Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

Sortie de prison avant la fin de la peine

Des mesures de contrôle sont imposées à la personne condamnée qui sort de prison avant la fin de sa peine, via un des dispositifs suivants :

Ces mesures limitent la liberté de la personne condamnée et l'empêchent de vivre normalement. Exemples :

  • Limitation des déplacements

  • Obligation de suivre des soins

  • Obligation de se présenter au commissariat à certains moments

  • Obligation de retourner à la prison à certains moments

La personne condamnée à une peine de suivi en milieu ouvert peut aussi faire l'objet de mesures de contrôle. Par exemple, la personne condamnée à un sursis avec mise à l'épreuve ou la personne condamnée à un suivi socio-judiciaire.

De plus, la personne condamnée pour des crimes graves peut être soumise, à la fin de la libération conditionnelle ou du suivi socio-judiciaire, à une surveillance de sûreté (particuliers). Cette mesure peut être renouvelée sans limitation dans le temps.

La personne condamnée peut être inscrite dans un fichier :

  • Elle est inscrite au FIJAIS si elle a été condamnée pour infractions sexuelles (viol, attouchements...) ou violentes (torture et actes de barbaries...). Ce fichier permet le suivi et la localisation des personnes condamnées après leur sortie de prison.

  • Elle est inscrite au Fijait si elle a été condamnée pour actes de terrorisme.

À noter

la victime peut s'adresser au juge délégué aux victimes (particuliers) pour être tenue au courant lorsque la personne condamnée sort de prison.

    Sortie à la fin prévue de la peine

    Des mesures de contrôle sont imposées à la personne condamnée qui sort de prison, mais qui doit exécuter une peine de suivi en milieu ouvert. Par exemple, le sursis probatoire ou le suivi socio-judiciaire.

    Les mesures de contrôle prises dans le cadre de la peine de suivi en milieu ouvert imposent à la personne condamnée des obligations et interdictions qui limitent sa liberté. Exemples :

    • Interdiction de commettre de nouvelles infractions

    • Limitation des déplacements

    • Obligation de suivre des soins ou des cours

    • Obligation d'effectuer un travail d'intérêt général (particuliers)

    Des obligations peuvent aussi être imposées à la personne condamnée qui a bénéficié de réductions de peine (particuliers). La durée de ces mesures et équivalente à la durée de la réduction de peine dont la personne a bénéficié. Ceci dans le cadre d'un suivi post-peine ou d'une surveillance judiciaire.

    Ainsi, la personne peut être soumise à des mesures de surveillance et de contrôle, et à des obligations plus ou moins contraignantes. L'étendue de ces mesures dépend de la gravité de l'infraction commise et de la durée de la peine de prison initialement prononcée.

    Pour les crimes les plus graves (meurtre, viol...), la personne condamnée peut faire l'objet de mesure de contrainte supplémentaires, après le suivi socio-judiciaire et la surveillance judiciaire. Elle peut être placée en rétention de sûreté (particuliers) ou être soumise à une surveillance de sûreté (particuliers).

    Ces 2 mesures peuvent être renouvelées sans limitation dans le temps.

    La personne condamnée peut être inscrite dans un fichier :

    • Elle est inscrite au FIJAIS si elle a été condamnée pour infractions sexuelles (viol, attouchements...) ou violentes (torture et actes de barbaries...). Ce fichier permet le suivi et la localisation des personnes condamnées après leur sortie de prison.

    • Elle est inscrite au Fijait si elle a été condamnée pour actes de terrorisme.

    À noter

    la victime peut s'adresser au juge délégué aux victimes (particuliers) pour être tenue au courant lorsque la personne condamnée sort de prison.

      Pour en savoir plus

      Références

      Sortie de prison avant la fin de la peine

      Des mesures de contrôle sont imposées à la personne condamnée qui sort de prison avant la fin de sa peine, via un des dispositifs suivants :

      Ces mesures limitent la liberté de la personne condamnée et l'empêchent de vivre normalement. Exemples :

      • Limitation des déplacements

      • Obligation de suivre des soins

      • Obligation de se présenter au commissariat à certains moments

      • Obligation de retourner à la prison à certains moments

      La personne condamnée à une peine de suivi en milieu ouvert peut aussi faire l'objet de mesures de contrôle. Par exemple, la personne condamnée à un sursis avec mise à l'épreuve ou la personne condamnée à un suivi socio-judiciaire.

      De plus, la personne condamnée pour des crimes graves peut être soumise, à la fin de la libération conditionnelle ou du suivi socio-judiciaire, à une surveillance de sûreté (particuliers). Cette mesure peut être renouvelée sans limitation dans le temps.

      La personne condamnée peut être inscrite dans un fichier :

      • Elle est inscrite au FIJAIS si elle a été condamnée pour infractions sexuelles (viol, attouchements...) ou violentes (torture et actes de barbaries...). Ce fichier permet le suivi et la localisation des personnes condamnées après leur sortie de prison.

      • Elle est inscrite au Fijait si elle a été condamnée pour actes de terrorisme.

      À noter

      la victime peut s'adresser au juge délégué aux victimes (particuliers) pour être tenue au courant lorsque la personne condamnée sort de prison.

        Sortie à la fin prévue de la peine

        Des mesures de contrôle sont imposées à la personne condamnée qui sort de prison, mais qui doit exécuter une peine de suivi en milieu ouvert. Par exemple, le sursis probatoire ou le suivi socio-judiciaire.

        Les mesures de contrôle prises dans le cadre de la peine de suivi en milieu ouvert imposent à la personne condamnée des obligations et interdictions qui limitent sa liberté. Exemples :

        • Interdiction de commettre de nouvelles infractions

        • Limitation des déplacements

        • Obligation de suivre des soins ou des cours

        • Obligation d'effectuer un travail d'intérêt général (particuliers)

        Des obligations peuvent aussi être imposées à la personne condamnée qui a bénéficié de réductions de peine (particuliers). La durée de ces mesures et équivalente à la durée de la réduction de peine dont la personne a bénéficié. Ceci dans le cadre d'un suivi post-peine ou d'une surveillance judiciaire.

        Ainsi, la personne peut être soumise à des mesures de surveillance et de contrôle, et à des obligations plus ou moins contraignantes. L'étendue de ces mesures dépend de la gravité de l'infraction commise et de la durée de la peine de prison initialement prononcée.

        Pour les crimes les plus graves (meurtre, viol...), la personne condamnée peut faire l'objet de mesure de contrainte supplémentaires, après le suivi socio-judiciaire et la surveillance judiciaire. Elle peut être placée en rétention de sûreté (particuliers) ou être soumise à une surveillance de sûreté (particuliers).

        Ces 2 mesures peuvent être renouvelées sans limitation dans le temps.

        La personne condamnée peut être inscrite dans un fichier :

        • Elle est inscrite au FIJAIS si elle a été condamnée pour infractions sexuelles (viol, attouchements...) ou violentes (torture et actes de barbaries...). Ce fichier permet le suivi et la localisation des personnes condamnées après leur sortie de prison.

        • Elle est inscrite au Fijait si elle a été condamnée pour actes de terrorisme.

        À noter

        la victime peut s'adresser au juge délégué aux victimes (particuliers) pour être tenue au courant lorsque la personne condamnée sort de prison.

          Pour en savoir plus

          Références

          A noter :
          le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

          Sortie de prison avant la fin de la peine

          Des mesures de contrôle sont imposées à la personne condamnée qui sort de prison avant la fin de sa peine, via un des dispositifs suivants :

          Ces mesures limitent la liberté de la personne condamnée et l'empêchent de vivre normalement. Exemples :

          • Limitation des déplacements

          • Obligation de suivre des soins

          • Obligation de se présenter au commissariat à certains moments

          • Obligation de retourner à la prison à certains moments

          La personne condamnée à une peine de suivi en milieu ouvert peut aussi faire l'objet de mesures de contrôle. Par exemple, la personne condamnée à un sursis avec mise à l'épreuve ou la personne condamnée à un suivi socio-judiciaire.

          De plus, la personne condamnée pour des crimes graves peut être soumise, à la fin de la libération conditionnelle ou du suivi socio-judiciaire, à une surveillance de sûreté (particuliers). Cette mesure peut être renouvelée sans limitation dans le temps.

          La personne condamnée peut être inscrite dans un fichier :

          • Elle est inscrite au FIJAIS si elle a été condamnée pour infractions sexuelles (viol, attouchements...) ou violentes (torture et actes de barbaries...). Ce fichier permet le suivi et la localisation des personnes condamnées après leur sortie de prison.

          • Elle est inscrite au Fijait si elle a été condamnée pour actes de terrorisme.

          À noter

          la victime peut s'adresser au juge délégué aux victimes (particuliers) pour être tenue au courant lorsque la personne condamnée sort de prison.

            Sortie à la fin prévue de la peine

            Des mesures de contrôle sont imposées à la personne condamnée qui sort de prison, mais qui doit exécuter une peine de suivi en milieu ouvert. Par exemple, le sursis probatoire ou le suivi socio-judiciaire.

            Les mesures de contrôle prises dans le cadre de la peine de suivi en milieu ouvert imposent à la personne condamnée des obligations et interdictions qui limitent sa liberté. Exemples :

            • Interdiction de commettre de nouvelles infractions

            • Limitation des déplacements

            • Obligation de suivre des soins ou des cours

            • Obligation d'effectuer un travail d'intérêt général (particuliers)

            Des obligations peuvent aussi être imposées à la personne condamnée qui a bénéficié de réductions de peine (particuliers). La durée de ces mesures et équivalente à la durée de la réduction de peine dont la personne a bénéficié. Ceci dans le cadre d'un suivi post-peine ou d'une surveillance judiciaire.

            Ainsi, la personne peut être soumise à des mesures de surveillance et de contrôle, et à des obligations plus ou moins contraignantes. L'étendue de ces mesures dépend de la gravité de l'infraction commise et de la durée de la peine de prison initialement prononcée.

            Pour les crimes les plus graves (meurtre, viol...), la personne condamnée peut faire l'objet de mesure de contrainte supplémentaires, après le suivi socio-judiciaire et la surveillance judiciaire. Elle peut être placée en rétention de sûreté (particuliers) ou être soumise à une surveillance de sûreté (particuliers).

            Ces 2 mesures peuvent être renouvelées sans limitation dans le temps.

            La personne condamnée peut être inscrite dans un fichier :

            • Elle est inscrite au FIJAIS si elle a été condamnée pour infractions sexuelles (viol, attouchements...) ou violentes (torture et actes de barbaries...). Ce fichier permet le suivi et la localisation des personnes condamnées après leur sortie de prison.

            • Elle est inscrite au Fijait si elle a été condamnée pour actes de terrorisme.

            À noter

            la victime peut s'adresser au juge délégué aux victimes (particuliers) pour être tenue au courant lorsque la personne condamnée sort de prison.

              Pour en savoir plus

              Références

              Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
              Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

              Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

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              La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

              Demande d'implantation grue

              Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

              Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
              - Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
              - Mardi de 8h30 à 12h
              - Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
              - Jeudi de 13h30 à 17h
              - Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h