Soit de libérer l'étranger (s'il est constaté qu'il est en séjour régulier ou que sa demande de titre de séjour est en cours d'examen)

      • Soit de prononcer un placement en centre de rétention (particuliers) ou une assignation à résidence (particuliers) si une mesure d'éloignement (particuliers) est décidée

      • Soit de placer l'étranger en garde à vue (particuliers), notamment en cas de délit de maintien irrégulier (étranger faisant l'objet d'une décision d'éloignement définitive, mais qui reste en France sans motif légitime)

      Un étranger qui séjourne en France doit pouvoir justifier qu'il a le droit de circuler sur le territoire français. En cas de contrôle de titre de séjour ou de contrôle d'identité, l'étranger doit pouvoir présenter un visa en cours de validité, une carte de séjour ou tout autre document l'autorisant à séjourner en France. S'il est dans l’incapacité de fournir de tels justificatifs, il sera conduit et retenu dans un local de police ou de gendarmerie pour vérification de son droit au séjour. Dans quels cas cette retenue peut-elle être réalisée ? Nous faisons le point sur la règlementation.

      Dans quels cas une retenue pour vérification du droit au séjour peut-elle être réalisée ?

      La retenue pour vérification du droit au séjour est une mesure administrative. Elle permet de retenir un étranger qui ne peut pas présenter son visa ou son titre de séjour (ou qui refuse de le faire).

      Elle peut intervenir à l'occasion d'un contrôle de titre de séjour (particuliers) ou d'un contrôle d'identité (particuliers).

      Elle permet à la police de vérifier si l'étranger a le droit de séjourner en France.

      La retenue peut être suivie, si nécessaire, d'une mesure d'éloignement.

      À savoir

      Lorsqu'il s'agit d'un mineur, le procureur de la République doit être informé dès le début de la rétention. Sauf impossibilité, le mineur doit être assisté de son représentant légal.

      Quelle est la procédure de retenue pour vérification du droit au séjour ?

      Seul un officier de police judiciaire peut décider de la retenue.

      Le procureur de la République est informé dès le début de la procédure.

      L'officier (ou l'agent de police judiciaire désigné) vérifie que l'étranger possède un document de séjour en cours de validité (passeport, visa, titre de séjour). L'étranger peut le présenter spontanément.

      Ses bagages et effets personnels peuvent être fouillés.

      Si l'étranger ne fournit aucun élément ou document, ses empreintes digitales ou des photographies peuvent être prises pour établir son droit au séjour.

      Un procès-verbal est rédigé. Il est transmis au procureur.

      L'étranger est invité à le signer, mais il peut refuser de le faire.

      À noter

      Le procureur peut mettre fin à la procédure à tout moment.

      Où est retenu l'étranger en vue de la vérification de son droit au séjour ?

      L'étranger est retenu dans un local de police ou de gendarmerie.

      Combien de temps l'étranger est-il retenu pour la vérification de son droit au séjour ou de son identité ?

      La durée de retenue varie en fonction du contrôle à l'origine de la mesure.

      Contrôle d'identité

      La retenue pour contrôle d'identité est limitée à 4 heures maximum (à 8 heures à Mayotte et dans la collectivité territoriale de Guyane).

      Le temps passé pour effectuer ce contrôle d'identité viendra diminuer d'autant la durée maximale de la retenue pour le contrôle du titre de séjour (qui est de 24 heures maximum).

        Contrôle de titre de séjour

        La retenue pour le contrôle du titre de séjour est limitée à 24 heures.

        Cette durée doit permettre l'examen complet de la situation de l'étranger.

          Quels sont les droits de l'étranger retenu pour vérification de son droit au séjour ?

          Dès le début de la procédure, l'étranger doit être informé, par l'officier de police judiciaire, des motifs de la retenue et de sa durée maximum.

          Cette information lui est donnée dans une langue qu'il comprend ou qu'il est supposé comprendre.

          L'étranger est également informé sur les droits suivants :

          • Être assisté par un interprète

          • Être assisté par un avocat (choisi par lui ou commis d'office (particuliers)) et s'entretenir avec lui dès son arrivée

          • Être examiné par un médecin

          • Prévenir à tout moment sa famille et, s'il est responsable de mineurs, disposer de contact pour leur prise en charge

          • Avertir les autorités consulaires de son pays

          • Faire aviser le procureur de la République de la vérification dont il fait l'objet

          L'étranger peut demander à son avocat d'assister aux auditions.

          L'avocat doit être présent dans l'heure où il a été informé.

          La 1re audition peut débuter sans l'avocat si elle porte sur le contrôle d'identité du retenu.

          Que se passe-t-il à la fin de la retenue pour vérification du droit au séjour ?

          L'issue de la retenue peut être différente en fonction des constatations effectuées.

          L'officier de police judiciaire peut décider :

          • Soit de libérer l'étranger (s'il est constaté qu'il est en séjour régulier ou que sa demande de titre de séjour est en cours d'examen)

          • Soit de prononcer un placement en centre de rétention (particuliers) ou une assignation à résidence (particuliers) si une mesure d'éloignement (particuliers) est décidée

          • Soit de placer l'étranger en garde à vue (particuliers), notamment en cas de délit de maintien irrégulier (étranger faisant l'objet d'une décision d'éloignement définitive, mais qui reste en France sans motif légitime)

          A noter :
          le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

          Un étranger qui séjourne en France doit pouvoir justifier qu'il a le droit de circuler sur le territoire français. En cas de contrôle de titre de séjour ou de contrôle d'identité, l'étranger doit pouvoir présenter un visa en cours de validité, une carte de séjour ou tout autre document l'autorisant à séjourner en France. S'il est dans l’incapacité de fournir de tels justificatifs, il sera conduit et retenu dans un local de police ou de gendarmerie pour vérification de son droit au séjour. Dans quels cas cette retenue peut-elle être réalisée ? Nous faisons le point sur la règlementation.

          Dans quels cas une retenue pour vérification du droit au séjour peut-elle être réalisée ?

          La retenue pour vérification du droit au séjour est une mesure administrative. Elle permet de retenir un étranger qui ne peut pas présenter son visa ou son titre de séjour (ou qui refuse de le faire).

          Elle peut intervenir à l'occasion d'un contrôle de titre de séjour (particuliers) ou d'un contrôle d'identité (particuliers).

          Elle permet à la police de vérifier si l'étranger a le droit de séjourner en France.

          La retenue peut être suivie, si nécessaire, d'une mesure d'éloignement.

          À savoir

          Lorsqu'il s'agit d'un mineur, le procureur de la République doit être informé dès le début de la rétention. Sauf impossibilité, le mineur doit être assisté de son représentant légal.

          Quelle est la procédure de retenue pour vérification du droit au séjour ?

          Seul un officier de police judiciaire peut décider de la retenue.

          Le procureur de la République est informé dès le début de la procédure.

          L'officier (ou l'agent de police judiciaire désigné) vérifie que l'étranger possède un document de séjour en cours de validité (passeport, visa, titre de séjour). L'étranger peut le présenter spontanément.

          Ses bagages et effets personnels peuvent être fouillés.

          Si l'étranger ne fournit aucun élément ou document, ses empreintes digitales ou des photographies peuvent être prises pour établir son droit au séjour.

          Un procès-verbal est rédigé. Il est transmis au procureur.

          L'étranger est invité à le signer, mais il peut refuser de le faire.

          À noter

          Le procureur peut mettre fin à la procédure à tout moment.

          Où est retenu l'étranger en vue de la vérification de son droit au séjour ?

          L'étranger est retenu dans un local de police ou de gendarmerie.

          Combien de temps l'étranger est-il retenu pour la vérification de son droit au séjour ou de son identité ?

          La durée de retenue varie en fonction du contrôle à l'origine de la mesure.

          Contrôle d'identité

          La retenue pour contrôle d'identité est limitée à 4 heures maximum (à 8 heures à Mayotte et dans la collectivité territoriale de Guyane).

          Le temps passé pour effectuer ce contrôle d'identité viendra diminuer d'autant la durée maximale de la retenue pour le contrôle du titre de séjour (qui est de 24 heures maximum).

            Contrôle de titre de séjour

            La retenue pour le contrôle du titre de séjour est limitée à 24 heures.

            Cette durée doit permettre l'examen complet de la situation de l'étranger.

              Quels sont les droits de l'étranger retenu pour vérification de son droit au séjour ?

              Dès le début de la procédure, l'étranger doit être informé, par l'officier de police judiciaire, des motifs de la retenue et de sa durée maximum.

              Cette information lui est donnée dans une langue qu'il comprend ou qu'il est supposé comprendre.

              L'étranger est également informé sur les droits suivants :

              • Être assisté par un interprète

              • Être assisté par un avocat (choisi par lui ou commis d'office (particuliers)) et s'entretenir avec lui dès son arrivée

              • Être examiné par un médecin

              • Prévenir à tout moment sa famille et, s'il est responsable de mineurs, disposer de contact pour leur prise en charge

              • Avertir les autorités consulaires de son pays

              • Faire aviser le procureur de la République de la vérification dont il fait l'objet

              L'étranger peut demander à son avocat d'assister aux auditions.

              L'avocat doit être présent dans l'heure où il a été informé.

              La 1re audition peut débuter sans l'avocat si elle porte sur le contrôle d'identité du retenu.

              Que se passe-t-il à la fin de la retenue pour vérification du droit au séjour ?

              L'issue de la retenue peut être différente en fonction des constatations effectuées.

              L'officier de police judiciaire peut décider :

              • Soit de libérer l'étranger (s'il est constaté qu'il est en séjour régulier ou que sa demande de titre de séjour est en cours d'examen)

              • Soit de prononcer un placement en centre de rétention (particuliers) ou une assignation à résidence (particuliers) si une mesure d'éloignement (particuliers) est décidée

              • Soit de placer l'étranger en garde à vue (particuliers), notamment en cas de délit de maintien irrégulier (étranger faisant l'objet d'une décision d'éloignement définitive, mais qui reste en France sans motif légitime)

              Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
              Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

              Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

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              La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

              Demande d'implantation grue

              Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

              Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
              - Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
              - Mardi de 8h30 à 12h
              - Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
              - Jeudi de 13h30 à 17h
              - Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h